Music
Press
« Ses musiques d’Afrique et ses chansons universelles »
« La musique africaine au son du djembé et de la guitare, est de qualité et c’est avec beaucoup de sensibilité que la chanteuse aborde des thèmes tels que l’inceste ou bien la naïveté de la vie…
- La Dépêche du Midi
« La performance très physique contraste avec le calme sans égal d’un duo guitare/percussions qui vous enrobe le propos de délicates enluminures en se frisant les moustaches. » - Le Berry Républicain
… L’occasion enfin d’écouter de la musique encore pas vue à la télé. Mamy Wata mériterait pourtant l’audience maximale. Porté à des sommets d’émotion par la personnalité incandescente de sa chanteuse/conteuse/danseuse, ce trio centrafrico-toulousain est l’une des plus grosses sensations de l’année, de l’avis de tous ceux qui ont eu la chance de rester scotchés à son concert « découverte » au dernier Printemps de Bourges. Pour la première fois dans la région, et c’est Tremplin qui le propose. Tout un symbole… - La fiesta du Pourkoipa
C’est fulgurant. C’est magique. C’est essentiel.
C’est un tout jeune groupe animé d’une puissance rare.
Originaire de Bangui, en Centrafrique, Déa écrit, chante, danse et joue de sa vie pour faire entendre une réalité brutale. David Clavel compose et joue de la guitare. J’ai rarement ressenti une telle émotion à l’écoute d’un spectacle. Croyez moi, l’expression coup de cœur trouve son sens grâce à eux.
Une force d’expression hors du commun, une grâce exceptionnelle, des sujets aussi brûlants que révoltants. Déa écrit et chante pour partager sa passion de la vie et son refus de l’horreur. David Clavel à la guitare se charge de créer une atmosphère envoûtante. Ce jeune groupe, qui a tout juste un an d’existence, a déjà ému le Printemps de Bourges, Les Musicales de Bastia, Alors Chante à Montauban, Mars m’enchante à Charleroi, le Chorus des Hauts de seine et des dizaines de salles.
- Bijou
Discography
Maquette 5 titres (2005, Feve production)
Mamy Wata Album (2008, unconfirmed)
Photos
Bio
Chanson du Monde
Se souvient-on du jour où l’on a entendu pour la première fois chacune des grandes voix d’aujourd’hui.
Dans un festival incertain ou dans une salle improbable à Paris ou ailleurs ?
Un jour la rencontre se fait, comme une évidence, avec le public, avec les programmateurs.
Et ainsi, Mamy Wata vient et vole de festival en festival, porté par la rumeur, par le bouche à oreille, par le plaisir que l’on veut partager, le plaisir de la voix de Déa, la chanteuse originaire de Bangui (Centrafrique).
Une voix que l’on n’oublie pas et que l’on croit avoir toujours entendue.
Grave, chaude, sensuelle et porteuse de toutes les histoires, toutes les souffrances.
Déa danse avec sa voix, chante avec son corps.
Mamy Wata n’aurait jamais pu voir le jour sans cette rare et précieuse rencontre entre la chanteuse et le guitariste David Clavel, compositeur du groupe.
Il sait accompagner et porter ses textes avec une certaine intelligence, sagesse et sensibilité.
Leur musique vient d’Afrique mais s’adresse au monde entier.
Mamy Wata
Musique à voir
Links
