Sylvain Barou
Gig Seeker Pro

Sylvain Barou

Rennes, Bretagne, France | INDIE

Rennes, Bretagne, France | INDIE
Band World Celtic

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""La Bretagne se tourne vers la Méditerranée""

A quoi ressemble un flûtiste ? Au petit jeu qui consiste à deviner de quoi joue un musicien rien qu’en observant sa dégaine, Sylvain Barou fait perdre tout le monde. Son regard très direct, son assurance et son incontestable présence évoquent un meneur, du genre à s’époumoner dans un micro, plutôt qu’un souffleur, surtout s'il sussurre dans un délicat tube d’ébène. Mais ce jeu est idiot. Sylvain Barou est bel et bien l’un des nouveaux maîtres de la flûte que l’on nomme « irlandaise », une traversière au son puissant et rauque. Il suffit pour s’en convaincre de l’écouter jouer avec ses pairs irlandais, qui l’ont adopté, bretons, perses ou crétois. Rencontre …

Quel a été ton parcours de flûtiste ?

Sylvain Barou : A la base, j’ai un parcours un peu atypique, puisque je suis de formation irlandaise : paradoxalement, en tant que Breton, j’ai commencé par la musique irlandaise. En fait, ce n’est pas si inhabituel que ça ... Ensuite, naturellement, je suis allé vers la musique bretonne. Puis mon parcours a nettement dévié, avec la musique indienne, l’apprentissage de la musique persane, le jazz, …
Quel a été le déclencheur de tous ces apprentissages ?

Sylvain Barou : J’ai commencé en découvrant un vinyle de Matt Molloy [NDLA : le flûtiste du Bothy Band, puis de Planxty, puis des Chieftains] des années 70 chez mon père. J’ai écouté ce disque jusqu’à ce qu’il soit inécoutable. Puis, au fil des rencontres, j’ai appris avec des gens qui avaient un état d’esprit d’ouverture, notamment Jean-Michel Veillon. Il organisait des stages avec des maîtres indiens qui venaient régulièrement en Bretagne. C’est comme ça que j’ai découvert d’autres univers musicaux …


Quand on regarde ta discographie, celle, en tout cas, que tu présentes sur ton site web, on trouve essentiellement des disques d’inspiration celtique …

Sylvain Barou :Oui, même si les enregistrements que je fais en ce moment sont plus orientaux. Ca commence à s’équilibrer …

Tu as réussi à te faire reconnaître en Irlande au point de faire partie de groupes locaux ?

Sylvain Barou : Oui. C’est assez rare pour un Français. J’ai commencé assez tôt à aller là-bas, à apprendre auprès de maîtres irlandais. Ils ont conservé ce rapport de maître à élève dans leur tradition. J’ai obtenu la confiance d’anciens, de maîtres comme Matt Moloy. Chaque maître m’a apporté un élément différent. C’est une musique qui est difficilement dissociable de son contexte social. On la comprend mieux quand on voit comment les gens vivent. Le fait d’être en immersion là-bas, comme je l’ai fait aussi pour la musique indienne, est très formateur.

Dans quels groupes joues-tu à l'heure actuelle ?

Sylvain Barou : J’ai trois projets. Il y a le trio avec lequel je joue ce soir au festival No Border, j'y joue de la musique irlandaise avec Donnal Luny et Padraig Rynne. Il y a également un groupe de la nouvelle génération, qui s’appelle Guidewires. Et, dernièrement, j’ai participé à un projet à quatorze musiciens qui s’appelle Dan. C’est une formation nouvelle, qui joue dans le circuit Celtic Connexions de Glasgow : un big band avec des Ecossais, des Irlandais, des Bretons, des Asturiens, … Ca, c’est pour les projets vraiment dédiés à l’Irlande. Il m’arrive de jouer aussi avec John Doyle, guitariste irlando-américain. C’est tout pour la partie irlandaise …
Mais ton premier album solo part aussi dans des directions inverses …

Sylvain Barou : J’ai été confronté à un problème : je ne me voyais pas enregistrer uniquement un disque de musique bretonne ou irlandaise. Cela aurait été réducteur par rapport à mon travail. Je voulais un disque représentatif de ce que j’étais, de ce que je faisais. Pour moi, il était essentiel de réunir toutes mes influences. Pour autant, je voulais éviter le côté auberge espagnole. Je crois que, pour chaque titre, il y a une profonde immersion dans chaque style. C’est un disque représentatif de mes voyages, de mon univers, comme un carnet de routes des dix dernières années. C’était le but de ce premier disque. Sans cela, j’aurais dû sortir quatre ou cinq disques d’un coup …

C’est un carnet de routes qui correspond à des voyages réels ? Ou simplement à des rencontres ?

Sylvain Barou : A la fois des voyages réels et des rencontres. Je me suis constamment remis en question. Dans le monde de la musique modale, on redevient débutant à chaque fois. On essaie de - Mondomix


""La Bretagne se tourne vers la Méditerranée""

A quoi ressemble un flûtiste ? Au petit jeu qui consiste à deviner de quoi joue un musicien rien qu’en observant sa dégaine, Sylvain Barou fait perdre tout le monde. Son regard très direct, son assurance et son incontestable présence évoquent un meneur, du genre à s’époumoner dans un micro, plutôt qu’un souffleur, surtout s'il sussurre dans un délicat tube d’ébène. Mais ce jeu est idiot. Sylvain Barou est bel et bien l’un des nouveaux maîtres de la flûte que l’on nomme « irlandaise », une traversière au son puissant et rauque. Il suffit pour s’en convaincre de l’écouter jouer avec ses pairs irlandais, qui l’ont adopté, bretons, perses ou crétois. Rencontre …

Quel a été ton parcours de flûtiste ?

Sylvain Barou : A la base, j’ai un parcours un peu atypique, puisque je suis de formation irlandaise : paradoxalement, en tant que Breton, j’ai commencé par la musique irlandaise. En fait, ce n’est pas si inhabituel que ça ... Ensuite, naturellement, je suis allé vers la musique bretonne. Puis mon parcours a nettement dévié, avec la musique indienne, l’apprentissage de la musique persane, le jazz, …
Quel a été le déclencheur de tous ces apprentissages ?

Sylvain Barou : J’ai commencé en découvrant un vinyle de Matt Molloy [NDLA : le flûtiste du Bothy Band, puis de Planxty, puis des Chieftains] des années 70 chez mon père. J’ai écouté ce disque jusqu’à ce qu’il soit inécoutable. Puis, au fil des rencontres, j’ai appris avec des gens qui avaient un état d’esprit d’ouverture, notamment Jean-Michel Veillon. Il organisait des stages avec des maîtres indiens qui venaient régulièrement en Bretagne. C’est comme ça que j’ai découvert d’autres univers musicaux …


Quand on regarde ta discographie, celle, en tout cas, que tu présentes sur ton site web, on trouve essentiellement des disques d’inspiration celtique …

Sylvain Barou :Oui, même si les enregistrements que je fais en ce moment sont plus orientaux. Ca commence à s’équilibrer …

Tu as réussi à te faire reconnaître en Irlande au point de faire partie de groupes locaux ?

Sylvain Barou : Oui. C’est assez rare pour un Français. J’ai commencé assez tôt à aller là-bas, à apprendre auprès de maîtres irlandais. Ils ont conservé ce rapport de maître à élève dans leur tradition. J’ai obtenu la confiance d’anciens, de maîtres comme Matt Moloy. Chaque maître m’a apporté un élément différent. C’est une musique qui est difficilement dissociable de son contexte social. On la comprend mieux quand on voit comment les gens vivent. Le fait d’être en immersion là-bas, comme je l’ai fait aussi pour la musique indienne, est très formateur.

Dans quels groupes joues-tu à l'heure actuelle ?

Sylvain Barou : J’ai trois projets. Il y a le trio avec lequel je joue ce soir au festival No Border, j'y joue de la musique irlandaise avec Donnal Luny et Padraig Rynne. Il y a également un groupe de la nouvelle génération, qui s’appelle Guidewires. Et, dernièrement, j’ai participé à un projet à quatorze musiciens qui s’appelle Dan. C’est une formation nouvelle, qui joue dans le circuit Celtic Connexions de Glasgow : un big band avec des Ecossais, des Irlandais, des Bretons, des Asturiens, … Ca, c’est pour les projets vraiment dédiés à l’Irlande. Il m’arrive de jouer aussi avec John Doyle, guitariste irlando-américain. C’est tout pour la partie irlandaise …
Mais ton premier album solo part aussi dans des directions inverses …

Sylvain Barou : J’ai été confronté à un problème : je ne me voyais pas enregistrer uniquement un disque de musique bretonne ou irlandaise. Cela aurait été réducteur par rapport à mon travail. Je voulais un disque représentatif de ce que j’étais, de ce que je faisais. Pour moi, il était essentiel de réunir toutes mes influences. Pour autant, je voulais éviter le côté auberge espagnole. Je crois que, pour chaque titre, il y a une profonde immersion dans chaque style. C’est un disque représentatif de mes voyages, de mon univers, comme un carnet de routes des dix dernières années. C’était le but de ce premier disque. Sans cela, j’aurais dû sortir quatre ou cinq disques d’un coup …

C’est un carnet de routes qui correspond à des voyages réels ? Ou simplement à des rencontres ?

