MLCD [My Little Cheap Dictaphone]

A concept album about the rise and fall of Brian Wilson, with a guest vocal from Mercury Rev’s singer, that actually works? Seriously...

My Little Cheap Dictaphone are actually four men, not one bit of kit (HO)




Title
My Little Cheap Dictaphone
Album
The Tragic Tale Of A Genius
Label
PIAS Benelux Licences
Price
£7.99
Culture Planner






CRITIC'S RATING
The story of Brian Wilson’s life is one of the most extraordinary dramas in pop history, so it’s not really surprising that someone should make a concept album inspired by the man’s rapid rise and equally rapid decline. What is perhaps surprising is that the album should emerge from such a low-profile source — in the form of the Belgian band My Little Cheap Dictaphone. The album’s title is entirely accurate. There is no room here for the second act in Wilson’s life, the years when others fought for care of/control over the man, or even for the triumphant third act, when — against all odds — Wilson returned to touring and recording. We have the early parental abuse in He’s Not There, and the impatient rise to fame in What Are You Waiting For, with a guest vocal from Mercury Rev’s Jonathan Donahue.
These songs come in a vibrant rush of Arcade Fire-style dynamics that grabs you immediately; but things slow down and get weirder as the protagonist’s life does the same. Slow Me Down suggests The The’s Matt Johnson singing the Zombies’ She’s Not There; In My Head uses backwards reverb to hint at the voices that live there. Whatever the style, MLCD master it easily. The title track leaves our troubled songwriter admitting: “I had glory and money, women and wine/Now I stink, I’m sick and I’m tired/I drag my feet all day. I can’t write a line.” It’s a sad story, but a terrific album.
- Mark Edwards - SUNDAY TIMES UK

Concept albums are always a bit of a risk, I think. Although, I suppose in many cases you'd have to know it was a concept album, wouldn't you? In the case of The Tragic Tale of a Genius, I don't think you'd ever know of this fact, unless (as I did) you read it elsewhere.

The concept (and the 'genius' in this case) is Brian Wilson and his descent into mental illness. Whilst this sounds like a bit of a depressing subject for an entire album, it is actually a surprisingly great piece of work. The Belgian four piece sound alternately like the Arcade Fire and Coldplay, indeed vocalist Redboy sounds particularly like Chris Martin when he gets slightly falsetto on on No Self Esteem and Face to Face.

Ignore the precociousness of a concept record (Wikipedia calls The Tragic Tale of a Genius 'proche d'un opera rock') and, instead, you ahve the fourth album from an indie-rock band who offer much more than their daft name suggests.

If you like MGMT, the Arcade Fire (or, indeed - any sort of downbeat guitar indie) The Tragic Tale of a Genius is definitely an album you should try. - The Auditorium

Le pari était audacieux. Avec leur opéra-pop à la sauce rock indie, les Liégeois de My Little Cheap Dictaphone (MLCD) ont marqué 2010. Bilan d'une année triomphale. Avant d'attaquer l'étranger.

Parfois, l'ambition, ça paie. En mars dernier, My Little Cheap Dictaphone sortait The Tragic Tale of a Genius. Le disque n'est pas qu'une simple collection de morceaux enchaînés les uns après les autres. Enlevé, épique même, The Tragic Tale raconte l'histoire d'un musicien dont l'art et le génie le rapprochent de la folie. Un opéra rock? A la sauce indie alors, avec du souffle et de l'élan, entre grandes orchestrations et miniatures cabaret, tout en évitant le côté pompeux et ringard que charrie généralement le terme. Cerise sur le gâteau, MLCD a su entraîner dans son projet quelques invités prestigieux, comme Jonathan Donahue, leader du groupe culte Mercury Rev.

La démarche est audacieuse, le disque culotté, le tout réalisé sans pouvoir s'appuyer sur un gros label (le groupe est son propre producteur). Un sacré défi. The Tragic Tale tranche en tout cas dans une scène belge, francophone en particulier, où l'on s'est souvent contenté de faire bien pour ne pas tenter de faire mieux (par manque de moyens ou d'ambition, c'est encore une autre question).

Hospitalière Albion
Encore fallait-il que MLCD arrive à convaincre. Or, rapidement, la critique a embrayé, une radio comme Pure FM jouant le jeu en tournant le single Shine On. Le public aussi a mordu. On a pu le constater lors du concert que Focus a organisé en avril au K-Nal. Juste avant les Nuits Botanique où MLCD a pu jouer pour la première fois le spectacle dans sa configuration rêvée: avec vidéos et grand orchestre. Quelques semaines plus tard, ils rafleront deux Octaves de la musique (artiste belge et album de l'année). Dans la foulée, les festivals d'été s'enchaîneront, avec un passage notamment à Pop Montréal, premier signal positif pour une possible exportation du projet. "Cela reste quand même un des buts fixés au départ", insiste Redboy, alias Michaël Larivière, leader de MLCD.

