GRACELAND
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Band Alternative Singer/Songwriter

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Discography

First LP, currently recording "Le soleil les avait rendu fous"

Photos

Feeling a bit camera shy

Bio

GRACELAND was formed in 2005 by Brice de Margerie pianist and composer and Thomas Cerisola author and former singer of “DEMIAN”
Their collaboration resulted in a darkly melancholic and flamboyant sound that burn you from the inside out.

Brice de Margerie, compositeur, pianiste et Thomas Cerisola, auteur, chanteur se sont rencontrés en 2004, unis par le désir d’écrire leur musique et de faire un disque rare, un genre de blues orchestral guidé par les fantômes de melody Nelson et de jim Morrisson.

Une quinzaine de titres voient le jour le premier été, piano & voix, avec l’hiver viennent les batteries, guitares, basses, violons, cuivres, bois, une première maquette au printemps et une proposition du label Lil people Records.

Le mois d’Août passé à écrire et l’album est enregistré aux studios Garage et Sequenza fin octobre, dans un luxe inouï pour leur premier opus ensemble. Nicolas Deutsch à la basse (T.Fersen, J.Baer, J.Guidoni,..), Philippe Entressangle à la batterie (Etienne Daho, Ginger Ale, Les Valentins, ,Near death experience, Spring…), Maxime Delpierre à la guitare (Limousine, Sclavis, Joakim, Collectif Slang..), Alexandre Authelain aux cuivres (Akosh S.Unit, Ixo, Garage Rigaud, ..), et l’orchestre national d’île de France pour compléter les contours de leur univers en cinémascope.

Chaque titre est une rencontre entre la poésie brute du chant et le lyrisme songeur de la musique. Les influences sont pour la plupart anglo-saxonnes, Radiohead, Bonnie « prince » Billy, The Doors, Talk Talk, Nina Simone, mais aussi Debussy et Ravel.. une inquiétante étrangeté en commun. On y parle de la lune, de hors la loi, de rubans dans les cheveux, d’ours, de grillons et d’amour. On croit apercevoir des paysages, des guerriers indiens, des éléphants, quelques fous et un amant sous nos fenêtres.

« J’ai vu (..) deux hommes qui vivent comme je voudrais vivre. Vous n’y avez pas fait attention vous autres. Ils étaient grands (..) et très fiers, quoique en guenilles, avec l’air de n’avoir besoin de personne. Leurs grands yeux sombres sont devenus tout à fait brillants pendant qu’ils faisaient de la musique, une musique si surprenante qu’elle donne envie tantôt de danser, tantôt de pleurer, ou de faire les deux à la fois, et qu’on deviendrait comme fou si on les écoutait trop longtemps. Ils étaient si contents d’eux-mêmes, qu’ils ont continué à jouer leur musique (..) même après que la foule s’est dispersée. (..) Moi, voulant savoir où ils demeuraient, je les ai suivis de loin, jusqu’au bord de la forêt… »
(Baudelaire in « le spleen de Paris »)