Karim Saada
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Joliette, Quebec, Canada | SELF

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"Karim Saâda enflamme la scène"

13e Festival du monde arabe à Montréal
Karim Saâda enflamme la scène
Mohamed BenhamlaPublié dans Info Soir le 05 - 11 - 2012

Concert - Une soirée festive a été organisée par le chanteur Karim Saâda, dans le cadre du 13e Festival du monde arabe à Montréal.
Dans ce cadre, le chanteur algérien, Karim Saâda, a animé un gala samedi soir. Devant une assistance nombreuse composée de la communauté algérienne, il a transporté le public présent, en interprétant tour à tour des chansons du patrimoine mais aussi d'autres de sa propre composition. Tout le monde a apprécié cette soirée d'autant plus qu'elle a permis de rassembler beaucoup de familles ainsi que des anciens internationaux du football, à Montréal depuis mardi dernier. Saâda, qui a opté pour un style à la Enrico Macias, est arrivé à Montréal depuis plusieurs années, soit en 1988, et s'est illustré par le fait de jouer de plusieurs instruments. Il a tout connu des artistes maghrébins qui ont progressivement émergé au Canada. Avec ses deux disques, son prix de musique folk de Montréal et sa valse emblématique, il est devenu le Karim Saâda qu'il est actuellement. Avant de débuter son concert, il dira : «Je viens d'une famille de musiciens d'Alger. Mon père fut ma première influence. Mon jeune frère Djamel était également banjoïste. Avec lui, je formais un duo de banjos. Le banjo est mon premier instrument, je joue aussi de la mandole et j'explore de plus en plus la guitare. Au début, j'étais musicien avant d'être chanteur que je suis devenu par la force des choses : puisque personne ne voulait chanter mon premier CD, je l'ai chanté moi-même». Un pari risqué, mais réussi selon divers avis. «Il les chante bien, ses romances algéroises, ses mélancolies méditerranéennes ou simplement ses tranches de vie, toutes portées par des accents de rumba, des effluves andalous, et même par du blues des dunes du Sud, du reggae avec arabesques, des introspections aériennes ou du violon tzigane», nous dit un spectateur, fin connaisseur. Depuis son arrivée à Montréal, il a collaboré avec des musiciens de première classe, tels que Dino, Timgad, Syncop et Musa Dieng Kala, avant de se tracer un tout autre chemin où il commença à suivre une carrière digne de ce nom. Deux disques ont suivi, un premier empreint de l'exil, un deuxième les pieds bien ancrés ici, seuls quelques orteils demeurés là-bas. Son prochain projet sera celui d'un album qui fera voyager son chaâbi dans les mondes du reggae, du hip-hop et même du western.
Azzedine El-Maghrabi au rendez-vous
Jean-Talon est la localité où vivent le plus d'Algériens. Pour cela, le chanteur du cru, Azzedine El-Maghrabi a choisi ce lieu pour organiser une petite soirée en l'honneur de la délégation algérienne présente sur place depuis mardi dernier.
Le chanteur algérois, qui a la particularité de n'avoir dans son orchestre qu'un percussionniste, a présenté un cocktail de chansons : celles du terroir et contemporaines et cela devant un parterre de fans et curieux venus se rappeler les bons souvenirs du pays. - DJAZAIRESS Journal INFO-SOIR


"FESTIVAL DU MONDE ARABE DE MONTRÉAL"

La 13e édition du Festival du monde arabe de Montréal (FMA) a été inaugurée, vendredi soir, en présence des autorités et un public nombreux. La cérémonie d’ouverture a été rehaussée par la présence du ministre québécois de la Culture et des Communications, Maka Kotto, qui a procédé au lancement des festivités. Dans le programme divulgué à l’occasion, l’Algérie occupe une bonne place. Plusieurs artistes algériens y sont en effet programmés. Ceci en plus des conférences qui vont aborder la problématique algérienne. Samira Brahmia, une artiste issue de la scène pop-world algérienne donnera un concert mercredi prochain, alors que le chanteur Karim Saâda, lui, fera revivre l’ambiance de la Qaâda algéroise le lendemain. Son spectacle est organisé dans le cadre du cinquantenaire de l’indépendance nationale. D’ailleurs, le consulat général d’Algérie à Montréal, partenaire du FMA, participe dans l’organisation de la soirée. Pour sa part, Hamdi Bennani se produira le 4 novembre au théâtre Corona. Mais c’est sans doute l’hommage que compte rendre le FMA à Dahmane El-Harrachi qui sera le clou du festival. Kamel El-Harrachi, son fils, animera l’hommage qui sera rendu à l’auteur de Ya Lhedjla. L’hommage aura lieu le 9 novembre au théâtre Maisonneuve de la place des Arts de Montréal. Il faut signaler que le chanteur de rap, Lotfi Double Kanon, devait se produire hier soir à l’Olympia. Ceci pour le volet arts de la scène. Pour le salon de la culture, le programme comprend plusieurs conférences dont la thématique est liée souvent à l’actualité et soulève parfois des problématiques et des enjeux qui ne cessent de bouleverser les sociétés, comme les révolutions des peuples arabes, les incompréhensions interculturelles et les reconstructions identitaires. Une soirée hommage à Kateb Yacine aura lieu le 5 novembre. Des poètes algériens y sont attendus. Une conférence sur la guerre de Libération nationale y est prévue à la même occasion. La thématique choisie cette année par le FMA est l’utopie. Son président Joseph Nakhlé dit croire aux défis impossibles. “Le changement, nous l’espérons, et cette 13e édition, qui durera jusqu’au 10 novembre, est là pour porter l’innocente ambition de le provoquer”, a-t-il déclaré lors de la présentation du programme du FMA, devenu au fil du temps une signature visible sur la scène cultuelle montréalaise.