On le retrouve pour faire un petit bilan de fin d'année, en compagnie de Xavier Guinotte (basse) et Pierre-Louis Lebacq (claviers). A la veille de prendre la route pour les fameuses Transmusicales de Rennes, ils viennent d'apprendre une autre bonne nouvelle: leur site MySpace vient de passer le cap du million de vues. Xavier: "L'idée était de faire un disque qui nous permette éventuellement de quitter les frontières belges. On avait déjà eu l'occasion de jouer à l'étranger auparavant. Mais on avait envie d'aller un peu plus loin, d'enfoncer davantage de portes". Redboy: "On a voulu soigner le résultat, aller aussi loin que possible à chaque étape: arrangement, mixage, visuel... Les paroles, par exemple, je les ai terminées à Oslo, avec une auteur norvégienne qui a l'habitude d'écrire des livres en anglais. Après, j'ai encore bossé avec une autre copine américaine pour améliorer l'accent... J'ai eu 30 ans, c'était un peu le moment ou jamais".

C'est plutôt bien parti en l'occurrence. Au Canada, par exemple, où l'une des programmatrices de Pop Montréal a flashé sur le groupe, au point de devenir leur manager locale, et de préparer une sortie début 2011, accompagnée d'une nouvelle série de dates sur place. "Traverser l'Atlantique, cela reste toujours un rêve." Le groupe a également signé une distribution en France et en Suisse. Mais la plus grande surprise est encore arrivée d'Angleterre, terre généralement peu hospitalière pour les projets issus du Continent. The Tragic Tale n'y sortira qu'au mois de janvier en physique. Sa version digitale est néanmoins déjà disponible depuis le mois de novembre. De quoi susciter quelques premières reviews enthousiastes. Comme un quatre étoiles dans le prestigieux mensuel musical Q ou le titre de "Disque de la semaine" dans le Sunday Times. Pas mal...

Du nord au sud
L'autre fait étonnant avec MLCD est peut-être d'avoir réussi à sortir un véritable album, à une époque où le format de prédilection est redevenu le single. "On croit encore au format long en effet. Parce que c'est aussi comme cela qu'on continue à écouter la musique la plupart du temps: en laissant le disque défiler dans son entièreté, plutôt qu'en picorant des titres au hasard." Au passage, MLCD a également soigné la version vinyle de Tragic Tale. "On en vend plein aux concerts, parfois autant que de CD. Les gens qui restent fans de l'objet musical vont avoir tendance à mettre leur argent dans un vinyle plutôt que dans le CD. Les autres n'achètent plus de toute façon, et téléchargent le MP3."

MLCD n'est pas la seule formation belge à avoir trouvé un écho à l'étranger. Par contre, il est l'un des seuls groupes rock présents dans cette catégorie. C'est une tradition: depuis la nuit des temps, ou du moins l'invention du sequenceur, c'est avec la musique électronique que la Belgique s'est toujours le mieux exportée. En témoignent cette année les disques d'Aeroplane, Netsky. - FOCUS VIF/ VIF L'Express

MLCD (My Little Cheap Dictaphone)
The Tragic Tale Of A Genius
Tri-Tone.cd/Download
Out 8 November
Belgian collective make concept album. Come back!
Led by the mysterious Redboy, MLCD are a maelstrom of ambition, craft and cinematic scope. Loosely based on the life of Brian Wilson, The The Tragic Tale Of A Genius features Mercury Rev's Jonathan Donahue on the pulsating What Are You Waiting For?, but the dazzling individual parts are infinitely superior to the whole idea. The filler-free results are richly layered, intoxicating and tinged with a near-genius, which incorporates the grandeur of Arcade Fire, the intensity of Nick Cave and the singular vision of Sparks.
- John Aizlewood

- Q Magazine

MLCD (My Little Cheap Dictaphone)
The Tragic Tale Of A Genius
Tri-Tone.cd/Download
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Led by the mysterious Redboy, MLCD are a maelstrom of ambition, craft and cinematic scope. Loosely based on the life of Brian Wilson, The The Tragic Tale Of A Genius features Mercury Rev's Jonathan Donahue on the pulsating What Are You Waiting For?, but the dazzling individual parts are infinitely superior to the whole idea. The filler-free results are richly layered, intoxicating and tinged with a near-genius, which incorporates the grandeur of Arcade Fire, the intensity of Nick Cave and the singular vision of Sparks.
- John Aizlewood

