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Sherbrooke, Quebec, Canada | SELF

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"OFF Festival des harmonies"

Du 3 au 27 mai, le OFF Festival des harmonies fait prendre l’air à notre scène musicale. Pour en savoir davantage sur son état, Voir a questionné quelques-uns de ses plus valeureux émissaires: un guitariste jazz inspiré, un chanteur actuel et francophile, ainsi qu’une bête de scène aux projets complémentaires. Une scène, trois musiciens.
Au fil des ans, le OFF Festival s’est imposé comme l’événement phare de la scène locale. Bien plus qu’un simple enrobage pour mettre en sandwich le Festival des harmonies et orchestres symphoniques du Québec (qui envahira la colline universitaire du 17 au 20 mai), cette célébration 100% sherbrookoise offre à une multitude d’artistes le luxe d’un public et d’une scène (en plein air, dans un resto ou un bar). La généreuse programmation se retrouve au www.festivaldesharmonies.com/off. Grâce au OFF, le printemps sherbrookois est musical.
Pour l’occasion, Voir a soumis un questionnaire à trois musiciens en concert lors du OFF, et dont les projets se cristalliseront cette année par la sortie d’un album: le guitariste Guillaume Gilbert, Vincent Vachon de Noem et Charles Lavoie, alias esra wols, meneur de l a c k o f s l e e p.

NOEM
"Le nom du groupe réfère à la phénoménologie, à l’acte de penser. Il y a une certaine corrélation avec les textes, qui se veulent réfléchis."
Membres / "À la base, c’est Dominic Massicotte et moi. Ensemble, on a produit et réalisé l’album." Autres musiciens: Charles-Emmanuel L’Espérance, Manuel Tremblay… "Il y a aussi des collaborations. Et c’est Bernard Beaulieu qui écrit les textes."
Actif depuis… / "2009, mais ça fait un an et demi qu’on a concrétisé le projet. C’est devenu plus uniforme. On a pris une voie qui nous permet de nous éclater sur scène. L’électro s’est imposé."
Album / "Le 14 mai, Petites apocalypses sera en vente sur notre site, noem.ca, et en magasin. Pour l’enregistrement de la batterie, on a travaillé avec Étienne Dupuis-Cloutier. Pour le mixage, on a eu de l’aide de Pierre Duchesne."
Style et influences / "Sans être engagé, l’album pose beaucoup de questions. Cohen écrivait: "There is a crack in everything. That’s how the light gets in." Les thématiques sont vastes, mais on est dans le côté obscur. Et musicalement, on écoute beaucoup de pop; ça se reflète dans nos chansons. J’aime James Blake pour la recherche électronique et actuelle. Et je peux difficilement passer à côté de l’influence de Karkwa."
Rôle de leader / "Je ne me considère pas comme une figure d’autorité et je ne sens pas une pression supplémentaire. Mais le projet vient de moi et je sais où on s’en va. En fait, j’ai surtout hâte de remonter sur scène, de faire mes preuves en tant que frontman."
Exploit principal / "La réalisation de cet album. C’est fou le temps et l’énergie qu’on a mis là-dedans. Quelqu’un de plus ou moins passionné aurait laissé tomber. On a tous beaucoup appris dans ce processus."
L’exemple local à suivre / "Harvest Breed. Le nouveau matériel, le nouvel album, c’est à écouter!"
Ce qui manque à Sherbrooke / "Une salle de spectacle un peu mieux établie, comme on avait jadis avec le Téléphone rouge." - Voir


"OFF Festival des harmonies"

Du 3 au 27 mai, le OFF Festival des harmonies fait prendre l’air à notre scène musicale. Pour en savoir davantage sur son état, Voir a questionné quelques-uns de ses plus valeureux émissaires: un guitariste jazz inspiré, un chanteur actuel et francophile, ainsi qu’une bête de scène aux projets complémentaires. Une scène, trois musiciens.
Au fil des ans, le OFF Festival s’est imposé comme l’événement phare de la scène locale. Bien plus qu’un simple enrobage pour mettre en sandwich le Festival des harmonies et orchestres symphoniques du Québec (qui envahira la colline universitaire du 17 au 20 mai), cette célébration 100% sherbrookoise offre à une multitude d’artistes le luxe d’un public et d’une scène (en plein air, dans un resto ou un bar). La généreuse programmation se retrouve au www.festivaldesharmonies.com/off. Grâce au OFF, le printemps sherbrookois est musical.
Pour l’occasion, Voir a soumis un questionnaire à trois musiciens en concert lors du OFF, et dont les projets se cristalliseront cette année par la sortie d’un album: le guitariste Guillaume Gilbert, Vincent Vachon de Noem et Charles Lavoie, alias esra wols, meneur de l a c k o f s l e e p.

