DEWEARE
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Band Alternative Rock

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Music

The best kept secret in music

Press


"Journal de Montréal"

Ça s’amorce avec la chanson titre où une voix presque aussi grave que celle
de Leonard Cohen précède une rythmique galopante qui s’incruste
immédiatement dans notre cortex. Voilà! Nous sommes accros et peu de
compositions sur ce premier disque de Franck Deweare nous incitent à aller
voir ailleurs. Peut-être parce qu’on aime les univers tordus, des musiques qui
nous rappellent vaguement Bran Van 3000, ou tout simplement parce qu’on
est conquis du travail des Alex McMahon, Jean-Philippe Goncalves, Carl
Bastien et Éloi Painchaud, tous réquisitionnés pour la production. - Philippe Rezzonico


"Nightlife Magazine"

De l’électro-pop élégante et étonnamment accrocheuse, propulsée
par une voix chaleureuse et nonchalante, voilà le programme
proposé par ce premier disque de Deweare (prononcez Devère),
artiste d’origine française et Montréalais d’adoption. Mixée par
Carl Bastien et comptant la participation de membres de Plaster,
Motus 3F, Odd et Afrodizz, High Class Trauma se veut une trame
sonore éclectique, à la fois groovy et aérienne, mais empruntant un
peu trop souvent à Gainsbourg. Certes, le bonhomme a de la classe
et du talent à revendre… (SM) - Stéphane Martel


"REEL RADIO"

Protégé d’Alain Bashung, d’Afrodizz et d’Ariane
Moffatt, le Français Franck Deweare (prononcé deverre)
a préféré donner forme à ses mélodies en
anglais. Sa voix rappelant étrangement celle de Stefie
Shock s’impose dans les dix chansons de High Class
Ttrauma.
The new dawn, le premier single de l’album, donne le
ton de ce dernier. À notre plus grand plaisir, la
vibrante et aérienne Betty Bonifassi (Les triplettes de
Belleville, Dj Champion) donne un souffle poignant
au refrain. Deweare remet les pendules à l’heure avec les propos engagés de Think et
enchaîne avec une transe grivoise, Horny illusions : il sait rouspéter et radoter ses
amours cernées. Coupée au speed de riche, la dernière piste a l’aura d’un lendemain de
veille.
Mixé par le très chic Carl Bastien, le premier album de Deweare ne déclenche aucune
névrose. Rock, pop et électro; l’hétéroclite High class trauma invite sporadiquement
des cuivres, des cordes, un clavecin, du scratch et le piano de Satie à se joindre à son
cercle huppé déjà honoré par la présence du Bâtârd magique et de la Femme tigre.
Exhortation à la démesure, attachez vos cravates avec de la broche. - Émilie Larivière


"Vue Weekly"

High Class Trauma is the debut album from France’s Franck Deweare. The title track
opens the disc with Deweare entering the picture sounding something like a damaged
cocktail lounge singer, backed with ringing piano chords, bass and drums. The
soundscape changes quickly, though, as the song winds its way through a sustained
string-sound and right into a dark disco grind. Deweare never lets the music get away
from him, keeping it restrained beneath the weight of a well-written and dramatic groove,
but that’s not to say that he’s playing it safe.
The opening sets the bar high, and while Deweare never crashes, it is occasionally
difficult to match that initial kick: “Back From Hell” never quite capitalizes on its cool
guitar and horn lines. Still, the record as a whole is pretty good—“Swallow” has some
nice hammered piano chords and spiraling guitar lines, and “Magic Bastard” is all about
the collision between a wicked bass, the B3 organ and some funky guitar. Does Deweare
reinvent the wheel here: no. Does he indulge in an intoxicating brew of darkness forged
in the netherworld of that ultra-cool hipster joint over on the wrong side of the tracks?
You bet. - EDEN MUNRO


"Voir Montréal"

Deweare vous emmène au cinéma avec High Class Trauma, un disque de chansons ficelées qui évoquent la nonchalance de Beck et la classe de Gainsbourg. Rencontre avec un chanteur qui assume bien ses paradoxes.

