Les P'tits Coucous
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Les P'tits Coucous

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Music

The best kept secret in music

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Discography

L'album "La foret en macramé" paraitra en septembre 2006.

Photos

Feeling a bit camera shy

Bio

Le groupe Les P’tits Coucoucs suscite depuis sa création un engouement peu commun. Des spectacles qui ont fait longuement parler, un album porté aux nues par la critique… une véritable odysée! N’ayez crainte, l’histoire des Coucous vous sera racontée dans les prochaines pages ( à noter que sera également fournie une traduction du dossier de presse, pour facilité la compréhension par tous). Attention aux cœurs sensibles …

Un cou-cours d’histoire

L’histoire des P’tits Coucous, bien que familière à la plupart des gens, mérite une fois de plus d’être racontée; des balbutiements du groupes, aux triomphes, des nombreux hauts jusqu’aux bas déchirants.

Le noyau dur des P’tits Coucous est formé du tandem Bouquet et Cocotte, un frère et une sœur qui grandirent ensemble dans la musique, la drogue et la drogue. Déjà aux prises à 13 et 12 ans respectivement avec une polytoxicomanie, ils virent en la musique un véritable exutoire leur permettant de sauver leur peau. Armés de leur seule guitare, ils sillonnèrent les routes du Québec à la recherche de nouveaux sons. Jouant pour une bouchée de pain, ils arpentèrent les bars, bingos et autres réceptacles de spectacles. Ayant appris à la dure, cette école permit aux P’tits Coucous d’être aujourd’hui les bêtes de scènes de l’on connaît.

Au fil du temps, Bouquet et Cocotte, désireux d’engraisser autre chose que leur corps, recrutèrent deux musiciens pour ajouter un tonus rock/reggae/ska/country/pop/metal à leurs chansons. Montréal étant en proie à une grave pénurie de musiciens, du moins c’est ce que tous les candidats approchés leur ont répondus, ils durent se rabattre sur deux jeunes talents encore en développement. Bouquet empoignant la basse, il laissa le champs libre à la guitare de Kung Pao. Au fil des mois (5 en tout) où il apprit les rudiments de son instrument, Kung Pao développa son propre jeu de guitare; à la fois vif, nerveux et texturé. En quelques mots, son jeu, très simple, mais efficace consiste à rassembler quelques personnes (un minimum de quatre) et à les asseoir en rond. Une musique joue derrière et pendant ce temps, les convives se passent l’instrument. Quand la musique arrête, le joueur tenant la guitare est éliminé et doit quitter le cercle. Le dernier restant remporte la partie et voit immédiatement son nom inscrit à l’endos de la guitare. Des heures de plaisir avant même le premier accord ! N’étant pas laissé pour compte, la batterie se retrouva entre les mains et les pieds de Steve, mieux connu sous le nom de l’Ami Steve. Il est à noter que L’ami Steve a récemment déménagé et comble de l’ironie, le commerce situé en face de chez lui se nomme Quincaillerie Steve Lamy. Une anecdote savoureuse qu’il se plaît à raconter à qui veut l’entendre.

Après autant de péripéties, l’épopée Coucou était enfin prête à éclore…

Après des jours entiers de répétition, leurs chorégraphies étaient enfin prêtes et les P’tits Coucous décidèrent d’enregistrer leur album. Le lendemain, un album sous le bras, ils cognèrent aux portes des maisons de disques. Effrayées par la potentialité d’un succès international, le manque de ressources logistiques de ces compagnies les obligea à refuser une entente. Mais c’était mal connaître les P’tits Coucous ! Les membres du groupe se séparèrent la tâche et l’album vit le jour. Encensé par la critique, le public fut malheureusement berné par la présentation du groupe par les revues spécialisées. Devant l’avalanche de nouvautés musicales qu’amenèrent la bande, la presse titrait : « Incredible, there will never be Too Many Coucs ! ». Médusés, les nombreux lecteurs en comprirent une mauvaise analogie avec le groupe des années 90 et l’album « la forêt en macramé » passa inaperçu durant un certain temps. La consécration de l’album et de ses auteurs arriva enfin quand le groupe se produisit devant une foule monstre au festival POP Montréal à la fin de l’été 2006. Brillant coup marqué par les organisateurs qui décidèrent, contre toute attente, de leur offrir une scène et une case horaire à la hauteur de leut talent. Depuis, le groupe vole au-dessus de tous les nids de coucous…

Les P’tits Coucous, dans un désir de bien commun, ont également décidé de s’impliquer socialement. Militants de longue date pour la légalisation des drogues, des jeux et de l’alcool, ils participèrent activement à la chute de la prohibition de l’alcool en Amérique du Nord, ainsi que l’implantation du Casino à Pointe-St-Charles. Suite à ces succès et désireux de relever de nouveau défis, les Coucous voguèrent vers d’autres champs de bataille. Les causes auxquelles adhérer étant si nombreuses, ils décidèrent de s’attaquer à la base des problèmes globaux : l’immigration des français au Québec. En mettant sur pied la fondation « Paris-n’est-pas-ici », ils veulent sensibiliser la population aux méfaits et dangers d’une incursion dans notre langue de mots tels : putain, purée et coucouniette.

Une musique… planante !

Armés de leur instruments, les P