OktoEcho

Joel plaskett, oktoecho lead Canadian folk music award nominees 09-10-12 04:58
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Presented by
Thursday, October 8, 2009
Joel plaskett, oktoecho lead Canadian folk
music award nominees
Canwest News Service
Halifax's Joel Plaskett is the heavyweight among this year's Canadian Folk Music Awards
nominees, which were announced yesterday. The indie roots rocker and Polaris Prize finalist
garnered nominations in four categories: contemporary album, solo artist, producer and pushing the
boundaries. The fifth annual awards gala will be held Nov. 21 at the Canadian Museum of Civilization
in Gatineau, Que. Nipping at Plaskett's heels is Montreal's Middle Eastern ensemble, OktoEcho. The
group is up for ensemble, world group and instrumental group. OktoEcho's competitors in the
ensemble and instrumental categories include Toronto's Sultans of String, whose flamenco world jazz
fusion has also earned it a pushing-the-boundaries nomination. Launched in 2005, the Folk Music
Awards celebrate Canada's diverse musical heritage.
© 2009 The National Post Company. All rights reserved. Unauthorized distribution, transmission or republication strictly prohibited. - The National Post

Le Jumelé | Automne 2009 9
Arts et Cultures
FRANS VAN DUN
Journaliste et auteur
Les Muses de la musique ont effleuré
de leurs ailes le berceau de Katia. De
plus, de par sa mère libanaise et son
père québécois, la rencontre de deux
cultures était inscrite dans ses gènes
dès le départ.
À la conquête de musiques nouvelles et
originales, sa vie sera une escalade des
deux versants de la montagne, l’oriental,
éclairé par le soleil levant, et l’occidental,
baigné par le soleil couchant.
Mais la montée sera longue avant de
planter le drapeau de la victoire au
sommet, peut-être jamais tout à fait
accessible.
De Québec à Dubaï
Katia Makdissi-Warren, à la croisée de deux univers musicaux
Dans cette aventure, est-ce que Katia
ne s’est pas toujours montrée première
de cordée?
Essayons de suivre sa trace.
D’étape en étape,
de longs apprentissages
Petite fille, Katia se plaît à l’ombre protectrice
de sa grand-mère qui lui conte
des histoires en arabe libanais, chante
des berceuses du pays lointain et la gâte
avec des petits plats orientaux. L’adulte
d’aujourd’hui en garde un souvenir inoubliable.
Katia grandit et sait ce qu’elle veut. À 5,
6 ans, elle achale gentiment sa mère :
elle aimerait un piano et suivre des cours.
Tenace dans sa demande, elle aura gain
de cause à l’âge de 7 ans.
La petite sait déjà que le goût de la
musique et le talent naturel ne suffisent
pas. Il reste une technique à acquérir,
des gammes à assimiler, des maîtres à
fréquenter. Elle s’y met avec une joyeuse
passion.
Ainsi, enfance et adolescence ne font
que confirmer que la jeune Katia et la
musique seront inséparables. Elle s’inscrira
donc au Conservatoire de Québec, sa ville
natale.
L’étudiante est douée. Elle se jette à corps
perdu dans l’exploration des grands compositeurs,
les Beethoven, Bach, Mozart,
ses compagnons de
tous les jours.
Mais son excellente
formation à Québec
la laisse malgré tout
sur sa faim. Elle veut
mettre les pieds dans
le pays d’Europe qui a
vu naître ces maîtres
tant admirés, l’Allemagne,
s’abreuver aux sources de cette
musique classique et, en même temps,
pousser plus avant l’art de composer
elle-même, car l’ambitieuse étudiante
ne veut ni ne peut se contenter d’interpréter
les oeuvres composées par
d’autres. Depuis toujours, elle sent sourdre
en elle des sources d’inspiration,
encore un peu informes, mais qui commencent
à se dessiner. Elle veut en
maîtriser les lois.
Dans cette perspective, Katia s’inscrit à un
institut universitaire à Hambourg, la
Musikhochschule et y passe un an à perfectionner
ses acquis.
À la même période, le versant oriental
de la musique l’appelle plus fort que
jamais. Là aussi, elle veut à la fois interpréter
et composer. Mais interpréter, par
le biais de quel instrument? Ce sera l’oud,
l’instrument de musique à cordes pincées
très répandu dans les pays arabes. Sous
diverses formes, on le retrouve déjà en
Babylonie et en Égypte plusieurs siècles
avant Jésus-Christ.
Mais comment maîtriser l’esprit et les
techniques de la musique orientale? Katia
prend contact avec le fondateur et Doyen
de la faculté de musique de l’Université
St-Esprit de Kaslik
(Liban), le Père Louis
Hage. Or, le hasard
veut que celui-ci entreprend
une année
sabbatique à Paris. Il
invite Katia à se rendre
dans la capitale
française pour y recevoir
un enseignement
quotidien en
musique arabe et syriaque. Pour la jeune
musicienne, c’est la chance de sa vie,
d’autant plus que le Père va l’introduire
dans un cercle de grands musiciens
arabes présents dans la Ville Lumière.
C’est grâce à ce concours de circonstances
que Katia Makdissi-Warren commence à
composer des musiques d’orchestre métissées.
Pour une oreille arabe, ça sonne
occidental. Pour nous, occidentaux, ça
sonne arabe, mais l’oreille s’y fait, et des
deux côtés on se laisse séduire.
De retour au Québec, Katia joue, compose,
forme l’orchestre Oktoecho et
obtient des contrats, entre autres à
Radio-Canada, mais aussi pour des films,
du théâtre, de la danse et des orchestres
symphoniques…
Jusqu’au jour où…
coup de théâtre!
Pendant ce temps, à l’autre bout de la
planète, l’émirat arabe de Dubaï continue
à réaliser ses projets gigantesques dont
le point culminant est la construction
du Burj Dubaï, le plus haut gratte-ciel
au monde. Hauteur: plus de 800 m, 162
étages. L’inauguration officielle du Burj
est prévue pour le 2 décembre prochain.
Une exposition permanente retracera
l’histoire et l’environnement de cette
bâtisse unique, dont l’architecture est
inspirée d’une plante cultivée seulement
à Dubaï et en Inde, le Hymenocallis. Par
ailleurs, la compagnie québécoise GSMPRJCT
est maître d’oeuvre de cette exposition.
Elle lance une soumission dans le
but de détecter la meilleure musique
comme fond sonore de l’expo, reflétant
à la fois le patrimoine musical et l’orientation
moderniste de l’émirat.
Katia participe, gagne, est engagée.
Comme le - Le Jumelé