Sylvain Barou : A la fois des voyages réels et des rencontres. Je me suis constamment remis en question. Dans le monde de la musique modale, on redevient débutant à chaque fois. On essaie de - Mondomix


"Sylvain Barou"

Sylvain Barou
« Sylvain Barou »
(Aremorica Records)

Que le flûtiste breton Sylvain Barou invite sur son premier album l’Irlandais Dónal Lunny, l’un des inspirateurs du renouveau des musiques celtiques, ne surprendra personne. Après tout, le jeune virtuose est lui-même très régulièrement appelé à Dublin. Mais qu’y fait le joueur de lyra crétoise Stelios Petrakis ? Et le percussionniste Keyvan Chemirani ? Décidément, depuis les embardées balkaniques d’Erik Marchand, les Bretons se laissent pousser un œil dans le dos, pour pouvoir contempler à la fois l’Atlantique et la Méditerranée, voire, au-delà, d’autres terres de la modalité. Habitué à passer l’hiver auprès de maîtres de la musique indienne, Sylvain Barou cultive en outre une souplesse qui lui permet de réussir un prodigieux grand écart entre le guitariste breton Jacques Pellen et le joueur de tabla Prabhu Edouard. Un pas de danse gracieux, à l’image d’un disque hospitalier mais fièrement personnel. FM

4/5 - Mondomix


"Sylvain Barou"

Sylvain Barou
« Sylvain Barou »
(Aremorica Records)

Que le flûtiste breton Sylvain Barou invite sur son premier album l’Irlandais Dónal Lunny, l’un des inspirateurs du renouveau des musiques celtiques, ne surprendra personne. Après tout, le jeune virtuose est lui-même très régulièrement appelé à Dublin. Mais qu’y fait le joueur de lyra crétoise Stelios Petrakis ? Et le percussionniste Keyvan Chemirani ? Décidément, depuis les embardées balkaniques d’Erik Marchand, les Bretons se laissent pousser un œil dans le dos, pour pouvoir contempler à la fois l’Atlantique et la Méditerranée, voire, au-delà, d’autres terres de la modalité. Habitué à passer l’hiver auprès de maîtres de la musique indienne, Sylvain Barou cultive en outre une souplesse qui lui permet de réussir un prodigieux grand écart entre le guitariste breton Jacques Pellen et le joueur de tabla Prabhu Edouard. Un pas de danse gracieux, à l’image d’un disque hospitalier mais fièrement personnel. FM

4/5 - Mondomix


"Sylvain Barou"

SYLVAIN BAROU
Aremorica Records AR001

So, you like contemporary flute virtuousity? Flook, Michael McGoldrick, etc? Well from Brittany, in addition to the brilliant Jean-Michel Veillon, M. Barou is the other essential flautist sidesman of choice who must be on your radar!

Contributor to an array of recorded material, projects and world festivals linked to the Breton scene and Ireland especially (and including, more recently, the ‘supergroup’ Guidewires), he’s the embodiment of l’interceltisme influenced and inspired too, like several other innovative Celtic players, by the music of Eastern Europe, the Middle East and beyond.

All this is amply reflected in this eponymous all instrumental debut release. Over five years in recording, it features a galaxy of over 20 great players from Brittany (guitarists Gilles le Bigot and Jacques Pellen, bassists Julien Stevenin and Alain Genty for example), Ireland (Dónal Lunny, John Doyle, Liz Carroll, Paul McSherry) and elsewhere (French-Iranian percussionist Keyvan Chemirani and leading exponents of the lyra, tabla and oud).

Traditional rearrangements of Celtic source material rub shoulders with compositions of Sylvain et ses amis. Rhythmic complexity and syncopation are touchstones but never at the expense of melody. Exhilarating and energetic, the music generally melds the rhythmic and hypnotic quality of the fest noz with wider world influences adding to the corpus of sophisticated crossover music emanating from Brittany and Scotland in particular.

The flute work is intricately interwoven into the rich tapestry of the 13 pieces that feature some excellent contributions from the other, often instantly recognisable, players. With few gentle and restful passages, the overall output is for sure pretty full on, vivid and vigorous! So, crank up the volume, loosen your limbs, and enjoy!

Kevin T. Ward

http://www.livingtradition.co.uk/webrevs/ar001.htm - The Living Tradition


"Sylvain Barou"

SYLVAIN BAROU
Aremorica Records AR001

So, you like contemporary flute virtuousity? Flook, Michael McGoldrick, etc? Well from Brittany, in addition to the brilliant Jean-Michel Veillon, M. Barou is the other essential flautist sidesman of choice who must be on your radar!

Contributor to an array of recorded material, projects and world festivals linked to the Breton scene and Ireland especially (and including, more recently, the ‘supergroup’ Guidewires), he’s the embodiment of l’interceltisme influenced and inspired too, like several other innovative Celtic players, by the music of Eastern Europe, the Middle East and beyond.

All this is amply reflected in this eponymous all instrumental debut release. Over five years in recording, it features a galaxy of over 20 great players from Brittany (guitarists Gilles le Bigot and Jacques Pellen, bassists Julien Stevenin and Alain Genty for example), Ireland (Dónal Lunny, John Doyle, Liz Carroll, Paul McSherry) and elsewhere (French-Iranian percussionist Keyvan Chemirani and leading exponents of the lyra, tabla and oud).

Traditional rearrangements of Celtic source material rub shoulders with compositions of Sylvain et ses amis. Rhythmic complexity and syncopation are touchstones but never at the expense of melody. Exhilarating and energetic, the music generally melds the rhythmic and hypnotic quality of the fest noz with wider world influences adding to the corpus of sophisticated crossover music emanating from Brittany and Scotland in particular.

The flute work is intricately interwoven into the rich tapestry of the 13 pieces that feature some excellent contributions from the other, often instantly recognisable, players. With few gentle and restful passages, the overall output is for sure pretty full on, vivid and vigorous! So, crank up the volume, loosen your limbs, and enjoy!

Kevin T. Ward

http://www.livingtradition.co.uk/webrevs/ar001.htm - The Living Tradition


"Sylvain Barou"

Si le flûtiste Sylvain BAROU avait déjà à son actif une trentaine d’albums, celui-ci est le premier où il apparaît en tant que soliste. Pour ne rien gâcher, il est accompagné d’une équipe de musiciens plus qu’honorable.
L’album est l’occasion de présenter, autour de la musique irlandaise – sa spécialité – un large échantillon d’ambiances et d’instrumentations différentes qui nous propulse des terres celtes à l’autre bout de la planète et nous fait par courts instants voyager sur d’autres terres musicales que celles des musiques traditionnelles.
On retrouve ainsi dans plusieurs titres des formes de danses irlandaises (jigs, reel), soudain traversées d’un solo de guitare jazz ou de couleurs harmoniques sortant du cadre traditionnel. Notons également les interventions très réussies de tablas, tar, zarb ou daff, instruments d’Orient qui apportent une autre couleur à ces musiques européennes, et la présence du titre Esfahan, composition du célèbre percussionniste Keyvan CHEMIRANI.
Virtuosité, couleurs et timbres foisonnent dans cet opus et montrent que ce grand maître de la flûte irlandaise a de nombreuses cordes à son arc.
Site : www.sylvainbarou.com
Chloé Breillot - Ethnotempos


"Sylvain Barou"

Si le flûtiste Sylvain BAROU avait déjà à son actif une trentaine d’albums, celui-ci est le premier où il apparaît en tant que soliste. Pour ne rien gâcher, il est accompagné d’une équipe de musiciens plus qu’honorable.
L’album est l’occasion de présenter, autour de la musique irlandaise – sa spécialité – un large échantillon d’ambiances et d’instrumentations différentes qui nous propulse des terres celtes à l’autre bout de la planète et nous fait par courts instants voyager sur d’autres terres musicales que celles des musiques traditionnelles.
On retrouve ainsi dans plusieurs titres des formes de danses irlandaises (jigs, reel), soudain traversées d’un solo de guitare jazz ou de couleurs harmoniques sortant du cadre traditionnel. Notons également les interventions très réussies de tablas, tar, zarb ou daff, instruments d’Orient qui apportent une autre couleur à ces musiques européennes, et la présence du titre Esfahan, composition du célèbre percussionniste Keyvan CHEMIRANI.
Virtuosité, couleurs et timbres foisonnent dans cet opus et montrent que ce grand maître de la flûte irlandaise a de nombreuses cordes à son arc.
Site : www.sylvainbarou.com
Chloé Breillot - Ethnotempos


"The windy breton"

Sylvain Barou
Sylvain Barou (Aremorica, 2012)

Breton flutist Breton flutist is a hard working musician in the Celtic music arena. This is his latest solo project, where he showcases his talent as a flute player, composer and global music explorer.