C'est la tombée du jour et Deweare sirote un scotch dans la demi-pénombre du bistro parce qu'il ne boit plus. Deweare n'est pas son nom pour les intimes, appelez-le plutôt Franck. Franck, donc, qui ne joue pas de personnage malgré cette identité détournée, vient des Europes et entamera l'entrevue en affirmant qu'il les a désertées "parce que je ne supportais plus le climat social et je ne suis pas près d'y refoutre les pieds, les gens ne sont plus capables de vivre ensemble", pour la clore ainsi: "C'est clair que je planifie rentrer en Europe un de ces quatre... Trop de choses me manquent: m'engueuler avec la belle-famille le dimanche, le mauvais caractère de certaines personnes dont je n'aurais jamais pensé m'ennuyer." Au cours de l'entretien, il parlera aussi de son intérêt pour "les rendez-vous manqués, l'amour vache et... les paradoxes", qu'il célèbre dans la langue de Beck avec un raffinement tout gainsbourien sur cet album intitulé High Class Trauma. "Causer politique, c'est pas ma fibre", dira-t-il, interrompant sa lecture d'un journal sur les Patriotes en ce jour de fête de la Reine.

À l'âge du Christ, 33 ans, notre homme en a vu et entendu d'autres. Premiers pas en musique via des reprises des groupes français-cultes: Bérurier Noir et Ludwig Von 88, notamment. Premier vrai groupe avec Poor Men, qui carbure aux influences punk, garage, rock et new waveuses et finit par assurer les premières parties de Béru, justement, et aussi d'Alain Bashung. Ensuite, il déménage à Bruxelles où il enregistre quelques disques sous le nom de Franck Marx, qu'il fera paraître sur la même étiquette que dEUS. Puis le grunge lui passe sur le corps et dans les oreilles. Il met les pieds à Montréal et, dans un avion retardé à l'aéroport Charles-de-Gaulle, fait la rencontre d'Ariane Moffatt, qui le mettra en contact avec les doués musiciens du trio électro-jazz Plaster dont certains des membres, de même que d'autres musiciens, recrutés chez Afrodizz, Odd et Motus 3F, lui donneront un bon coup de main pour ce disque mixé par Carl Bastien. On a vu pire comme entourage.

À quoi ça ressemble, au final? À Beck pour la voix et le ton, à Gainsbourg pour le raffinement, la désinvolture et la classe. "C'est lui qui m'a donné envie de chanter, de faire quelque chose d'esthétique. Avant, je faisais de la musique de manière plus dynamique, dans le sens de jouer sur l'intensité, de sortir par la force ce qui allait ou n'allait pas."

À l'écoute de High Class Trauma, il nous vient un peu l'impression d'être au cinéma, on décolle. "J'avais envie de parler aux gens dans le creux de l'oreille plutôt que de leur gueuler dessus. Je voulais installer une ambiance, que les gens ressortent du disque en ayant l'impression d'avoir vécu la rencontre, la poursuite, etc. Comme au cinéma."

Chose certaine, les chansons enveloppantes de Deweare, entonnées par cette voix cuivrée et chaude, ne doivent rien aux années 80: "J'ai détesté cette décennie! J'aimais bien les Cure mais je ne pouvais pas aimer leur gueule. Je trouvais leur look ridicule et leur tendance à toujours être tristes me faisait chier à mourir, même si j'aimais leurs chansons. C'est tout l'esthétisme des années 80 que je ne pouvais pas supporter, en musique comme au cinéma d'ailleurs... Car c'est comme si le punk s'était cassé la gueule, comme si, en voulant bien faire, il était tombé par terre. Les années 80 sont pour moi le symbole du conformisme alternatif!" (Marie-Hélène Poitras)