- Journal LIBERTÉ D'ALGERIE


"Karim Saada au 13e Festival du monde arabe - Montréal est une valse"


Karim Saada au 13e Festival du monde arabe - Montréal est une valse

2 novembre 2012 |Yves Bernard|Musique
Photo : Festival du monde arabeKarim Saada chante ses romances algéroises, ses mélancolies méditerranéennes ou simplement ses tranches de vie. Vendredi 2 novembre au National à 20 h.
Renseignements : www.festivalarabe.com
C’est un vrai, un héros méconnu de l’underground montréalais. Arrivé d’Algérie en 1988 avec son chaâbi, son banjo et peut-être quelques autres instruments, Karim Saada a tout connu des artistes maghrébins qui ont progressivement émergé. C’était le musicien de musiciens par excellence, celui qu’on ne remarquait pas à sa juste valeur. Puis, il est devenu Karim Saada, avec ses deux disques, son prix de musique folk et Montréal, sa valse emblématique. Vendredi soir, il monte sur la scène du National.


Il se présente : « Je viens d’une famille de musiciens d’Alger. Mon père fut ma première influence. Mon jeune frère Djamel était également banjoïste. Avec lui, je formais un duo de banjos. Le banjo est mon premier instrument, je joue aussi la mandole et j’explore de plus en plus la guitare. Au début, j’étais musicien avant d’être chanteur. Je le suis devenu par la force des choses : puisque personne ne voulait chanter mon premier CD, je l’ai chanté moi-même. »


Et il les chante bien, ses romances algéroises, ses mélancolies méditerranéennes ou simplement ses tranches de vie, toutes portées par des accents de rumba, des effluves andalous, et même par du blues des dunes du sud, du reggae avec arabesques, des introspections aériennes ou du violon tzigane. Mais le chaâbi demeure le fil conducteur de son répertoire. « Chaâbi veut dire “populaire”, et le genre fut créé dans les années 1930 », précise Karim. « Il s’inspirait de la musique andalouse, mais pendant la colonie, cette musique n’était pas accessible au petit peuple, et c’étaient les colons qui le jouaient. Jusqu’à présent, c’est demeuré un peu pour les riches. Moi, quand j’ai commencé la musique, j’ai voulu l’apprendre. À l’école de musique, on m’a dit : “N’apporte pas ton banjo.” Ils appelaient ça une poêle, mais moi, c’est tout ce que j’avais. »


Il a persévéré. À Montréal, il a collaboré avec des musiciens de la première heure tels Cheb Dino et Timgad. Puis, ce fut Karim de Syncop, Musa Dieng Kala, avant de se lancer pour vrai. Deux disques ont suivi, un premier empreint de l’exil, un deuxième les pieds bien ancrés ici et seuls quelques orteils demeurés là-bas. Dans le prochain, Karim fera voyager son chaâbi dans les mondes du reggae, du hip-hop et même du western. Mais qu’importent les habillages, avec lui, Montréal demeure une valse douce en ces temps de tourments.



- LE DEVOIR


"Aich-Elyoum/Live Today"

World Music

Karim Saada

Aich-Elyoum/Live Today (Independent)



Algerian-born Karim Saada brings a unique warmth and vitality to North African chaabi music, generating a deep-down sense of cheerfulness and celebration. For years, he lived in relative obscurity outside Montreal playing and arranging for other performers. Then two years ago, at 48, he stepped from the shadows to win a Canadian Folk Music Award and Juno nomination for his first CD La Dance de l’Exile. Torontonians got their first look last summer at Luminato. Aich-Elyoum/Live Today delivers nine new numbers, imaginatively arranged. (Five he sings in Arabic.) Three are instrumentals on which Saada plays banjo, guitar and Arabic mandolin. One, titled simply “Montreal,” he sings in French with a Quebecois flavour in tribute to his adoptive home.

John Goddard

- Thestar.com


"C.D Reviews Cyrus Saada and standards"

World Music

Karim Saada

La Danse de l’exilé

(Independent)



He has been living outside Montreal for the past 21 years but until recently few Canadians had ever heard of Karim Saada. At 49, he released his first CD, La Danse de l’exilé, which won the Canadian Folk Music Award for world music and drew a Juno nomination. It also grabbed the attention of Toronto’s Luminato festival organizers, who booked him at the Queen’s Park outdoor stage to open for Algerian rocker Rachid Taha. Saada proved a hit. Playing Algerian versions of the banjo and mandolin, he led his band through a stately procession of his own compositions rooted in North African chaabi, a vibrant and joyous offshoot of an older Arab-Andalusian musical form. Toronto is certain to see more of him.