Naturally, Celtic music plays a leading role in Sylvain Barou. Accompanied a by a long list of Celtic music luminaries, Barou explores the contemporary side of current Celtic music, visiting with his tunes various regions and countries such as Brittany (France), Ireland and Galicia (Spain). But Sylvain Barou shows that he’s also interest in other world cultures. His musical travels take him to Eastern Europe, the Middle East, India and various parts of the Mediterranean Sea.

In addition to traditional western flutes, Sylvain Barou plays other flutes and wind instruments. These include the Indian bansuri (flute), balaban (similar to the Armenian duduk), the Irish uilleann-pipes player and the biniou kozh, which is the traditional bagpipe of Brittany.

The list of musical guests is truly impressive: Donal Lunny on bouzouki; Jacques Pellen on cittern, cello, rabab; Ronan Pellen on 12 string guitar; Julien Stevenin on double bass; Keyvan Chemirani on zarb, daff, udu; Prabhu Edouard on tabla; Gilles Le Bigot on guitar; Youenn Le Bihan on bombarde; John Doyle on guitar; Liz Carroll on fiddle; Ed Boyd on guitar; Stelios Petrakis on lyra; Hamid Reza Khabbazi on tar; Florian Baron on oud; Rubén Bada on bouzouki, Alain Genty on fretless bass, Paul MacSherry on guitar; Padraig Rynne on concertina; and Méabh O’Hare on fiddle.

Sylvain Barou is regarded as one of the best flute players of his generation. He plays primarily Irish and Breton traditional music. He has been involved in some of the most thrilling projects of the Celtic music genre. He has performed with Guidewires, Donal Lunny, Padraig Rynne, Comas, Sualtam, Guichen, Alain Genty, Denez Prigent, Jacques Pellen-Celtic Procession, Erik Marchand, Gildas & JB Boclé, Dan Ar Braz, Gilles Le Bigot, Soig Siberil, Yvan Cassar, Liz Carroll, John Doyle, Paddy Glackin, Seamie O’Dowd, Laoise Kelly, and Fred Morrisson.

He is currently a member of Irish group Guidewires and also has a new trio with legendary Irish musician Donal Lunny and Padraig Rynne. He is also involved in various other projects with Breton jazz guitarist Jacques Pellen, French-Iranian percussion maestro Keyvan Chemirani, Indian musicians Prabhu Edouard (tabla), Sandip Chatterjee (santoor), and Sukdhev Misra (violin) and Cretan genius Stelios Petrakis (lyra, saz, lauto) and also with Istanbul based oud player Smadj.

Sylvain Barou is still very involved in the Breton “fest-noz” scene (the famous dance nights of Brittany) especially with a duo with former-Ar Re Yaouank guitar player Jean-Charle Guichen.

The album Sylvain Barou is an impressive Celtic and world music album featuring a wide range of musical instruments led by the superb flute and wind instruments of Sylvain Barou.

Album available from http://www.albumtrad.com/en/sylvain-barou/00579-sylvain-barou.xhtml
- WorldMusic Central.org


"The windy breton"

Sylvain Barou
Sylvain Barou (Aremorica, 2012)

Breton flutist Breton flutist is a hard working musician in the Celtic music arena. This is his latest solo project, where he showcases his talent as a flute player, composer and global music explorer.

Naturally, Celtic music plays a leading role in Sylvain Barou. Accompanied a by a long list of Celtic music luminaries, Barou explores the contemporary side of current Celtic music, visiting with his tunes various regions and countries such as Brittany (France), Ireland and Galicia (Spain). But Sylvain Barou shows that he’s also interest in other world cultures. His musical travels take him to Eastern Europe, the Middle East, India and various parts of the Mediterranean Sea.

In addition to traditional western flutes, Sylvain Barou plays other flutes and wind instruments. These include the Indian bansuri (flute), balaban (similar to the Armenian duduk), the Irish uilleann-pipes player and the biniou kozh, which is the traditional bagpipe of Brittany.

The list of musical guests is truly impressive: Donal Lunny on bouzouki; Jacques Pellen on cittern, cello, rabab; Ronan Pellen on 12 string guitar; Julien Stevenin on double bass; Keyvan Chemirani on zarb, daff, udu; Prabhu Edouard on tabla; Gilles Le Bigot on guitar; Youenn Le Bihan on bombarde; John Doyle on guitar; Liz Carroll on fiddle; Ed Boyd on guitar; Stelios Petrakis on lyra; Hamid Reza Khabbazi on tar; Florian Baron on oud; Rubén Bada on bouzouki, Alain Genty on fretless bass, Paul MacSherry on guitar; Padraig Rynne on concertina; and Méabh O’Hare on fiddle.

Sylvain Barou is regarded as one of the best flute players of his generation. He plays primarily Irish and Breton traditional music. He has been involved in some of the most thrilling projects of the Celtic music genre. He has performed with Guidewires, Donal Lunny, Padraig Rynne, Comas, Sualtam, Guichen, Alain Genty, Denez Prigent, Jacques Pellen-Celtic Procession, Erik Marchand, Gildas & JB Boclé, Dan Ar Braz, Gilles Le Bigot, Soig Siberil, Yvan Cassar, Liz Carroll, John Doyle, Paddy Glackin, Seamie O’Dowd, Laoise Kelly, and Fred Morrisson.

He is currently a member of Irish group Guidewires and also has a new trio with legendary Irish musician Donal Lunny and Padraig Rynne. He is also involved in various other projects with Breton jazz guitarist Jacques Pellen, French-Iranian percussion maestro Keyvan Chemirani, Indian musicians Prabhu Edouard (tabla), Sandip Chatterjee (santoor), and Sukdhev Misra (violin) and Cretan genius Stelios Petrakis (lyra, saz, lauto) and also with Istanbul based oud player Smadj.

Sylvain Barou is still very involved in the Breton “fest-noz” scene (the famous dance nights of Brittany) especially with a duo with former-Ar Re Yaouank guitar player Jean-Charle Guichen.

The album Sylvain Barou is an impressive Celtic and world music album featuring a wide range of musical instruments led by the superb flute and wind instruments of Sylvain Barou.

Album available from http://www.albumtrad.com/en/sylvain-barou/00579-sylvain-barou.xhtml
- WorldMusic Central.org


"Sylvain Barou"

A Breton flute phenomenon who first hit the Irish mainstream with the group Guidewires, Barou is joined by twenty musical compadres for a solo debut which has been more than six years in the making. Worth the wait, I’d say. While the material here is mainly traditional, it’s drawn from a wider geography than usual: Brittany, Ireland obviously, but also Greece, Bulgaria, Afghanistan and elsewhere.
The swirling Naga Jigs are from the Guidewires repertoire, powerful and driving. Like much of this recording, their traditional pedigree is clear but their treatment here is unapologetically contemporary. A bit of Jaques Pellen’s jazz guitar, a strong backbeat, a very light touch on the percussion, and a couple of carefully chosen collaborators on the melody line make this a magical track. Sylvain follows up with a set of horos in the style of Andy Irvine’s East Wind album, wonderful stirring stuff with exotic rhythms and outrageous flute virtuosity. This is mainly a flute album, but the master also moonlights on uilleann pipes and the small Breton pipes.
About one third of this recording is what i think of as Irish music – Bold Doherty, The Humours of Carrigaholt, The Squares of Crossmaglen and Charlie Lennon’s Windy City. Sylvain Barou enlists the likes of Lunny, Carroll, Doyle and Rynne to provide a top–quality Irish core for these and other tunes. A further third is distinctively Breton, with Tons and Plinns and Ridees: for this, a whole P–Celtic crew chimes in, centred around the cittern of Ronan Pellen. Names like Youenn Le Bihan, Alain Genty and Giles Le Bigot bring out the best in Breton music here, from the gorgeous Margaretig to Barou’s own funky Mare Nostrum. That leaves one third split between Arab music, Asturian alboradas, and a few other things. The flute flies from one form to the next – there are no clear boundaries, just breathtaking melodies.
Nothing on this CD is too exotic to appeal to Celtic music lovers, but some of it is certainly fresh enough to raise an eyebrow or two. I like it a lot, and I hope you can all get your hands on a copy.

Alex Monaghan
- Irish Music Magazine


"Sylvain Barou"

A Breton flute phenomenon who first hit the Irish mainstream with the group Guidewires, Barou is joined by twenty musical compadres for a solo debut which has been more than six years in the making. Worth the wait, I’d say. While the material here is mainly traditional, it’s drawn from a wider geography than usual: Brittany, Ireland obviously, but also Greece, Bulgaria, Afghanistan and elsewhere.
The swirling Naga Jigs are from the Guidewires repertoire, powerful and driving. Like much of this recording, their traditional pedigree is clear but their treatment here is unapologetically contemporary. A bit of Jaques Pellen’s jazz guitar, a strong backbeat, a very light touch on the percussion, and a couple of carefully chosen collaborators on the melody line make this a magical track. Sylvain follows up with a set of horos in the style of Andy Irvine’s East Wind album, wonderful stirring stuff with exotic rhythms and outrageous flute virtuosity. This is mainly a flute album, but the master also moonlights on uilleann pipes and the small Breton pipes.
About one third of this recording is what i think of as Irish music – Bold Doherty, The Humours of Carrigaholt, The Squares of Crossmaglen and Charlie Lennon’s Windy City. Sylvain Barou enlists the likes of Lunny, Carroll, Doyle and Rynne to provide a top–quality Irish core for these and other tunes. A further third is distinctively Breton, with Tons and Plinns and Ridees: for this, a whole P–Celtic crew chimes in, centred around the cittern of Ronan Pellen. Names like Youenn Le Bihan, Alain Genty and Giles Le Bigot bring out the best in Breton music here, from the gorgeous Margaretig to Barou’s own funky Mare Nostrum. That leaves one third split between Arab music, Asturian alboradas, and a few other things. The flute flies from one form to the next – there are no clear boundaries, just breathtaking melodies.
Nothing on this CD is too exotic to appeal to Celtic music lovers, but some of it is certainly fresh enough to raise an eyebrow or two. I like it a lot, and I hope you can all get your hands on a copy.