NOEM
"Le nom du groupe réfère à la phénoménologie, à l’acte de penser. Il y a une certaine corrélation avec les textes, qui se veulent réfléchis."
Membres / "À la base, c’est Dominic Massicotte et moi. Ensemble, on a produit et réalisé l’album." Autres musiciens: Charles-Emmanuel L’Espérance, Manuel Tremblay… "Il y a aussi des collaborations. Et c’est Bernard Beaulieu qui écrit les textes."
Actif depuis… / "2009, mais ça fait un an et demi qu’on a concrétisé le projet. C’est devenu plus uniforme. On a pris une voie qui nous permet de nous éclater sur scène. L’électro s’est imposé."
Album / "Le 14 mai, Petites apocalypses sera en vente sur notre site, noem.ca, et en magasin. Pour l’enregistrement de la batterie, on a travaillé avec Étienne Dupuis-Cloutier. Pour le mixage, on a eu de l’aide de Pierre Duchesne."
Style et influences / "Sans être engagé, l’album pose beaucoup de questions. Cohen écrivait: "There is a crack in everything. That’s how the light gets in." Les thématiques sont vastes, mais on est dans le côté obscur. Et musicalement, on écoute beaucoup de pop; ça se reflète dans nos chansons. J’aime James Blake pour la recherche électronique et actuelle. Et je peux difficilement passer à côté de l’influence de Karkwa."
Rôle de leader / "Je ne me considère pas comme une figure d’autorité et je ne sens pas une pression supplémentaire. Mais le projet vient de moi et je sais où on s’en va. En fait, j’ai surtout hâte de remonter sur scène, de faire mes preuves en tant que frontman."
Exploit principal / "La réalisation de cet album. C’est fou le temps et l’énergie qu’on a mis là-dedans. Quelqu’un de plus ou moins passionné aurait laissé tomber. On a tous beaucoup appris dans ce processus."
L’exemple local à suivre / "Harvest Breed. Le nouveau matériel, le nouvel album, c’est à écouter!"
Ce qui manque à Sherbrooke / "Une salle de spectacle un peu mieux établie, comme on avait jadis avec le Téléphone rouge." - Voir


"Entendu à l’Antiquarius"

Dame Nature démontre parfois un fascinant sens de l’humour. Le mardi 15 mai, l’orage allait finalement crever sur Sherbrooke, juste au moment où démarrait à l’Antiquarius le lancement du premier album complet de Noem intitulé… Petites apocalypses. Le pugnace Vincent Vachon ne se laisserait si facilement déclasser par les éléments. Galvanisé par cette soudaine compétition, le chanteur a affiché une inédite et ardente intensité dans l’interprétation, rendant presque digestes des textes pourtant alambiqués. Capable de rougir de colère comme de murmurer, le leader a derrière lui les artilleurs nécessaires pour mater les pires intempéries (dont l’inébranlable guitariste Dominique Massicotte dans le rôle du complice de première ligne). - Le Voir


"Entendu à l’Antiquarius"

Dame Nature démontre parfois un fascinant sens de l’humour. Le mardi 15 mai, l’orage allait finalement crever sur Sherbrooke, juste au moment où démarrait à l’Antiquarius le lancement du premier album complet de Noem intitulé… Petites apocalypses. Le pugnace Vincent Vachon ne se laisserait si facilement déclasser par les éléments. Galvanisé par cette soudaine compétition, le chanteur a affiché une inédite et ardente intensité dans l’interprétation, rendant presque digestes des textes pourtant alambiqués. Capable de rougir de colère comme de murmurer, le leader a derrière lui les artilleurs nécessaires pour mater les pires intempéries (dont l’inébranlable guitariste Dominique Massicotte dans le rôle du complice de première ligne). - Le Voir


"Noem – un son karkwaïen de Sherbrooke"