CULTURE
QUAND L’OCCIDENT
RENCONTRE L’ORIENT Josée Louise Tremblay,
chroniqueuse de rue
Regroupant 13 musiciens chevronnés de formation musicale traditionnelle orientale
et occidentale, le groupe montréalais OktoEcho réussit à fusionner les genres
avec brio. Inspiré par le chi!re huit, symbole de l’in"ni, OktoEcho rappelle aussi
le mythe d’Echo, nymphe grecque qui donna son nom au phénomène acoustique.
Entrevue avec deux passionnés de musique désirant promouvoir la paix à travers
leur création : Katia Makdissi-Warren et Paul Baraka, les instigateurs et compositeurs
de ce groupe éclectique.
Mélanger les genres musicaux de l’Occident et du Moyen-Orient est une idée de Katia Makdissi-
Warren, née d’une mère libanaise et d’un père québécois. À l’aide d’instruments orientaux tel que
le naï, !ûte traditionnelle, l’oud, équivalent du luth, auxquels s’ajoutent des percussions mêlées à
un quintette d’instruments à cordes classiques et au piano, la chef d’orchestre d’OktoEcho, Katia
Makdissi-Warren, relève le dé" de rendre cet ensemble multiculturel cohérent et !uide.
OktoEcho est né de la rencontre des deux talentueux compositeurs, Katia Makdissi-Warren et
Paul Baraka : «J’étudiais en Allemagne et je désirais travailler avec un professeur de musique
arabe, plus spéci"quement maronite, la musique traditionnelle du Liban», raconte Katia. Elle se
rend à Paris pour rencontrer un professeur qui lui parle de Paul Baraka et de ses compositions.
C’est à Montréal qu’ils se croiseront "nalement, mais ils auront dû attendre près de dix ans
avant que l’occasion de travailler ensemble se présente.
Leurs parcours
Dès l’âge de 7 ans, Katia Makdissi-Warren compose de la musique au piano. Compositrice
souhaitant innover, elle se spécialise rapidement dans les musiques du Moyen-Orient et de
l’Occident. Elle travaille d’ailleurs régulièrement avec l’Orchestre national oriental de Beyrouth.
Mais son répertoire s’étend bien au-delà de la musique orientale. Très active dans le milieu
musical québécois, elle a déjà composé des musiques pour le théâtre, pour des documentaires
et pour des orchestres tels que l’Ensemble contemporain de Montréal et l’Orchestre de chambre
de l’Université McGill. En tant que chef d’orchestre, elle a dirigé Les Misérables, présenté au
Capitol de Québec en 2008.
Paul Baraka, plutôt discret en entrevue, est
originaire du Liban et né de parents grecs et
égyptiens. Cet inclassable de la scène artistique
montréalaise découvre la musique à 17
ans, avec le piano. «C’est devenu comme une
maladie, une obsession. Il fallait que je fasse
de la musique. C’était plus fort que moi», ditil.
La richesse de son environnement musical
se fond parfaitement au projet OktoEcho.
Passionné de musique chorale, "ls spirituel
de Vangelis, Verdi et Carl Or#, son univers est
in"ni.
Des artistes de réputation internationale participent
également à ce fantastique album
éponyme : ainsi, Michel Baklouk, joueur de
riqq, qui accompagne régulièrement la grande
diva libanaise Fairouz; Ralda Salem au naï et
à la voix, Ismail Hakki Fencioglu à l’oud et à la
voix, de même que Marianne Trudel au piano
et Patrick Graham aux percussions. Le quintette
de cordes est composé de musiciens des
Violons du Roy.
?? www.oktoecho.com
Le groupe montréalais OktoEcho OKTOECHO : - L'Itineraire