Alex Monaghan
- Irish Music Magazine


"Dónal Lunny about Sylvain Barou"

"In the course of my musical career - particularly in the earlier
years, I have wandered in and out of many different genres of music.
Looking back on the journey, it feels like just that; a meandering
exploration which lacked a particular direction until one day I
realised that I was more connected with Irish music than any
other.From then on, the itinerary became simpler; a more direct route,
but not without occasional diversions into other regions, which
helped, and still help to replenish my passion for music generally.
Extending the analogy of travel and exploration to Sylvain, I think of
him as a mountaineer. Not only is he avidly interested in music from
every corner of the world, but he also seeks out challenges; peaks of
musical achievement which can normally only be accessed by musicians
who have been born into their particular culture, and who have served
arduous apprenticeships in their chosen disciplines. Reaching these
heights demands a degree of musicality one encounters only
occasionally.
This album is an exotic collection of music by any standards. In the
traditional tunes, the listening experience is all the more intense
and exhilarating because of the depth to which Sylvain has penetrated
the culture from which each piece originates. And in the treatment of
the newly composed pieces, the buoyant dynamic power and fluidity of
the playing is obvious.
The ongoing pursuit of musical knowledge and technique will continue
to inform and improve Sylvain's playing in different ways; most
importantly it will enable him to keep giving joy and pleasure to
those who listen to his unique voice. I feel honoured to share this
part of his great journey."

Dónal Lunny
Jan 2012 - Dónal Lunny


"Dónal Lunny about Sylvain Barou"

"In the course of my musical career - particularly in the earlier
years, I have wandered in and out of many different genres of music.
Looking back on the journey, it feels like just that; a meandering
exploration which lacked a particular direction until one day I
realised that I was more connected with Irish music than any
other.From then on, the itinerary became simpler; a more direct route,
but not without occasional diversions into other regions, which
helped, and still help to replenish my passion for music generally.
Extending the analogy of travel and exploration to Sylvain, I think of
him as a mountaineer. Not only is he avidly interested in music from
every corner of the world, but he also seeks out challenges; peaks of
musical achievement which can normally only be accessed by musicians
who have been born into their particular culture, and who have served
arduous apprenticeships in their chosen disciplines. Reaching these
heights demands a degree of musicality one encounters only
occasionally.
This album is an exotic collection of music by any standards. In the
traditional tunes, the listening experience is all the more intense
and exhilarating because of the depth to which Sylvain has penetrated
the culture from which each piece originates. And in the treatment of
the newly composed pieces, the buoyant dynamic power and fluidity of
the playing is obvious.
The ongoing pursuit of musical knowledge and technique will continue
to inform and improve Sylvain's playing in different ways; most
importantly it will enable him to keep giving joy and pleasure to
those who listen to his unique voice. I feel honoured to share this
part of his great journey."

Dónal Lunny
Jan 2012 - Dónal Lunny


"Sylvain Barou"

En duo, trio, quartette ou en smala, le souffleur breton Sylvain Barou est de toutes les rencontres et aventures en musiques du monde, un musicien préféré des musiciens, expérimenté malgré son jeune âge (il est né en 1978), fort de ses participations à une trentaine d'albums. Il a eu enfin le temps de finaliser son premier album solo. Enfin, pas si solo que ça puisque le surdoué de la flûte traversière en bois est entouré par un casting impressionnant de fines gâchettes. Une vingtaine de joueurs qui rassemblent un spectre édifiant de styles, de manières, de savoirs, mais tous habités par la musique modale.

Une culture qui irrigue à la perfection cette douzaine de morceaux, de voyages qui (re)visitent notamment les terres celtes en commençant par l’Irlande avec force jigs et autres reels (The Naga Jigs, The Windy Set, Jd’s Reels). Alborada reprend un thème traditionnel des Asturies pour en faire une ronde énergique où giguent de concert bodhran, bouzouki, fiddle, guitare, uilleann pipes. Bien sûr, la Bretagne est aussi représentée par ses musiques à danser, des ridées et plinns qui font le sel des titres… Ridées, Ton doubl plinn illuminé par un dialogue enlevé entre la guitare rock de Jacques Pellen et le tabla indien de Prabhu Edouard.

Il y a là-aussi de la gravité avec la reprise d’un traditionnel breton, Mélodie kozh qui fait pleurer biniou kozh et bombarde sur un rythme de gwerz émouvant. Un autre blues introduit une autre culture ancienne, l’art afghan de Sha Koko Jaan sublimé par le bansuri de Barou, le cistre de Ronan Pellen (neveu de Jacques), les zarb et daff de Keyvan Chemirani, la contrebasse de Julien Stevenin, la lyra de Stelios Petrakis ou la frappe magique de Prabhu. Avec Esfahan, composé par Keyvan, Hamid Reza Khabbazi déploie des accords de tar iranien quasi mystiques dans ce plus long morceau de l’album, près de dix minutes d’échanges dominés par des cordes inspirées (guitare, contrebasse, lyra, oud). Entre Est et Ouest, Sylvain Barou a trouvé la passerelle : Horos, une improvisation issue du répertoire balkanique, une sorte de jazz qui se transforme par magie en danse irlandaise.

Par Bouziane Daoudi | akhaba.com
- Akhaba


"Sylvain Barou"

En duo, trio, quartette ou en smala, le souffleur breton Sylvain Barou est de toutes les rencontres et aventures en musiques du monde, un musicien préféré des musiciens, expérimenté malgré son jeune âge (il est né en 1978), fort de ses participations à une trentaine d'albums. Il a eu enfin le temps de finaliser son premier album solo. Enfin, pas si solo que ça puisque le surdoué de la flûte traversière en bois est entouré par un casting impressionnant de fines gâchettes. Une vingtaine de joueurs qui rassemblent un spectre édifiant de styles, de manières, de savoirs, mais tous habités par la musique modale.

Une culture qui irrigue à la perfection cette douzaine de morceaux, de voyages qui (re)visitent notamment les terres celtes en commençant par l’Irlande avec force jigs et autres reels (The Naga Jigs, The Windy Set, Jd’s Reels). Alborada reprend un thème traditionnel des Asturies pour en faire une ronde énergique où giguent de concert bodhran, bouzouki, fiddle, guitare, uilleann pipes. Bien sûr, la Bretagne est aussi représentée par ses musiques à danser, des ridées et plinns qui font le sel des titres… Ridées, Ton doubl plinn illuminé par un dialogue enlevé entre la guitare rock de Jacques Pellen et le tabla indien de Prabhu Edouard.

Il y a là-aussi de la gravité avec la reprise d’un traditionnel breton, Mélodie kozh qui fait pleurer biniou kozh et bombarde sur un rythme de gwerz émouvant. Un autre blues introduit une autre culture ancienne, l’art afghan de Sha Koko Jaan sublimé par le bansuri de Barou, le cistre de Ronan Pellen (neveu de Jacques), les zarb et daff de Keyvan Chemirani, la contrebasse de Julien Stevenin, la lyra de Stelios Petrakis ou la frappe magique de Prabhu. Avec Esfahan, composé par Keyvan, Hamid Reza Khabbazi déploie des accords de tar iranien quasi mystiques dans ce plus long morceau de l’album, près de dix minutes d’échanges dominés par des cordes inspirées (guitare, contrebasse, lyra, oud). Entre Est et Ouest, Sylvain Barou a trouvé la passerelle : Horos, une improvisation issue du répertoire balkanique, une sorte de jazz qui se transforme par magie en danse irlandaise.

Par Bouziane Daoudi | akhaba.com
- Akhaba


"La flûte magique de Sylvain Barou"

Sylvain Barou. C'est l'un des flûtistes les plus brillants de sa génération. Cela fait cinq ans que l'artiste prépare ce premier enregistrement éponyme qualifié de « solo », mais enregistré en compagnie de dix-neuf prestigieux invités. Parmi eux, Dónal Lunny, Keyvan Chemirani, Liz Caroll, Jacques Pellen, Alain Genty, etc. Entre l'Irlande, la Bretagne et l'Orient, le jeune musicien virtuose jette un pont et prend de la hauteur. Loin d'une world music un peu touche-à-tout, il nous propose un métissage délicat. Un très bel album.