Après l’aventure Banjo Consorsium en 2005, un premier EP en 2009 et une première place à UdeS en spectacle en 2011, Vincent Vachon, chanteur et leader du groupe Noem, récolte finalement le fruit de ses labeurs grâce à Petites apocalypses, premier album long du groupe originaire de Sherbrooke.
Kéven Breton
Après le premier lancement à l’Antiquarius, le 15 mai dernier, dans son berceau natal, le groupe a fait sa grande entrée montréalaise avec un lancement au Quai des brumes. L’album, d’une durée d’environ une heure, comporte douze pièces, dont onze originales – une seule a été récupérée du mini-album sorti en 2009. Cela fait donc près de cinq ans que Vincent Vachon, assisté de Dominique Massicotte (réalisation) et Bernard Beaulieu (textes), travaille sur un album dont le son n’est pas sans rappeler la formation Karkwa. Vincent ne s’en cache d’ailleurs pas: «Je suis à l’aise avec ces comparaisons, Karkwa a été une grande influence pour le groupe même si c’est assez récent. Je me suis aussi inspiré de Harmonium et de Daniel Bélanger. D’ailleurs, notre son est à mon sens plus électro que ce que propose Karkwa. Les textures sonores s’approchent davantage de Massive Attack ou de James Blake.»
Vincent cite aussi des groupes rock comme Nine Inch Nails et Tool comme empreintes musicales. Cela se sent dans certaines pistes comme Mon espace (qui ouvre l’album) ou Mon petit cabre, qui sont plus agressives, plus méchantes que ce qu’a l’habitude d’offrir Karkwa. Quant aux textes, ils sont l’œuvre de Bernard Beaulieu, parolier du groupe et ancien collègue de travail de Vincent. La collaboration entre les deux a d’ailleurs été un heureux hasard: «Bernard m’a transmis ses textes, pour le plaisir, je ne prenais pas ça trop au sérieux avant d’avoir les mots sous les yeux. Immédiatement, j’ai été rejoint par sa façon d’écrire et les thèmes qu’il exploitait», raconte Vincent, qui a récemment décroché son diplôme en enseignement à l’Université de Sherbrooke.
Dans son ensemble, l’album abonde de textes assez sombres. Noem suit un peu en catimini le regain de militantisme politique chez les groupes de musique au Québec. Les textes traitent de sujet sérieux, et se veulent même dénonciateur (comme dans la cinquième piste, M. Lincoln, qui parle de l’esclavage moderne) à certains moments, mais Vincent précise que leur engagement est plus subtil que celui des groupes comme Loco Locass ou les Cowboys Fringants chez qui les positions sont clairement identifiables: «On touche à des sujets plus universels. On s’inspire davantage d’idées et de valeurs dans leur ensemble.»
Si l’album est si bien léché et offre un son aussi clair, ce n’est pas uniquement en raison de l’immense talent des musiciens. Ces derniers ont également eu la chance de travailler avec de gros noms de la production: l’enregistrement de la batterie s’est fait avec Étienne Dupuis-Cloutier (Fanny Bloom, le Roi Poisson), le mixage avec Pierre Duchesne (Marrie-Pierre Arthur, Richard Desjardins) et le mastering avec Marc Theriault (Karkwa, Malajube). Malgré cela, une bonne partie de l’enregistrement de Petites apocalypses s’est faite dans le sous-sol de chez Dominique. Vincent prend d’ailleurs le soin de remercier ses parents pour leur patience et leur machine à expresso!
À voir le 31 juillet prochain, aux Concerts de la Cité à Sherbrooke. À entendre sur noem.ca. - Le Collectif


"Noem – un son karkwaïen de Sherbrooke"