- Marie-Hélène Poitras


"CANOE.CA"

Il y a des moments comme ça dans une vie de mélomane, des
moments qui frisent l’épiphanie, et j’en ai récemment vécu
une avec l’album High Class Trauma du français désormais
établi à Montréal, Franck Deweare.
Épiphanie? Oui, et je m’explique.
Deweare nous arrive d’ailleurs avec un pedigree très enviable,
même si son nom ne nous est — pas encore — familier.
Il a travaillé avec Ariane Moffatt et Cindy Lauper (!), Afrodizz
(au dernier Festival de Jazz) et The Herbaliser et, pour son
album, s’est entouré des incontournables Jean-Phi Goncalves,
Alex MacMahon (Plaster) et Carl Bastien (au mixage), sans
oublier Cristobal Tapia DeVeer et Éloi Painchaud (pour la pièce
titre).
Oh! et il faut mentionner également madame Beatrice
Bonifassi qu’on associe désormais tout autant à Champion
qu’aux Triplettes de Belleville et qui prête sa voix à The New
Dawn, une immense reprise de Nina Simone réalisée avec brio
et qui est le premier extrait de ce disque.
Puisqu’il le faut, je vais y aller de quelques analogies pour vous situer High Class Trauma musicalement: on nage
dans les eaux pop rock alternatif à la limite de la thermocline trip hop, là où vivent quelques poissons-jazz.
Beaucoup de Beck avec par moments une touche de Portishead, de Troublemakers, de Bertrand Burgalat ou de
Gainsbourg, mais sans jamais carrément y ressembler.
Ce disque incontournable risque fort d’enflammer les lecteurs de bien des bars branchés. Il est en magasin le 6
mars.
Cote de Canoë 5/5
- J. Sébastien Chicoine


"La Presse, Montreal"

Ça démarre d’aplomb avec la chanson titre de l’album signé Franck Deweare,
ami d’Europe francophone transplanté à Montréal, qui chante en anglais
(avec un accent évident) et qui vous veut du bien. Disco trip-hop assorti
d’une voix d’outre-tombe en surplomb, High Class Trauma annonce un
disque bien torché. Too Bad, la seconde, s’avère un peu plus aérienne que la
précédente bien que fondée sur de solides breakbeats générés par l’excellent
batteur Jean-Phi Goncalves, sans compter sur la contribution multiinstrumentale
de son collège Alex MacMahon – deux Plaster connus et
appréciés. Sur Swallow, la troisième, cette même voix sombre et dandyesque
fait contraste avec la vigueur rythmique qui la soutient. On repère ensuite un
dance-rock pas piqué des vers, The New Dawn, mettant en vedette la
« championne » Béatrice Bonifassi qui complète le tableau de sa voix
puissante et métallique. Un peu plus loin, des spoken words hallucinés se
déploient sous des ambiances technoïdes de polars, cette Think rappelle un
tantinet la façon Ninja Tune. Horny Illusion, la sixième des 10 au programme
s’avère une euro-pop solidement ficelée. Ventilée au trombone-saxo soprano,
la plus ou moins afrobeat Back From Hell suit la funky Magic Bastard et nous
mène encore ailleurs. Voilà qui nous indique l’étendue du spectre de l’animal
Deweare; cet imaginaire un tantinet branchouille fait état d’une solide culture
musicale et d’un goût des plus sûrs.
- Alain Brunet


"Montreal Mirror"

The Montreal Mirror – March 8, 2007
Deweare
High Class Trauma (Milagro/Outside)
Hailing from Verdun (the one in France, eh), Montreal-based Franck
Deweare may sing in English, but there’s no denying his slick, sexy,
sun-deprived Euro-cool. A penchant for the sounds of sinful ’70s
cinema adds substantial flavour to the velvety, midnight-blue funkrock
and baroque, brandy-scented bubblegum bump that the
eminently understated Deweare and his cohorts Jean-Phi Goncalves
and Alex McMahon deliver. Numbers like the unstoppable “Swallow”
and “The New Dawn,” with the bluesy pipes of Betty Bonifassi of
Belleville/Champion fame, are hard to shake once they’ve eased their
way into your head. 8.5/10 (Rupert Bottenberg) - Rupert Bottenberg


Discography

High Class Trauma (To Be released March 06 2007 on www.milagrorecords.com).