Aremorica Records.

art. Gwen Dayot - Ouest-France


"La flûte magique de Sylvain Barou"

Sylvain Barou. C'est l'un des flûtistes les plus brillants de sa génération. Cela fait cinq ans que l'artiste prépare ce premier enregistrement éponyme qualifié de « solo », mais enregistré en compagnie de dix-neuf prestigieux invités. Parmi eux, Dónal Lunny, Keyvan Chemirani, Liz Caroll, Jacques Pellen, Alain Genty, etc. Entre l'Irlande, la Bretagne et l'Orient, le jeune musicien virtuose jette un pont et prend de la hauteur. Loin d'une world music un peu touche-à-tout, il nous propose un métissage délicat. Un très bel album.

Aremorica Records.

art. Gwen Dayot - Ouest-France


"Sylvain Barou"

Sylvain Barou
C’est à un voyage riche de sons et rythmes multiples que nous convie le premier album solo du flûtiste Sylvain Barou, jusque là essentiellement sideman très recherché sur la planète trad. Bretagne, Asturies, Irlande et Ecosse bien sûr, mais l’interceltisme ne constitue pas la seule porte de cet enregistrement. La caravane passe par les Balkans pour se rendre en Orient, terminus en Afghanistan. Et avec ça, un générique à faire pâlir est venu donner le coup de main au maître d’œuvre…. Dans chacun des territoires qu’il explore, ses accompagnateurs lui tissent un beau tapis rythmique et harmonique sur lequel il n’a plus qu’à poser ses notes. Son gros son de flûte dégage des harmoniques puissantes, il joue volontiers du chromatisme, chose plutôt rare dans les musiques populaires et cela donne une personnalité musicale qui en fait l’égal d’un Jean-Michel Veillon, référence pionnière de la flûte en Bretagne. Il va sans dire que Sylvain Barou fait preuve d’une maturité qui l’autorise à se lancer dans des envolées hors partitions, spectaculaires en diable mais qui ne sacrifient rien à la virtuosité gratuite. Au total, un flûtiste accompli qui a su attendre pour ce premier opus, bien lui en a pris ! (Karr-Nij - juin 2012) - www.albumtrad.com - Le Cri de l'Ormeau


"Sylvain Barou"

Sylvain Barou
C’est à un voyage riche de sons et rythmes multiples que nous convie le premier album solo du flûtiste Sylvain Barou, jusque là essentiellement sideman très recherché sur la planète trad. Bretagne, Asturies, Irlande et Ecosse bien sûr, mais l’interceltisme ne constitue pas la seule porte de cet enregistrement. La caravane passe par les Balkans pour se rendre en Orient, terminus en Afghanistan. Et avec ça, un générique à faire pâlir est venu donner le coup de main au maître d’œuvre…. Dans chacun des territoires qu’il explore, ses accompagnateurs lui tissent un beau tapis rythmique et harmonique sur lequel il n’a plus qu’à poser ses notes. Son gros son de flûte dégage des harmoniques puissantes, il joue volontiers du chromatisme, chose plutôt rare dans les musiques populaires et cela donne une personnalité musicale qui en fait l’égal d’un Jean-Michel Veillon, référence pionnière de la flûte en Bretagne. Il va sans dire que Sylvain Barou fait preuve d’une maturité qui l’autorise à se lancer dans des envolées hors partitions, spectaculaires en diable mais qui ne sacrifient rien à la virtuosité gratuite. Au total, un flûtiste accompli qui a su attendre pour ce premier opus, bien lui en a pris ! (Karr-Nij - juin 2012) - www.albumtrad.com - Le Cri de l'Ormeau


"Le Telegramme - 10 Mai 2012"

Grandiose de virtuosité et de couleurs musicales, l'album éponyme du surdoué Sylvain Barou est en tous points sublime. Le flûtiste ayant mis à son générique instrumental hyper créatif, le gotha de nos meilleures pointures pour douze titres d'inspiration celtique, mais également afghane avec l'étonnant morceau «Shah Koko Jaan».
- Le Telegramme


"Le Telegramme - 10 Mai 2012"

Grandiose de virtuosité et de couleurs musicales, l'album éponyme du surdoué Sylvain Barou est en tous points sublime. Le flûtiste ayant mis à son générique instrumental hyper créatif, le gotha de nos meilleures pointures pour douze titres d'inspiration celtique, mais également afghane avec l'étonnant morceau «Shah Koko Jaan».
- Le Telegramme


"Talents en scène. Une belle édition"

Depuis sept ans, le festival Cornouaille-Quimper invite, début février, les chanteurs et musiciens bretons à présenter leurs dernières créations. Cette soirée, baptisée Talents en scène, a eu lieu vendredi soir au Pavillon.


Ce Talents en scène, joliment présenté par Bernadette Bourvon, s'est avéré très éclectique. Cinq groupes, un chanteur musicien fan d'informatique ont tenté de conquérir un public nombreux, parfois un peu tiède. Venu de Lanester, Le Swing du Lundi ne manque pas de charme. Frédérique Miossec, clarinettiste très inspiré, encadre joliment la voix bien timbrée de Morwenn Le Normand. Le groupe revendique son appartenance au jazz manouche. À notre avis, on penche plus ici du côté de Broadway que de Grappelli et Django Reinhard! Mais peu importe, même encore un peu vert, Le Swing du Lundi a vraiment les moyens de rêver d'un bel avenir.

De l'audace

Nous étions des inconditionnels d'Ozan Trio, au sein duquel officiait avec bonheur Armel An Hejer. Hélas, l'ensemble est en «vacances» et le chanteur officie désormais en solo. Il fait depuis l'an dernier un vrai pari: donner au Hirvoud breton, la même aura que le fameux Saudade portugais. Pari un peu fou, un rien démesuré! En effet, si la voix est toujours aussi belle, même un peu forcée, les chansons perdent leur caractère populaire et semblent un peu intello. De plus, on se perd un peu dans cette musique hindoue-moyen-orientale qui l'accompagne, même si c'est extrêmement bien fait. On regrette ce temps où, tel qu'en lui-même, Armel Ah Hejer nous faisait rêver! Véritable homme-orchestre, Krismenn et son ordinateur savent tout faire. L'artiste a voulu apprendre le breton du peuple, marier le rap d'aujourd'hui et les mots d'hier, cela lui réussit à merveille!

Visite d'étonnants univers

Fidèle à lui-même, le flûtiste Sylvain Barou, entouré de superbes musiciens, offre ses reels, ses plinns. Avant le passage de l'excellent groupe de Julien Jaffres, véritable vedette de cette soirée, nous découvrons Darkan, un ensemble vraiment prometteur. Résolument tournés vers la chanson à texte agrémentée d'une musique solide et plutôt belle, Frédéric et ses comparses visitent d'étonnants univers. Julien Jaffres, sa guitare éloquente, ses impros, ses rythmes bâtissent une musique séduisante. Le public se réveille et apprécie! Il a raison. Tous ces groupes seront au Cornouaille 2012, du 24 au 29juillet.

Éliane Faucon-Dumont - Le Télégramme


"Talents en scène. Une belle édition"

Depuis sept ans, le festival Cornouaille-Quimper invite, début février, les chanteurs et musiciens bretons à présenter leurs dernières créations. Cette soirée, baptisée Talents en scène, a eu lieu vendredi soir au Pavillon.


Ce Talents en scène, joliment présenté par Bernadette Bourvon, s'est avéré très éclectique. Cinq groupes, un chanteur musicien fan d'informatique ont tenté de conquérir un public nombreux, parfois un peu tiède. Venu de Lanester, Le Swing du Lundi ne manque pas de charme. Frédérique Miossec, clarinettiste très inspiré, encadre joliment la voix bien timbrée de Morwenn Le Normand. Le groupe revendique son appartenance au jazz manouche. À notre avis, on penche plus ici du côté de Broadway que de Grappelli et Django Reinhard! Mais peu importe, même encore un peu vert, Le Swing du Lundi a vraiment les moyens de rêver d'un bel avenir.

De l'audace

Nous étions des inconditionnels d'Ozan Trio, au sein duquel officiait avec bonheur Armel An Hejer. Hélas, l'ensemble est en «vacances» et le chanteur officie désormais en solo. Il fait depuis l'an dernier un vrai pari: donner au Hirvoud breton, la même aura que le fameux Saudade portugais. Pari un peu fou, un rien démesuré! En effet, si la voix est toujours aussi belle, même un peu forcée, les chansons perdent leur caractère populaire et semblent un peu intello. De plus, on se perd un peu dans cette musique hindoue-moyen-orientale qui l'accompagne, même si c'est extrêmement bien fait. On regrette ce temps où, tel qu'en lui-même, Armel Ah Hejer nous faisait rêver! Véritable homme-orchestre, Krismenn et son ordinateur savent tout faire. L'artiste a voulu apprendre le breton du peuple, marier le rap d'aujourd'hui et les mots d'hier, cela lui réussit à merveille!