Après l’aventure Banjo Consorsium en 2005, un premier EP en 2009 et une première place à UdeS en spectacle en 2011, Vincent Vachon, chanteur et leader du groupe Noem, récolte finalement le fruit de ses labeurs grâce à Petites apocalypses, premier album long du groupe originaire de Sherbrooke.
Kéven Breton
Après le premier lancement à l’Antiquarius, le 15 mai dernier, dans son berceau natal, le groupe a fait sa grande entrée montréalaise avec un lancement au Quai des brumes. L’album, d’une durée d’environ une heure, comporte douze pièces, dont onze originales – une seule a été récupérée du mini-album sorti en 2009. Cela fait donc près de cinq ans que Vincent Vachon, assisté de Dominique Massicotte (réalisation) et Bernard Beaulieu (textes), travaille sur un album dont le son n’est pas sans rappeler la formation Karkwa. Vincent ne s’en cache d’ailleurs pas: «Je suis à l’aise avec ces comparaisons, Karkwa a été une grande influence pour le groupe même si c’est assez récent. Je me suis aussi inspiré de Harmonium et de Daniel Bélanger. D’ailleurs, notre son est à mon sens plus électro que ce que propose Karkwa. Les textures sonores s’approchent davantage de Massive Attack ou de James Blake.»
Vincent cite aussi des groupes rock comme Nine Inch Nails et Tool comme empreintes musicales. Cela se sent dans certaines pistes comme Mon espace (qui ouvre l’album) ou Mon petit cabre, qui sont plus agressives, plus méchantes que ce qu’a l’habitude d’offrir Karkwa. Quant aux textes, ils sont l’œuvre de Bernard Beaulieu, parolier du groupe et ancien collègue de travail de Vincent. La collaboration entre les deux a d’ailleurs été un heureux hasard: «Bernard m’a transmis ses textes, pour le plaisir, je ne prenais pas ça trop au sérieux avant d’avoir les mots sous les yeux. Immédiatement, j’ai été rejoint par sa façon d’écrire et les thèmes qu’il exploitait», raconte Vincent, qui a récemment décroché son diplôme en enseignement à l’Université de Sherbrooke.
Dans son ensemble, l’album abonde de textes assez sombres. Noem suit un peu en catimini le regain de militantisme politique chez les groupes de musique au Québec. Les textes traitent de sujet sérieux, et se veulent même dénonciateur (comme dans la cinquième piste, M. Lincoln, qui parle de l’esclavage moderne) à certains moments, mais Vincent précise que leur engagement est plus subtil que celui des groupes comme Loco Locass ou les Cowboys Fringants chez qui les positions sont clairement identifiables: «On touche à des sujets plus universels. On s’inspire davantage d’idées et de valeurs dans leur ensemble.»
Si l’album est si bien léché et offre un son aussi clair, ce n’est pas uniquement en raison de l’immense talent des musiciens. Ces derniers ont également eu la chance de travailler avec de gros noms de la production: l’enregistrement de la batterie s’est fait avec Étienne Dupuis-Cloutier (Fanny Bloom, le Roi Poisson), le mixage avec Pierre Duchesne (Marrie-Pierre Arthur, Richard Desjardins) et le mastering avec Marc Theriault (Karkwa, Malajube). Malgré cela, une bonne partie de l’enregistrement de Petites apocalypses s’est faite dans le sous-sol de chez Dominique. Vincent prend d’ailleurs le soin de remercier ses parents pour leur patience et leur machine à expresso!
À voir le 31 juillet prochain, aux Concerts de la Cité à Sherbrooke. À entendre sur noem.ca. - Le Collectif


"ÉVÉNEMENT SHERBROOKLYN"

Pronostiquer sur le concours que tient l’événement Sherbrooklyn le 6 septembre relève de l’exercice périlleux. À vue de nez, le folk-rock de Noem part avec une longueur d’avance, ne serait-ce que pour l’assurance de son leader Vincent Vachon et de la solide brigade de musiciens qui le seconde. - Journal Voir


"ÉVÉNEMENT SHERBROOKLYN"

Pronostiquer sur le concours que tient l’événement Sherbrooklyn le 6 septembre relève de l’exercice périlleux. À vue de nez, le folk-rock de Noem part avec une longueur d’avance, ne serait-ce que pour l’assurance de son leader Vincent Vachon et de la solide brigade de musiciens qui le seconde. - Journal Voir


"Soirée de reconnaissance des artistes et des travailleurs culturels de l’Estrie"