High Class Trauma, Deweare’s first album has finally arrived. The birth was delivered naturally under the keen eyes and ears of Doctors JP-Goncalves, A.McMahon (Plaster) and Carl Bastien (producer on albums by Dumas, Ariane Moffatt, and Daniel Bélanger). These 10 pop/rock tracks will lead the entire nursery to places where minors are not permitted, with far too much cigarette smoke in the sound and well over the recommended amount of gasoline in the mix. Like coke cut with absinthe, Deweare’s pop boosts your adrenaline and leaves the taste of licorice on your lips. This Frenchman sings of dirty love down on a rug of soul. A nightingale crooner with a Gainsbourgian air, Deweare pecks at the line dividing funk from punk and invites himself to sit at each and every table. Sparing no stylistic paradox, he mixes the entrée with the dessert, according to the teachings of Beck and company. Following in the footsteps of Philip K. Dick, he bases his words on everyday hallucinations, transforms missed dates into music, and adds rhythm to déjà-vu.

Check the following links for streamings and mp3s:
http://www.deweare.com
http://www.myspace.com/deweare
http://www.myspace.com/milagrorecords

Photos

Feeling a bit camera shy

Bio


Deweare [de-vair]
Many take offence when we mispronounce their name. That isn’t the case for Deweare, who has heard his patronym mutilated at all possible phonetic angles, from [de-wair] to [day-weer]. The Frenchman has never bothered to correct erring speakers, convinced that to make a name for yourself, you must sometimes give it up. Ask [Portis-head], they’ll know what you mean...

In any case, what counts in the music business is that you are discovered and that they remember you. It is on this matter that Deweare has been hard at work since his arrival in North America. He performed on the big stage at the last Festival International de Jazz de Montreal(with Afrodizz), sang Anamour (by Serge Gainsbourg) with Arianne Moffatt at the last Francofolies de Montréal, opened for The Herbaliser at the last Nujaz Festival at the Olympia (MTL), and, realizing an old fantasy, accompanied Cyndi Lauper on the guitar in front of a packed Metropolis (MTL), bursting at the seams as the crowd sang along to Girls Just Want To Have Fun.

While High Class Trauma was still in utero, this native of Verdun, in the east of France, had already performed on some of the city’s grandest stages, and had left, engraved in the floorboards, "I’ll be back," like a Terminator with something other than a transistor for a brain.

A brief mention of Deweare’s life in Europe (France and Belgium) and his previous projects is warranted. There was grungy Franck Marx, recorded on Belgian label Bang! (discoverers of dEus). Also noteworthy were solid opening sets for Alain Bashung, Bérurier Noir, and Ministry, shows on epic stages like Paris’s Gibus, Prague’s Roxy, and the Dour Festival, encounters with Jimi Miller (producer for the Rolling Stones and Motorhead), and Brian James (The Damned and Lords of the New Church), as well as kilometers of recorded tape and interplanetary lengths of guitar strings…

It was in 2004, that he surfaced in Montreal, thanks to Arianne Moffatt’s tender care. He had met the dear Miss Moffatt in a diverted plane, and she did him the great honour of opening her address book and plugging him in to the upper crust of the local music scene. Since then, he has been surrounded by an ever-variable cadre of musicians, including members of Plaster. He is also the “Fashion Terrorist,” the subject for the single off Afrodizz’s last album, currently in heavy rotation on CBC Radio.

With High Class Trauma, Deweare is throwing oil on the fire and offering a salve for your burns. Let go, go for it, it’s for your own good.