Visite d'étonnants univers

Fidèle à lui-même, le flûtiste Sylvain Barou, entouré de superbes musiciens, offre ses reels, ses plinns. Avant le passage de l'excellent groupe de Julien Jaffres, véritable vedette de cette soirée, nous découvrons Darkan, un ensemble vraiment prometteur. Résolument tournés vers la chanson à texte agrémentée d'une musique solide et plutôt belle, Frédéric et ses comparses visitent d'étonnants univers. Julien Jaffres, sa guitare éloquente, ses impros, ses rythmes bâtissent une musique séduisante. Le public se réveille et apprécie! Il a raison. Tous ces groupes seront au Cornouaille 2012, du 24 au 29juillet.

Éliane Faucon-Dumont - Le Télégramme


"Mor Kreizdouar, un pont entre Orient et Occident - Lorient"

Sylvain Barou, flûtiste très inspiré, a invité quatre musiciens à partager son sens du voyage. Un régal de musique épicée dont la première a lieu ce vendredi soir à Amzer Nevez.

L'initiative

Voilà une invitation envoûtante dès la première note, où la musique modale joue pleinement son rôle : toujours prête à vous embarquer pour un temps qui ne compte pas, car les pièces sonores sont si descriptives d'ambiances et d'émotions qu'il faut naviguer au long cours. Sylvain Barou, virtuose de la flûte traversière en bois, a de solides idées, des projets précis. Pour le bonheur des mélomanes, il cède à ses envies.

Longues distances et dépaysements

En lançant son Mor Kreizdouar Projekt, il annonçait vouloir jouer sur la palette des couleurs autour de la mer Méditerranée avec un brin de sel atlantique pour unir l'Orient et l'Occident, lui-même étant un voyageur qui aime les longues distances et les dépaysements. « Ce projet est assez récent. J'ai d'abord eu envie de jouer avec Stelios Petrakis, musicien crétois (laouto, lyra, saz), dont je connaissais la musique, mais que je n'avais pas encore rencontré avant la semaine dernière. »

De là à convier Keyvan Chemirani, percussionniste d'origine iranienne, ayant travaillé avec Stellios, il n'y avait qu'un pas. Deux autres ont vite été accomplis. S'offrir la voix d'Érik Marchand, qui a su tôt regarder vers l'Est, les Balkans et d'autres horizons sans jamais trahir la Bretagne qui l'inspire, en quête de sons et styles renouvelés pour nourrir ses recherches sur la musique modale qui s'oppose, en écriture, à la musique classique, était devenu une évidence. Complétée avec la venue, dans cette « réunion de musiciens », de Florian Baron, qui s'affirme comme un maître breton de l'oud. « On ne partait pas tout à fait dans l'inconnu. »

Mettre les différences en commun

Tous ont en commun d'apprécier les différences et de les mettre en commun. « C'est une grande marmite avec beaucoup d'épices, s'amuse Sylvain Barou. Chacun a apporté ses thèmes sur lesquels nous avons travaillé. Il n'y a pas de morceau créé spécialement pour ce concert, mais des apports de chacun, des improvisations aussi, le chant breton restant l'élément fédérateur de l'ensemble. »

Le risque aurait été de sombrer dans une forme de métissage, parfois un peu galvaudé. La richesse musicale, vient de cette ligne conductrice, bien ancrée, mais vagabonde, car chaque instrumentiste ajoute sa couleur pour un véritable alliage. C'est assez rare pour le souligner.

Ce quintet offre ainsi neuf pièces musicales avec des développements sensibles, de riches variations, comme cette suite vannetaise sur l'en-dro, le kas-a-barh et l'hanter dro, des saveurs grecques, turques, iraniennes, mêmes afghanes. Des notes venues d'un lointain si proche par la construction mélodique et rythmique. La complicité entre les musiciens génère une intensité qui vous embarque sur cette « mer coeur de la terre », avec pour ambition d'autres concerts et un disque avec des inédits.

Vendredi 20 janvier, à 21 h précises, au centre culturel Amzer Nevez, Ploemeur. Un spectacle coproduit par le Festival interceltique de Lorient et le Festival de Cornouaille, dans le cadre des Deizioù. Entrée : 12 €; 14 €.

Gildas JAFFRÉ. - Ouest France


"Mor Kreizdouar, un pont entre Orient et Occident - Lorient"

Sylvain Barou, flûtiste très inspiré, a invité quatre musiciens à partager son sens du voyage. Un régal de musique épicée dont la première a lieu ce vendredi soir à Amzer Nevez.

L'initiative

Voilà une invitation envoûtante dès la première note, où la musique modale joue pleinement son rôle : toujours prête à vous embarquer pour un temps qui ne compte pas, car les pièces sonores sont si descriptives d'ambiances et d'émotions qu'il faut naviguer au long cours. Sylvain Barou, virtuose de la flûte traversière en bois, a de solides idées, des projets précis. Pour le bonheur des mélomanes, il cède à ses envies.

Longues distances et dépaysements

En lançant son Mor Kreizdouar Projekt, il annonçait vouloir jouer sur la palette des couleurs autour de la mer Méditerranée avec un brin de sel atlantique pour unir l'Orient et l'Occident, lui-même étant un voyageur qui aime les longues distances et les dépaysements. « Ce projet est assez récent. J'ai d'abord eu envie de jouer avec Stelios Petrakis, musicien crétois (laouto, lyra, saz), dont je connaissais la musique, mais que je n'avais pas encore rencontré avant la semaine dernière. »

De là à convier Keyvan Chemirani, percussionniste d'origine iranienne, ayant travaillé avec Stellios, il n'y avait qu'un pas. Deux autres ont vite été accomplis. S'offrir la voix d'Érik Marchand, qui a su tôt regarder vers l'Est, les Balkans et d'autres horizons sans jamais trahir la Bretagne qui l'inspire, en quête de sons et styles renouvelés pour nourrir ses recherches sur la musique modale qui s'oppose, en écriture, à la musique classique, était devenu une évidence. Complétée avec la venue, dans cette « réunion de musiciens », de Florian Baron, qui s'affirme comme un maître breton de l'oud. « On ne partait pas tout à fait dans l'inconnu. »

Mettre les différences en commun

Tous ont en commun d'apprécier les différences et de les mettre en commun. « C'est une grande marmite avec beaucoup d'épices, s'amuse Sylvain Barou. Chacun a apporté ses thèmes sur lesquels nous avons travaillé. Il n'y a pas de morceau créé spécialement pour ce concert, mais des apports de chacun, des improvisations aussi, le chant breton restant l'élément fédérateur de l'ensemble. »

Le risque aurait été de sombrer dans une forme de métissage, parfois un peu galvaudé. La richesse musicale, vient de cette ligne conductrice, bien ancrée, mais vagabonde, car chaque instrumentiste ajoute sa couleur pour un véritable alliage. C'est assez rare pour le souligner.

Ce quintet offre ainsi neuf pièces musicales avec des développements sensibles, de riches variations, comme cette suite vannetaise sur l'en-dro, le kas-a-barh et l'hanter dro, des saveurs grecques, turques, iraniennes, mêmes afghanes. Des notes venues d'un lointain si proche par la construction mélodique et rythmique. La complicité entre les musiciens génère une intensité qui vous embarque sur cette « mer coeur de la terre », avec pour ambition d'autres concerts et un disque avec des inédits.

Vendredi 20 janvier, à 21 h précises, au centre culturel Amzer Nevez, Ploemeur. Un spectacle coproduit par le Festival interceltique de Lorient et le Festival de Cornouaille, dans le cadre des Deizioù. Entrée : 12 €; 14 €.

Gildas JAFFRÉ. - Ouest France


"Sylvain Barou, ambassadeur breton en Irlande ? - Quimper"

« On voit beaucoup d'Irlandais venir partager leur musique en Bretagne, mais l'inverse est plus rare » explique Sylvain Barou. Le jeune musicien fait donc partie du peu de Bretons qui partent jouer en Irlande : il est le seul Français dans le groupe Guidewires, ainsi que dans le trio qui se produira ce soir, avec les Irlandais Donal Lunny et Padraig Rynne. « Ces deux-là sont des dinosaures, des légendes vivantes ! Je rêvais de les rencontrer, aujourd'hui je joue avec eux, c'est au-delà de ce que j'attendais. »

Sylvain Barou a d'abord grandi dans l'univers de la musique irlandaise, puis dans l'ambiance des fest-noz bretons. Son discours musical s'étoffe au fur et à mesure des rencontres : le jazz de Jacques Pellen ou la musique orientale, avec des musiciens indiens ou du Moyen-Orient. C'est pendant l'enregistrement d'un CD de Denez Prigent que Sylvain rencontre le légendaire Donal Lunny, dont la liste des travaux est incroyable.

Sylvain crée en 2008 les Guidewires, avec notamment Padraig Rynne, groupe d'une énergie et d'une fraîcheur musicale, qui s'est produit hier soir à l'Évêché. Sur un plateau d'une émission irlandaise, qui invite des musiciens plus ou moins connus pour promouvoir la musique traditionnelle, Sylvain propose à Donal Lunny un projet de trio, avec Padraig Rynne. L'idée est donc concrétisée, et la formule, petite et unique, semble très attendue. Un concert rare.