Lors de la Soirée de reconnaissance des artistes et des travailleurs culturels de l'Estrie, qui a eu lieu au Théâtre Granada à Sherbrooke, le 13 novembre dernier, trois lauréats de l'Estrie ont été honorés pour s'être démarqués par leur création ou par leur implication dans le développement des arts et de la culture en région. Cette soirée est organisée par le Conseil de la culture de l'Estrie, depuis trois ans. Pour la présente édition, deux nouveaux prix ont été remis, soit le Prix de l'Association des Bibliothèques Publiques de l'Estrie, ainsi que le Prix « Relève en musique émergente », et ce, à l'initiative du Tremplin 16-30 de Sherbrooke, avec l'appui du réseau des diffuseurs de l'Estrie. Pour la première fois, le Prix « Relève en musique émergente » a été remis à la formation musicale NOEM. Le jury, composé de diffuseurs et de journalistes de l'Estrie, a souhaité valoriser le potentiel de professionnalisation de la formation, ainsi que l'originalité et la qualité de ses oeuvres musicales. Cette Soirée de reconnaissance des artistes et des travailleurs culturels de l'Estrie reçoit le soutien des Caisses Desjardins des Cantons-de-l'Est, de Télé-Québec, de la Société Radio-Canada, du ministère de la Culture et des Communications, du Conseil des arts et des lettres du Québec et du bureau du député Pierre-Luc Dusseault. - Le journal Internet Estrie plus


"Soirée de reconnaissance des artistes et des travailleurs culturels de l’Estrie"

Lors de la Soirée de reconnaissance des artistes et des travailleurs culturels de l'Estrie, qui a eu lieu au Théâtre Granada à Sherbrooke, le 13 novembre dernier, trois lauréats de l'Estrie ont été honorés pour s'être démarqués par leur création ou par leur implication dans le développement des arts et de la culture en région. Cette soirée est organisée par le Conseil de la culture de l'Estrie, depuis trois ans. Pour la présente édition, deux nouveaux prix ont été remis, soit le Prix de l'Association des Bibliothèques Publiques de l'Estrie, ainsi que le Prix « Relève en musique émergente », et ce, à l'initiative du Tremplin 16-30 de Sherbrooke, avec l'appui du réseau des diffuseurs de l'Estrie. Pour la première fois, le Prix « Relève en musique émergente » a été remis à la formation musicale NOEM. Le jury, composé de diffuseurs et de journalistes de l'Estrie, a souhaité valoriser le potentiel de professionnalisation de la formation, ainsi que l'originalité et la qualité de ses oeuvres musicales. Cette Soirée de reconnaissance des artistes et des travailleurs culturels de l'Estrie reçoit le soutien des Caisses Desjardins des Cantons-de-l'Est, de Télé-Québec, de la Société Radio-Canada, du ministère de la Culture et des Communications, du Conseil des arts et des lettres du Québec et du bureau du député Pierre-Luc Dusseault. - Le journal Internet Estrie plus


"Lancement du festival Vue sur la relève 2013"

La brigade de NOEM était l’orchestre maison du lancement de Vue sur la relève. Les musiciens, en plus d’accompagner certains artistes, assuraient les transitions, pendant lesquelles il a été possible d’entendre quelques pièces de Petites Apocalypses, leur premier album. La poésie et la musique de NOEM sont tranchées et créatives. Les paroles prennent beaucoup de place au coeur leur pop-rock alternatif, donnant un fini franchement intéressant. Ils seront au Cabaret du Mile End le samedi 20 avril à 20h. Sur la photo : Vincent Vachon (voix et guitares). - Feu à volonté


"Lancement du festival Vue sur la relève 2013"

La brigade de NOEM était l’orchestre maison du lancement de Vue sur la relève. Les musiciens, en plus d’accompagner certains artistes, assuraient les transitions, pendant lesquelles il a été possible d’entendre quelques pièces de Petites Apocalypses, leur premier album. La poésie et la musique de NOEM sont tranchées et créatives. Les paroles prennent beaucoup de place au coeur leur pop-rock alternatif, donnant un fini franchement intéressant. Ils seront au Cabaret du Mile End le samedi 20 avril à 20h. Sur la photo : Vincent Vachon (voix et guitares). - Feu à volonté


"Festival Vue sur la Relève : un début prometteur"

