Budam

'Stories of Devils, Angels, Lovers and Murderers' is skillfully made, filled with passion and strong lyrics...a good album delivered by Budam who´s talent you can´t question.
- liabilitywebzine (Nov 2009)

C’est l’histoire d’un jeune guitariste de jazz : insulaire de naissance (Iles Féroé), il part à la recherche de l’inspiration, notamment à Cuba où il se blesse et passe davantage de temps au piano qu’à la guitare. Cela se sent dans ce premier album en forme de recueil qui relate sa renaissance de Bui DAM (son vrai nom) en Budam, sa curiosité pour les cultures étrangères, et surtout ses racines ancrées dans le folk américain. A l’aide d’une voix exceptionnelle qui évoque tour à tour Nick Cave et Tom Waits, ce personnage sombre et mélancolique en profite pour trousser des mélodies simples et accrocheuses, parfois colorées, parfois vibrantes, jamais pareilles. Le premier single « Clap hands » témoigne de cette classe presque soul propre à ces grands artistes qui remplissent l’espace sonore en un instant, rien qu’en présence. - www.longueurdondes.com

L’univers de Tom Waits en joyeux ? C’est possible, comme le prouve Budam, nouvel artiste des îles Féroé qui mélange rock, musique de cirque, blues et klezmer dans un des albums les plus réjouissants de la saison.

A part quand elles donnent à l’équipe de France des points faciles dans les éliminatoires de l’Euro, les îles Féroé ne nous concernaient jusqu’à présent pas beaucoup. Voici qu’il nous en arrive un artiste singulier, Budam. Pour schématiser, on pourrait dire qu’il serait une sorte de Tom Waits rigolo, de Bonnie Prince Billy allègre, de Nick Cave détendu. Partout où les grands rockers des noirceurs plongent avec une gravité de clergyman, Budam trimballe une trogne de Falstaff hilare. Partout où ses aînés font souffler un harmonium de service funèbre, il se lance dans un bastringue jouisseur et déglingué.

Pourtant, on voit souvent derrière lui l’ombre de ses grands aînés. Tom Waits avait enregistré Clap Hands ? Budam a aussi écrit une chanson qui s’appelle Clap Hands, qui est d’ailleurs un des sommets de son album. Son disque s’intitule Stories of Devils, Angels, Lovers and Murderers, un peu à la manière du triple-album Orphans : Brawlers, Bawlers & Bastards de Waits… Mais si, dès la première syllabe, on remarque que sa voix grave et éraillée est de la même famille que le grand Tom, on comprend vite que ce Féroïen ne vit pas du côté obscur de la Force. Au contraire : entre klezmer, musique de cirque, blues de bar et cantiques de taverne, il chante avec un grand sourire des adieux, des sortilèges, des retrouvailles et des enterrements qui sont d’une féroce gaieté sous l’apparat rituel d’orgue asthmatique, de piano-punaise et de violon sanglotant. Le deuil le plus joyeux de l’année. - www.musique.sfr.fr

He’s mesmeric, theatrically blending the Threepenny Opera with Billy Holliday. Nick Cave and Tom Waits fans will need to make room for him. - MOJO

Búi Dam has in the role of Budam a freedom and space to research the most extreme emotions of the human being. And he can sing just as freely about love, sex and murder.
The music of Budam has its roots in old American folk music such as blues, country and New Orleans jazz, gipsy music from Balkan and in the stomp genre. The inspiration of Nick Cave and especially Tom Waits is clear. Even though the style might seem unfamiliar, you can’t escape the fact that Budam is very talented at making simple and very catchy melodies. It is also very refreshing for the listener to hear music for a while, that isn’t dominated by the electric guitar.

Dimmalætting
July 6th 2007 - Dimmalætting

His voice was deep and seductive all the way through the concert and it fitted very well with the staging of his stories and the backing music. Budam performed his stories as small plays, where he became a character in the different songs…The title of his album: “Stories of Devils, Angels, Murderers and Lovers” lives up to the themes he touches upon in his lyrics; important subjects such as love, hate and religion etc.

In the last song ”Dadadadie” Budam managed to get the audience to sing along in ”Come let us die” just like a lalala-course. Even though the lyrics are sad and about a man wishing to die, the moment was very uplifting in a rather sarcastic manner. His ability to flirt with the audience and the very specific circus-polka-seaman’s style resulted in a standing applause and an extra song. Let’s hope, that Budam soon will be playing in Denmark again, he and his music deserve nothing less.

Gaffa
June 1st 2007
(five out of six stars) - Gaffa