Ce jeudi soir, à 21 h 15 à l'Évêché. - Ouest France


"Sylvain Barou, ambassadeur breton en Irlande ? - Quimper"

« On voit beaucoup d'Irlandais venir partager leur musique en Bretagne, mais l'inverse est plus rare » explique Sylvain Barou. Le jeune musicien fait donc partie du peu de Bretons qui partent jouer en Irlande : il est le seul Français dans le groupe Guidewires, ainsi que dans le trio qui se produira ce soir, avec les Irlandais Donal Lunny et Padraig Rynne. « Ces deux-là sont des dinosaures, des légendes vivantes ! Je rêvais de les rencontrer, aujourd'hui je joue avec eux, c'est au-delà de ce que j'attendais. »

Sylvain Barou a d'abord grandi dans l'univers de la musique irlandaise, puis dans l'ambiance des fest-noz bretons. Son discours musical s'étoffe au fur et à mesure des rencontres : le jazz de Jacques Pellen ou la musique orientale, avec des musiciens indiens ou du Moyen-Orient. C'est pendant l'enregistrement d'un CD de Denez Prigent que Sylvain rencontre le légendaire Donal Lunny, dont la liste des travaux est incroyable.

Sylvain crée en 2008 les Guidewires, avec notamment Padraig Rynne, groupe d'une énergie et d'une fraîcheur musicale, qui s'est produit hier soir à l'Évêché. Sur un plateau d'une émission irlandaise, qui invite des musiciens plus ou moins connus pour promouvoir la musique traditionnelle, Sylvain propose à Donal Lunny un projet de trio, avec Padraig Rynne. L'idée est donc concrétisée, et la formule, petite et unique, semble très attendue. Un concert rare.

Ce jeudi soir, à 21 h 15 à l'Évêché. - Ouest France


"Sylvain Barou article on wikipedia"

Durant sa carrière il joue dans divers formations : Guidewires, Celtic Procession, Jean-Charles Guichen (duo), David Pasquet (Group et duo), Florian Baron (duo), Pasquet-Guichen (trio), Olli & The Bollywood Orchestra, Mor Kreizdouar Projekt (Petrakis-Chemirani-Marchand-Baron), Donal Lunny-Pádraig Rynne (trio), John Doyle-Seamie O'Dowd (trio), Landat-Moisson (quartet), Veillon-Hamon (quintet), Mishra-Pellen (quintet), Sualtam (quintet), Chaturanga, Smadj, Dhol Foundation, Comas, Thali4Gang1...
Il enregistre sur plus d'une trentaine d'albums pour des artistes comme Denez Prigent, Dan Ar Braz, Soig Siberil, Gilles Le Bigot, Liz Carroll, Yvan Cassar, Alain Genty, Erik Marchand, les frères Boclé, Keyvan Chemirani, Prabhu Edouard...
Son projet sous son nom est en élaboration depuis 2007. Son premier album solo sort en janvier 2012. De noubreux invités y sont conviés : Donal Lunny, Gilles Le Bigot, John Doyle, Alain Genty, Youenn Le Bihan, Prabhu Edouard... Sur scène il est accompagné de Ronan et Jacques Pellen, Julien Stevenin et Keyvan Chemirani ou en formule trio (Pellen-Chemirani).
Discographie[modifier]

2012 : Sylvain Barou (Aremorica records)
2010 : Hamon Martin Quintet : Du silence et du temps
2010 : J-B & Gildas Boclé - Keltic Tales : Crossfields
2009 : Guidewires : Live
2008 : Olli & The Bollywood Orchestra : Tantra
2008 : Seheno : Ka
2007 : David Pasquet : Sa difference
2007 : Nuit de la Saint Patrick à Bercy
2007 : KV Express : Luna
2005 : Olli & The Bollywood Orchestra : Kitch’En
2005 : David Pasquet Group : Breudeur Ar Stered
2005 : Wooden Flute Obsession : Vol.1
2005 : Chris Dawson & Keltiac : Out on the edge
2004 : Guichen : Frères
2004 : Aidan Burke : Feel the bow
2004 : Helen Flaherty : Oft times I’ve been cheery
2004 : Denez Prigent : Sarac’h
2003 : Yvan Cassar : L’Odyssée de L’Espèce
2003 : Comas
2003 : Nolwenn Korbell : N’eo Ket Echu
2003 : Beltaine : Irish traditional dance music
2003 : Land’s end : Kildroennoù spered
2002 : Karma : Liesliw
2002 : Sualtam : Irish music
2002 : Denez Prigent : Live Holl A Grevret
2000 : Denez Prigent : Irvi
2000 : Gwazigan : Y’avait du monde
2000 : Djal : Nuits blanches
2000 : Pigtown : Irish music
2000 : Hyaëna : Le fer et la soie
1999 : Ceol : The last order
- Wikipedia


"Sylvain Barou article on wikipedia"

Durant sa carrière il joue dans divers formations : Guidewires, Celtic Procession, Jean-Charles Guichen (duo), David Pasquet (Group et duo), Florian Baron (duo), Pasquet-Guichen (trio), Olli & The Bollywood Orchestra, Mor Kreizdouar Projekt (Petrakis-Chemirani-Marchand-Baron), Donal Lunny-Pádraig Rynne (trio), John Doyle-Seamie O'Dowd (trio), Landat-Moisson (quartet), Veillon-Hamon (quintet), Mishra-Pellen (quintet), Sualtam (quintet), Chaturanga, Smadj, Dhol Foundation, Comas, Thali4Gang1...
Il enregistre sur plus d'une trentaine d'albums pour des artistes comme Denez Prigent, Dan Ar Braz, Soig Siberil, Gilles Le Bigot, Liz Carroll, Yvan Cassar, Alain Genty, Erik Marchand, les frères Boclé, Keyvan Chemirani, Prabhu Edouard...
Son projet sous son nom est en élaboration depuis 2007. Son premier album solo sort en janvier 2012. De noubreux invités y sont conviés : Donal Lunny, Gilles Le Bigot, John Doyle, Alain Genty, Youenn Le Bihan, Prabhu Edouard... Sur scène il est accompagné de Ronan et Jacques Pellen, Julien Stevenin et Keyvan Chemirani ou en formule trio (Pellen-Chemirani).
Discographie[modifier]

2012 : Sylvain Barou (Aremorica records)
2010 : Hamon Martin Quintet : Du silence et du temps
2010 : J-B & Gildas Boclé - Keltic Tales : Crossfields
2009 : Guidewires : Live
2008 : Olli & The Bollywood Orchestra : Tantra
2008 : Seheno : Ka
2007 : David Pasquet : Sa difference
2007 : Nuit de la Saint Patrick à Bercy
2007 : KV Express : Luna
2005 : Olli & The Bollywood Orchestra : Kitch’En
2005 : David Pasquet Group : Breudeur Ar Stered
2005 : Wooden Flute Obsession : Vol.1
2005 : Chris Dawson & Keltiac : Out on the edge
2004 : Guichen : Frères
2004 : Aidan Burke : Feel the bow
2004 : Helen Flaherty : Oft times I’ve been cheery
2004 : Denez Prigent : Sarac’h
2003 : Yvan Cassar : L’Odyssée de L’Espèce
2003 : Comas
2003 : Nolwenn Korbell : N’eo Ket Echu
2003 : Beltaine : Irish traditional dance music
2003 : Land’s end : Kildroennoù spered
2002 : Karma : Liesliw
2002 : Sualtam : Irish music
2002 : Denez Prigent : Live Holl A Grevret
2000 : Denez Prigent : Irvi
2000 : Gwazigan : Y’avait du monde
2000 : Djal : Nuits blanches
2000 : Pigtown : Irish music
2000 : Hyaëna : Le fer et la soie
1999 : Ceol : The last order
- Wikipedia


"New Album from Breton Flautist Sylvain Barou"

Breton member of Guidewires, flautist, Sylvain Barou, has his first solo album coming out later this month featuring guest musicians such as Dónal Lunny, Jacques Pellen, Ronan Pellen, Julien Stevenin, Keyvan Chemirani, Prabhu Edouard, John Doyle, Liz Carroll, Stelios Petrakis, Pádraig Rynne, and Méabh O'Hare.
Guidewires flautist, Sylvain Barou, has a new album, his first solo one, coming out later this month. Self-titled, it features a long list of guest musicians, some traditional Irish, some Breton and some from further afield; namely, Dónal Lunny, Jacques Pellen, Ronan Pellen, Julien Stevenin, Keyvan Chemirani, Prabhu Edouard, Gilles Le Bigot, Youenn Le Bihan, John Doyle, Liz Carroll, Ed Boyd, Stelios Petrakis, Hamid Reza Khabbazi, Florian Baron, Rubén Bada, Alain Genty, Pádraig Rynne, and Méabh O’Hare.

Based in Rennes in Brittany, Barou has spent a good bit of time in Ireland, and describes this album as being ‘like a log book of the work of the last ten years’, including Breton, Irish, Indian, Eastern European, Greek and Middle Eastern elements. With all the variety of influences, Barou explains that he didn’t want the album to ‘feel like you are changing CDs on every track’, and so paid particular attention to ‘keeping some homogeneity to the sound’.