Hier soir au Cabaret du Mile-End, la 18ème édition du Festival Vue sur la Relève a été lancée. Jusqu’au 27 avril, c’est dans plusieurs salles de spectacles (dont le Divan Orange, la Sala Rossa, etc) que vous pourrez découvrir de nouveaux talents. Encore cette année, c’est sous le thème«Découvrez-les avant que tout le monde en parle» que se tiendra le festival. Et en effet, la directrice artistique Marie-André Thollon a visé droit dans le mille. En première partie, la «vraie» émergence. Sur la scène, NOEM a assuré les interludes musicaux entre chaque numéro. À travers les Sarah Toussaint-Léveillée, qui nous a bien fait rire avec son franc-parler et son hésitation à changer de chanson deux secondes avant sa prestation; La Bronze, qui a offert une forte performance musicale; Le Projet Bocal, qui a fait éclater de rire la salle avec son excellent sketch; Martin Arriola, qui a charmé la salle avec son groupe et lorsqu’il s’est joint au chanteur de NOEM pour la dernière chanson de la première partie; et beaucoup d’autres numéros, on a pu voir à quel point les organisateurs du festival ont bien fait leur travail. Malgré quelques petits problèmes techniques, les artistes ont parfois su réinventer le sens de l’expression «The show must go on». Bravo! - Les méconnus


"Festival Vue sur la Relève : un début prometteur"

Hier soir au Cabaret du Mile-End, la 18ème édition du Festival Vue sur la Relève a été lancée. Jusqu’au 27 avril, c’est dans plusieurs salles de spectacles (dont le Divan Orange, la Sala Rossa, etc) que vous pourrez découvrir de nouveaux talents. Encore cette année, c’est sous le thème«Découvrez-les avant que tout le monde en parle» que se tiendra le festival. Et en effet, la directrice artistique Marie-André Thollon a visé droit dans le mille. En première partie, la «vraie» émergence. Sur la scène, NOEM a assuré les interludes musicaux entre chaque numéro. À travers les Sarah Toussaint-Léveillée, qui nous a bien fait rire avec son franc-parler et son hésitation à changer de chanson deux secondes avant sa prestation; La Bronze, qui a offert une forte performance musicale; Le Projet Bocal, qui a fait éclater de rire la salle avec son excellent sketch; Martin Arriola, qui a charmé la salle avec son groupe et lorsqu’il s’est joint au chanteur de NOEM pour la dernière chanson de la première partie; et beaucoup d’autres numéros, on a pu voir à quel point les organisateurs du festival ont bien fait leur travail. Malgré quelques petits problèmes techniques, les artistes ont parfois su réinventer le sens de l’expression «The show must go on». Bravo! - Les méconnus


"Découvrir la relève artistique"

C’est au Cabaret du Mile-End qu’a été lancée la 18e édition de Vue sur la relève mercredi soir. Le festival, qui célèbre sa majorité cette année, s’avère une réelle vitrine pour les artistes émergents. «41 étincelles en théâtre, en chanson, en musique et en danse, c’est ce que vous allez découvrir au cours de cette 18e édition», a lancé Marie-André Thollon, fondatrice et directrice artistique du festival, en début de soirée. Pascale Bussières, porte-parole de l’événement pluridisciplinaire, est ensuite venue la rejoindre sur scène. «J’adore découvrir de nouveaux musiciens. On se réunit souvent mes amis et moi pour écouter de la musique et partager nos découvertes. Vue sur la relève, c’est l’occasion de découvrir de nouveaux talents», a-t-elle mentionné avant le spectacle. La première heure a été consacrée à la relève. Les spectateurs ont, entre autres, pu découvrir le rock vaporeux du groupe «NOEM», l’originalité du pétillant trio d’acteurs de «Projet Bocal», la voix suave de Nadia Essadiqi de «La Bronze» et le talent de la sympathique auteure-compositrice-interprète Sarah Toussaint-Léveillé. - Le Journal de Montréal


"Découvrir la relève artistique"

C’est au Cabaret du Mile-End qu’a été lancée la 18e édition de Vue sur la relève mercredi soir. Le festival, qui célèbre sa majorité cette année, s’avère une réelle vitrine pour les artistes émergents. «41 étincelles en théâtre, en chanson, en musique et en danse, c’est ce que vous allez découvrir au cours de cette 18e édition», a lancé Marie-André Thollon, fondatrice et directrice artistique du festival, en début de soirée. Pascale Bussières, porte-parole de l’événement pluridisciplinaire, est ensuite venue la rejoindre sur scène. «J’adore découvrir de nouveaux musiciens. On se réunit souvent mes amis et moi pour écouter de la musique et partager nos découvertes. Vue sur la relève, c’est l’occasion de découvrir de nouveaux talents», a-t-elle mentionné avant le spectacle. La première heure a été consacrée à la relève. Les spectateurs ont, entre autres, pu découvrir le rock vaporeux du groupe «NOEM», l’originalité du pétillant trio d’acteurs de «Projet Bocal», la voix suave de Nadia Essadiqi de «La Bronze» et le talent de la sympathique auteure-compositrice-interprète Sarah Toussaint-Léveillé. - Le Journal de Montréal


"EMBARQUE AVEC LA RELÈVE!"