John Goddard

- Toronto Star


"Toronto Star 13 Juin 2010"


.
Sunday, June 13, 2010 Sunday, 13 Juin, 2010
Rock the Casbah & An African Prom (LuminaTO June 12) Rock the Casbah & Prom Un africaine (LuminaTO Juin 12)
Rock the Casbah & An African Prom Rock the Casbah & Prom Une Afrique
June 12 - Queen's Park, Toronto 12 juin - Queen's Park, Toronto

What with a rain delay in the afternoon and some other things I was attending, (and will report on at a later Qu'est-ce avec un retard de pluie dans l'après-midi et quelques autres choses je participais, (et fera rapport sur à une date ultérieure


date,) I got to Queen's Park late in the afternoon, in time to hear Montreal's Karim Saada. date,) je suis arrivé à Queen's Park à la fin de l'après-midi, à temps pour entendre de Montréal Karim Saada. I was reading in the Toronto Star about how the crowds stayed away because of the wet weather, but they must have left pretty early - the people kept coming and the evening's audience was fairly sizeable. Je lisais dans le Toronto Star sur la façon dont la foule resté loin en raison de la pluie, mais ils doivent avoir quitté assez tôt - les gens ont continué à venir et le public de la soirée a été assez important.
- Toronto Star


Discography

1- '' La danse de l'exilé '' , 2009

2- '' Djibouha'', 2010 ( single for the soccer world cup )

3- " Aich-Elyoum " Vie Aujourd'hui 2010

4- en cours de réalisation , sortie prévue pour 2013

Photos

Bio

Karim Saada ( anglais et franais+ bas)
Career with the Arts

Karim was born in Algiers. As a small child, he grew up with the Chaabi music that wafted from the casbah where he was born, because his father, a musician, mastered the unique musical genre and played there with his friends, who were fuelled by the same passion.

It was in this fertile soil that Saada soon turned to musical performance by patiently learning the art of the banjo, the mandol, and the guitar. He perpetuated the art that was constantly renewed by the contribution of its successive performers by adding the accents of an exiled man impassioned by his roots and inspired by other cultures.

Backed by his research, maturity, and drive, today he brings us a synthesis of Algerian music including Chaabi, Haouzi, Gnawa, and Andalusian, all preserved in a fragmentary manner by musicians from diverse regions, and all of whom infuse their unique aesthetics and identities.

With the touch of a master he also creates arrangements for drums, electric guitar, bass, as well as the violin and piano which are ever-present in Chaabi, as well as traditional instruments such as banjo, mandol, derbouka, lute, bendir, guelal, hadjhoudj, karkabs, among others.

For these reasons, he is pursuing his journey by working with musicians and singers from a variety of horizons who are also heirs of precious traditions. By guiding music lovers towards myriad research avenues and destabilizing the genre without denaturing it, he is adding his modest brick to the building that is Chaabi music.

Saada is the renewal of Chaabi, and the bearer of hope whose rhythm not only brings the heart and soul to life, but also, the entire body.

Karim Saada

Karim est n la casbah d'Alger, l mme ou pris naissance la musique ''Chabi''.
Inspire de l'andalou, elle s'en carte au niveau thmatique et rythmique tout en sedistinguant par un phras et un ton particulier.

voluant dans un milieu musical ''Chabi'',son pre lui mme musicien , jouait alors du mandole et du banjo avec les matres du moment . C'est tout naturellement en les coutant, les observant et par beaucoup de pratique, qu'il est devenu le virtuose du banjo et du mandole qu'il est aujourd'hui.

Par la suite il intgra lorchestre de lassociation Ankawiya (ancien conservatoire de El-Hadje Mhamed El Anka crateur de la musique Chabi ) avec lequel il se produisit dans de nombreux concerts travers lAlgrie.

Vivant au Qubec depuis une vingtaine dannes, il a particip plusieurs festivals majeurs au Qubec et au Canada.

la tlvision , on pu le voir plusieurs reprises l'mission ''Belle et Bum ''
Tl-Qubec ainsi quaux missions Second regard et Christiane Charrette en direct Radio-Canada.

Il composa galement la musique des films, La guitare lhuile(1999),Bledi (2006) et Fear,Anger and politics ( 2012).

En Mai 2009, il lance son premier album en tant qu'auteur-compositeur-interprte et auto-producteur. .
Il sagit de '' La danse de l'exil'', avec lequel il remporter le prix de la musique folk Canadienne 2009et une nomination aux prix Juno en 2010.
En Novembre 2010 il lance son deuxime album ''Aich- Elyoum '', toujours en autoproduction.

Bien ancr dans la culture Qubcoise, Karim est rest profondment attach la culture Algrienne et il exprime dans sa musique et dans ses textes ces deux ralits qui sont les siennes.