About half of the tracks are traditional (including a good few Irish tunes, such as the jigs ‘Grier’s’ and ‘Bold Doherty’, and the reels the ‘Humours of Carrigaholt’ and the ‘Squares Of Crossmaglen’), mostly from old tapes and recordings Barou has been collecting over the years, but also some he has learned along the way from friends. The more exotic material includes a famous 7/8 traditional Afghan song, ‘Shah Koko Jaan’, adapted as a tune, and some Greek and Bulgarian pieces. The rest are compositions by Barou and by friends like Ronan Pellen, the cittern player, who happens to be a neighbour, and Keyvan Chemirani (the French-Iranian percussionist).

Lunny, who has been playing with Barou and Padraig Rynne in a trio of late, has this to say of Barou: ‘I think of him as a mountaineer. Not only is he avidly interested in music from every corner of the world, but he also seeks out challenges; peaks of musical achievement which can normally only be accessed by musicians who have been born into their particular culture… Reaching these heights demands a degree of musicality one encounters only occasionally.’

Barou himself shared some interesting thoughts on the traditional music scene in Ireland with The Journal of Music:

‘From the external view that I have here, it would seem that Ireland is more conservative than Scotland, for example. We see many examples of groundbreaking and extremely innovative traditional music coming from there lately, and the same goes for the new Breton music scene. But on the other hand, I heard some absolutely gorgeous ‘pure drop’ trad music played by really young Irish musicians recently which really impressed me, and which is fantastic too.

I think the music we are going to hear from Ireland in the coming years is going to be fascinating. Musicians and also the audiences are much more open-minded now than they used to be, even ten years ago. I feel that Irish musicians are protecting their tradition very well while also bringing it to new places thanks to some interesting crossover work that we can see happening more often.

I just hope that the public will continue to support Irish music. I was a bit shocked to realise that it’s very hard even for some of the most famous Irish acts to sell out a venue. People don’t go out to gigs as much as they used to. It’s sad. Trad music needs to be supported more, by the population and by the policy makers
- The Journal Of Music


"New Album from Breton Flautist Sylvain Barou"

Breton member of Guidewires, flautist, Sylvain Barou, has his first solo album coming out later this month featuring guest musicians such as Dónal Lunny, Jacques Pellen, Ronan Pellen, Julien Stevenin, Keyvan Chemirani, Prabhu Edouard, John Doyle, Liz Carroll, Stelios Petrakis, Pádraig Rynne, and Méabh O'Hare.
Guidewires flautist, Sylvain Barou, has a new album, his first solo one, coming out later this month. Self-titled, it features a long list of guest musicians, some traditional Irish, some Breton and some from further afield; namely, Dónal Lunny, Jacques Pellen, Ronan Pellen, Julien Stevenin, Keyvan Chemirani, Prabhu Edouard, Gilles Le Bigot, Youenn Le Bihan, John Doyle, Liz Carroll, Ed Boyd, Stelios Petrakis, Hamid Reza Khabbazi, Florian Baron, Rubén Bada, Alain Genty, Pádraig Rynne, and Méabh O’Hare.

Based in Rennes in Brittany, Barou has spent a good bit of time in Ireland, and describes this album as being ‘like a log book of the work of the last ten years’, including Breton, Irish, Indian, Eastern European, Greek and Middle Eastern elements. With all the variety of influences, Barou explains that he didn’t want the album to ‘feel like you are changing CDs on every track’, and so paid particular attention to ‘keeping some homogeneity to the sound’.

About half of the tracks are traditional (including a good few Irish tunes, such as the jigs ‘Grier’s’ and ‘Bold Doherty’, and the reels the ‘Humours of Carrigaholt’ and the ‘Squares Of Crossmaglen’), mostly from old tapes and recordings Barou has been collecting over the years, but also some he has learned along the way from friends. The more exotic material includes a famous 7/8 traditional Afghan song, ‘Shah Koko Jaan’, adapted as a tune, and some Greek and Bulgarian pieces. The rest are compositions by Barou and by friends like Ronan Pellen, the cittern player, who happens to be a neighbour, and Keyvan Chemirani (the French-Iranian percussionist).

Lunny, who has been playing with Barou and Padraig Rynne in a trio of late, has this to say of Barou: ‘I think of him as a mountaineer. Not only is he avidly interested in music from every corner of the world, but he also seeks out challenges; peaks of musical achievement which can normally only be accessed by musicians who have been born into their particular culture… Reaching these heights demands a degree of musicality one encounters only occasionally.’

Barou himself shared some interesting thoughts on the traditional music scene in Ireland with The Journal of Music:

‘From the external view that I have here, it would seem that Ireland is more conservative than Scotland, for example. We see many examples of groundbreaking and extremely innovative traditional music coming from there lately, and the same goes for the new Breton music scene. But on the other hand, I heard some absolutely gorgeous ‘pure drop’ trad music played by really young Irish musicians recently which really impressed me, and which is fantastic too.

I think the music we are going to hear from Ireland in the coming years is going to be fascinating. Musicians and also the audiences are much more open-minded now than they used to be, even ten years ago. I feel that Irish musicians are protecting their tradition very well while also bringing it to new places thanks to some interesting crossover work that we can see happening more often.

I just hope that the public will continue to support Irish music. I was a bit shocked to realise that it’s very hard even for some of the most famous Irish acts to sell out a venue. People don’t go out to gigs as much as they used to. It’s sad. Trad music needs to be supported more, by the population and by the policy makers
- The Journal Of Music


Discography

2013: Trio Donal Lunny/Padraig Rynne/Sylvain Barou "TRIAD"
2012 : Sylvain Barou "Sylvain Barou"
2010 : Hamon Martin Quintet : Du silence et du temps
2010 : J-B & Gildas Boclé - Keltic Tales : Crossfields
2009 : Guidewires : Live
2008 : Olli & The Bollywood Orchestra : Tantra
2008 : Seheno : Ka
2007 : David Pasquet : Sa difference
2007 : Nuit de la Saint Patrick à Bercy
2007 : KV Express : Luna
2005 : Olli & The Bollywood Orchestra : Kitch’En
2005 : David Pasquet Group : Breudeur Ar Stered
2005 : Wooden Flute Obsession : Vol.1
2005 : Chris Dawson & Keltiac : Out on the edge
2004 : Guichen : Frères
2004 : Aidan Burke : Feel the bow
2004 : Helen Flaherty : Oft times I’ve been cheery
2004 : Denez Prigent : Sarac’h
2003 : Yvan Cassar : L’Odyssée de L’Espèce
2003 : Comas
2003 : Nolwenn Korbell : N’eo Ket Echu
2003 : Beltaine : Irish traditional dance music
2003 : Land’s end : Kildroennoù spered
2002 : Karma : Liesliw
2002 : Sualtam : Irish music
2002 : Denez Prigent : Live Holl A Grevret
2000 : Denez Prigent : Irvi
2000 : Gwazigan : Y’avait du monde
2000 : Djal : Nuits blanches
2000 : Pigtown : Irish music
2000 : Hyaëna : Le fer et la soie
1999 : Ceol : The last order

Photos

Bio

"Sylvain Barou, from Brittany is considered as one of the best flute players. Coming originally from celtic traditional music background, Sylvain has been part of some of the most exciting projects of the genre and played with the foremost bands and musicians such as Donal Lunny, Guidewires, Frères Guichen, Erik Marchand, Alain Genty, Denez Prigent, Jacques Pellen, Celtic Procession, Dan Ar Braz, Gilles Le Bigot, Soig Siberil, Yvan Cassar, Liam Ó Maonlaí, Liz Carroll, John Doyle, etc... he has been performing at some of the major festivals and venues such as Glasgow Celtic Connections, Festival Interceltique de Lorient, Festival de Cornouaille, Festival des Vieilles Charrues, Les Tombées de la Nuit, Transmusicales, Paléo Festival, Ennis Trad Festival, FMM Sines, Théatre de La Ville, Jazz à Vienne, Bercy, Stade de France, Musiques Nomades in Nouakchott, Tanger Festival, Dranouter Folk Fest, etc...

Today, Sylvain travels the world with the irish group Guidewires and with a new trio with irish legendary musician Donal Lunny and Padraig Rynne and apart from touring with his own quintet, Sylvain is also participating to several projects with breton jazz guitarist Jacques Pellen, including a new band with Trilok Gurtu, and also with musicians from other musical realms such as french-iranian percussion wizard Keyvan Chemirani, indian musicians Prabhu Edouard (tabla) Sandip Chatterjee (santoor) and Sukdhev Misra (violin) and Cretan genius Stelios Petrakis (lyra, saz, laouto) also with Istanbul based oud player Smadj.
He is still very active in the breton "fest-noz" scene (the famous dance nights of Brittany!)
Sylvain also experiments regularly with other musical styles that he has been studying (indian classical music, sufi music from Turkey, persian music, greek folk...) and plays other instruments such as indian bansuri, balaban (similar to duduk) persian ney, and he is also a very accomplished uilleann-pipes player and also biniou kozh (traditional bagpipe of Brittany).

Always experimenting with sonic design and new paths, Sylvain Barou is also a busy recording/mixing engineer, and has already been involved in several electronic music projects too.