Le groupe n’a pas encore célébré son premier anniversaire que déjà, il compte à son actif un premier album, Petites Apocalypses. Avec ce dernier, dont le contenu était présenté sur scène, on peut entendre Vincent Vachon, à la voix et à la guitare, se prononcer sur sa vision du monde, par des paroles engagées, chargées de références. Font aussi partie de ce projet le batteur et percussionniste Manuel Tremblay, le claviériste et pianiste Charles-Emmanuel Lignon L’Espérance, le guitariste Antoine Auger et le bassiste Benoît Marquis.

Graduellement, Vincent Vachon (qui a tenu à remercier sur scène Bernard Beaulieu et Dominique Massicote, qui l’ont tous deux appuyé dès les débuts dans ses textes) entame maintenant une écriture collective pour les nouvelles chansons. «C’est un beau début. C’est vraiment nos idées, un projet commun», ont-ils tous été d’accord à dire. Quelques exclusivités ont été partagées en gage de teaser du nouveau matériel, encore embryonnaire, qui paraîtra sur leur prochain opus. Intense et sentie, la performance folk-rock de Noem a conclu en émotions cette deuxième fin de semaine du Festival Vue sur la Relève. http://noem.ca/ - MAtv


"EMBARQUE AVEC LA RELÈVE!"

Le groupe n’a pas encore célébré son premier anniversaire que déjà, il compte à son actif un premier album, Petites Apocalypses. Avec ce dernier, dont le contenu était présenté sur scène, on peut entendre Vincent Vachon, à la voix et à la guitare, se prononcer sur sa vision du monde, par des paroles engagées, chargées de références. Font aussi partie de ce projet le batteur et percussionniste Manuel Tremblay, le claviériste et pianiste Charles-Emmanuel Lignon L’Espérance, le guitariste Antoine Auger et le bassiste Benoît Marquis.

Graduellement, Vincent Vachon (qui a tenu à remercier sur scène Bernard Beaulieu et Dominique Massicote, qui l’ont tous deux appuyé dès les débuts dans ses textes) entame maintenant une écriture collective pour les nouvelles chansons. «C’est un beau début. C’est vraiment nos idées, un projet commun», ont-ils tous été d’accord à dire. Quelques exclusivités ont été partagées en gage de teaser du nouveau matériel, encore embryonnaire, qui paraîtra sur leur prochain opus. Intense et sentie, la performance folk-rock de Noem a conclu en émotions cette deuxième fin de semaine du Festival Vue sur la Relève. http://noem.ca/ - MAtv


Discography

EP (2009)

Petites Apocalypses (2012)

Photos

Bio

Au carrefour de la vingtaine, Vincent Vachon dévoile son univers musical construit à partir de mélodies rassemblées sur la même courtepointe : NOEM. Une solide brigade de musiciens se rassemble progressivement autour de lui et forme maintenant un ensemble indissociable. Après avoir lancé un premier EP et pris du poil de la bête sur scène, NOEM assemble les chansons de son répertoire jeune et fertile pour autoproduire son premier opus intitulé Petites Apocalypses. Peu de temps après la sortie de l’album, le groupe est sélectionné par le Réseau Centre dans le cadre des Entrées en scène Loto-Québec pour faire partie du catalogue de spectacles RIDEAU. Le groupe remporte également le deuxième prix au concours Sherbrooklyn et se voit retenu pour participer à la 18e édition du festival Vue sur la relève ainsi qu’au Festival des arts de Sorel-Tracy (FAST). Sur des arrangements organiques, des refrains percutants ou détonants, servis par une voix singulière, NOEM livre sa marchandise dans une musique aussi noire que lumineuse où l’on reste accroché volontiers. NOEM, c’est aussi une poésie accessible, forte et crue, une empreinte de tout ce qu’il y a de plus humain.

Band Members