- Q Magazine

« Mélange anglophone de folk-pop mélodieux et lumineux et d'indie rock ténébreux qui s'égrène en quatorze chansons denses et convaincantes »
ROCK&FOLK

« Son indocile, rugueux, fiévreux, mal élevé par des Yankees soupe au lait. On pense au folk-rock racé de Bright ou Ryan Adams, à la pop patraque de Sparklehorse ou de dEUS. En cas ce sécession, cette Wallonie pourrait facilement devenir le 51ème état des USA. »
LES INROCKUPTIBLES

«Un must »
GUITAR PART

«L’heure est donc venue de s’acheter un dictaphone »
(****) MAGIC

«Entre Sparklehorse, The Thrills et Arcade Fire, My Little Cheap Dictaphone s'annonce comme la nouvelle bonne surprise belge de l’année »
SENSATION ROCK

P Mag
« […] Denk aan Bright Eyes zonder de typische zang, of aan Sparklehorse dat van draf naar galop overschakelt. […] »

Soundslike
« […] Redboy bewijst met Small Town Boy dat hij bij de allerbeste songschrijvers van het land behoort. […] Toont emoties. Heeft meerdere gezichten. Laat het hart op hol slaan. Maar laat de pathos op stal. Durft tijd vragen. En aandacht. […] Eenvoudigweg de beste Belgische plaat die ik dit jaar gehoord heb… » - Inrockuptibles, Rock&Folk, Magic,...

« Mélange anglophone de folk-pop mélodieux et lumineux et d'indie rock ténébreux qui s'égrène en quatorze chansons denses et convaincantes »
ROCK&FOLK

« Son indocile, rugueux, fiévreux, mal élevé par des Yankees soupe au lait. On pense au folk-rock racé de Bright ou Ryan Adams, à la pop patraque de Sparklehorse ou de dEUS. En cas ce sécession, cette Wallonie pourrait facilement devenir le 51ème état des USA. »
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(****) MAGIC

«Entre Sparklehorse, The Thrills et Arcade Fire, My Little Cheap Dictaphone s'annonce comme la nouvelle bonne surprise belge de l’année »
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P Mag
« […] Denk aan Bright Eyes zonder de typische zang, of aan Sparklehorse dat van draf naar galop overschakelt. […] »

Soundslike
« […] Redboy bewijst met Small Town Boy dat hij bij de allerbeste songschrijvers van het land behoort. […] Toont emoties. Heeft meerdere gezichten. Laat het hart op hol slaan. Maar laat de pathos op stal. Durft tijd vragen. En aandacht. […] Eenvoudigweg de beste Belgische plaat die ik dit jaar gehoord heb… » - Inrockuptibles, Rock&Folk, Magic,...

My Little Cheap Dictaphone - The Tragic Tale of a Genius (PIAS Belgium)
3 1/2 STARS

As is often the case with concept albums (the concept, in this case, being the life of Brian Wilson), this serves up equal helpings of indulgent tripe made under the guise of creative licence and good-to-great songs that seem to have gotten lost on the way to somewhere else. Belgium's My Little Cheap Dictaphone - kind of just rolls off the tongue, don't it? - are high-minded, orchestral pop merchants that certainly know a moment of greatness when they see it, as they do quite clearly on the Arcade Fire-like, Mercury Rev-assisted What Are You Waiting For, or the epic, building and ultimately climactic Shine On. Clean and accomplished players, the gut says they probably do a great show.
- Jamie O'Meara - Sept. 2010
- HOUR weekly

My Little Cheap Dictaphone - The Tragic Tale of a Genius (PIAS Belgium)
3 1/2 STARS

As is often the case with concept albums (the concept, in this case, being the life of Brian Wilson), this serves up equal helpings of indulgent tripe made under the guise of creative licence and good-to-great songs that seem to have gotten lost on the way to somewhere else. Belgium's My Little Cheap Dictaphone - kind of just rolls off the tongue, don't it? - are high-minded, orchestral pop merchants that certainly know a moment of greatness when they see it, as they do quite clearly on the Arcade Fire-like, Mercury Rev-assisted What Are You Waiting For, or the epic, building and ultimately climactic Shine On. Clean and accomplished players, the gut says they probably do a great show.
- Jamie O'Meara - Sept. 2010
- HOUR weekly

Q MAGAZINE
Shine On (19/50)
Brilliantly busy, lavishly arranged singalong look into Brian Wilson's head which explodes into a stirring chorus. - Q Magazine

Q MAGAZINE
Shine On (19/50)
Brilliantly busy, lavishly arranged singalong look into Brian Wilson's head which explodes into a stirring chorus. - Q Magazine