At the Top, Burj Dubai opens to the public on January 5 | Emaar
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Tuesday, January 5 - 2010
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Burj Dubai renamed as height revealed
At the Top, Burj Dubai opens to the public on January 5
At the Top, Burj Dubai, the world's highest observation deck on Level 124 of Burj
Dubai, the world's tallest building, will open doors to the public from January 5, 2010.
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Tickets are time stamped at 30-minute intervals, on
specific days, in order to carefully manage the daily rush
of sightseers.
The entrance to the experience At the Top, Burj Dubai is
at the adjoining The Dubai Mall's Lower Ground level,
conveniently situated among a parade of tempting
restaurants. Banks of LED screens displaying Burj Dubai's
distinctive three-core design in red and black greet
visitors.
The reception area features a fiberglass model of the
tower illuminated in blue light. Soft music plays in the
background, from a score composed especially for Burj
Dubai by Katia Makdissi-Warren, a Canadian artist noted
for her fusion of Western and Arabian styles.

At the Top, Burj Dubai opens to the public on January 5 | Emaar Properties | AMEinfo.com 10-01-04 21:19
http://www.ameinfo.com/220247.html Page 2 sur 4
Burj Dubai's construction phases: Part 2
Downtown Burj Dubai
The interactive feature 'Burj Around the World' allows visitors to view Burj Dubai on the
skyline of other famous cities. Two multimedia presentations, 'Burj Dubai Among the
Greats' and 'Tallest Among the Tall', introduce other iconic tall buildings from around the
world, forming as they do the inspiration for Burj Dubai.
Precision is a theme of the tower and it governs the experience awaiting visitors to At
the Top, Burj Dubai. Past an airport-style security gate, visitors are immersed in the
history of Dubai as they are escorted along a 65-metre travelator.
A multimedia display, 'Dubai Then and Now', explores the emirate's humble beginnings
as a pearl diving and trading hub and traces its emergence into a world centre for
tourism, commerce and finance.
A new musical passage, again by composer Katia Makdissi-Warren, accompanies the
historical narrative, and her composition proceeds to change in mood and tempo as new
sections of the tour are revealed.
The travelator gently deposits visitors at the 'From the earth to the sky', through which
they view the tower's spire at a near vertical angle and its observation deck on the
124th floor.
Pausing at the 'From the earth to the sky', one can also absorb the 'legend' of Burj
Dubai, which interprets the personality and aspirations of the world's tallest building as
though it were an individual.
"I am the heart of the city and its people," the legend reads, "the marker that defines
Emaar's ambition and Dubai's shining dream. More than just a moment in time, I define
moments for future generations..."
An almost spiritual ambience permeates this stage of the tour. As soothing music plays
in the background, futuristic back-lit glass panels display the styling cues for the tower's
unique design, including its inspiration from the natural world, a freshly cut flower from
the beautiful desert lily, Hymenocallis.
The next leg of the journey, 'From Vision to Reality', delves deeper into the architectural
and engineering complexity inherent in the world's tallest building. A multimedia
presentation tracks the evolution of the project, from the design phase through to final
construction, revealing as it does so the numerous challenges the Burj Dubai's engineers
overcame to deliver what will soon become a living community for as many as 12,000
people.
The final ascent to the 124th floor is by a double-deck elevator, each deck carrying up
to 14 people and travelling at an amazing 10 metres per second directly to Level 124.
The smoothness of the ride and the captivating effects of the elevator's interior LED
screens, means one barely perceives any movement at all.
In less than 60 seconds, the elevator reaches the observation deck, the world's only
public observation deck with an outdoor terrace at this height.
The view from At the Top, Burj Dubai is like that from a plane. But while an ai - AMEinfo.com