Pom Pom War
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"Capricious militia - Three cheers to Pom Pom War's dangerous dance-punk"

**PLEASE SEE THE IMAGE** - Montreal Mirror


"Pom Pom War : cha-cha-cha!"


Pom Pom War : cha-cha-cha!
Julie Ledoux
31 mars 2010

Depuis trois ans, les membres de Pom Pom War s’affairent à trouver un son qui leur est propre, un mélange équilibré de rock, de punk et d’électro. Enfin, l’année 2010 leur sera profiteuse puisqu’ils lancent ce mois-ci Allez! Prenez leurs armes, le premier EP officiel du quatuor. Rencontre sur fond de piano classique et de noix mélangées aux Entretiens.

Tout semble aller pour le mieux depuis que les quatre membres ont signé avec le label Mindique (Les Incendiaires, Lost Ponchos) : « Récemment, il y a tout le temps quelque chose qui se passe! », s’exclame Nicolas alias Dusti, chanteur, claviériste et programmeur du band. En effet, Pom Pom War attire les regards depuis plusieurs mois, sortant de l’ombre électro-punk de la scène locale. Formé de Caroline et Nicolas (sœur et frère, aux voix et claviers, tous les deux), de Jonathan à la guitare et de Roberto à la batterie, le groupe tente encore de se définir à quelques jours du lancement de leur EP, au Green Room : « Je pense que si tu joins un peu tout ce que les gens trouvent à dire… parce que c’est vrai que souvent les gens vont aller chercher ce que tu trouves en haut sur Myspace : trash-new wave-garage… qui est plus ou moins ça. On voulait se décoller de l’électro », affirme Nicolas. « Au début, les gens disaient qu’on faisait de l’électro-clash-glam, et ce n’était pas vraiment ça! Surtout le côté clash et glam. Peut-être un peu pour le côté « costumesque » qu’on retrouve dans nos shows. »

« Costumesque? »

« Ouais, ça c’est quand on enregistre », ajoute Jonathan. « Je me mets des grandes robes de mariée quand j’enregistre ma guitare. En d’ssous, je suis ben plate. Mais sinon, c’est plus des robes de chambre en show, des costumes et d’autres choses. On aime les ajouts, les thématiques, les masques, etc. », renchérit-il. Mais les spectacles de Pom Pom War sont-ils aussi éclatés qu’ils tentent de nous en convaincre?

Nicolas tempère un peu les ardeurs : « À L’Esco [pour les 10 ans de L’Esco en mars 2010], on n’est pas allés dans l’extrême pour être vraiment « Wrrraaaaah! ». Tandis qu’à Divers/Cité, on a vraiment mis le paquet parce que ça allait de soi, c’était queer et ça « fittait ». » L’extravagance du groupe en spectacle a parfois été comparée à celle des B-52’s, et la musique, à celle de Siouxie and the Banshees. Si la voix de Caroline peut se rapprocher de Siouxie, le groupe pense, pour sa part, échapper à un cadre trop restreint et se laisse porter avec humour au hasard des rencontres et de l’art : « C’est pas mal toujours du hasard et de l’aléatoire, comme pas mal de choses qui arrivent dans notre groupe, dans les titres de nos chansons, etc. », affirme Jonathan. En effet, c’est par les arts plastiques que le groupe a déterminé son nom et le titre de son futur EP.

Collages et meneuses de claques

« On avait essayé de trouver cinquante noms qui ne nous satisfaisaient jamais. Puis, Jo est tombé sur un livre random au Colisée du livre qui s’appelait The Pom Pom Wars. Allez l’acheter sur eBay. C’est un excellent livre pour adolescentes. Idéalement, on ne voudrait pas trop être associés au livre… », nous prévient Nicolas. Le hasard semble encore une fois mener les décisions importantes du groupe. Même son de cloche du côté du titre du EP : « J’avais fait une ancienne pochette pour le EP. C’était un collage qui était tiré d’une vieille BD », nous explique Jonathan, l’artiste derrière la pochette du disque. « Puis on était un peu tannés de le voir, après un an. On s’est dit qu’on ne fera pas des Chinese Democracy de nous-mêmes, et sortir la même affaire un an après avec le cover attendu. On va faire d’autre chose tant qu’à y être. », ajoute Nicolas.

Guitariste de profession, Jonathan s’aventure aussi depuis plusieurs années dans les arts visuels et monte des œuvres à partir de découpes de bandes dessinées débusquées au hasard dans les librairies usagées et autres Colisée du livre : « Je découpe dans des vieilles BD, des vieilles revues, puis je pense qu’il y avait un soldat avec des lions et c’était écrit ça dans la bulle « Allez! Prenez leurs armes ». La bulle était là, puis on s’était dit que ce serait drôle que ce soit le titre du CD. Mais vu que ce n’était plus la même pochette après, et qu’on avait déjà dit que c’était ça le titre, et bien, on a gardé ce titre-là quand même! » Les idées fusent entre les membres du groupe et le syndrome de la page blanche ne semble pas exister. Le changement de pochette n’en est qu’un exemple.

Ouverts à toutes propositions, Pom Pom War a tout de même trouvé sa voie dans un équilibre entre l’électro et le punk et tente de peaufiner le tout depuis quelques mois avec l’ajout, entre autres, d’un nouveau membre à la batterie : « On voulait un drummer qui apporterait une dynamique plus rock au projet. On était tannés de faire ça tout le temps avec des backtracks. Vraiment, on est super contents de ce que ça donne! », s’exclame Nicolas. « Le défi, c’est de ne pas perdre la dynamique des chansons. »

Faire un pas en arrière…

Ajouter un nouveau membre aura-t-il contribué au lancement tardif du EP? Dans une certaine mesure, mais les problèmes auxquels ont fait face Pom Pom War tournent plutôt autour de leur souhait d’atteindre leur son. Ils auront pris un long moment pour finalement accoucher de ce EP tant attendu. Si la composition des pièces s’est faite en douceur, l’enregistrement aura testé leur patience : « L’enregistrement a pris du temps parce qu’on a eu beaucoup de problèmes au niveau des backtracks. Puisqu’on joue toujours avec des backtracks en spectacle, on a réutilisé un peu celles-là. Plusieurs détails ont fait qu’on a dû refaire les backtracks pour le studio. On avait enregistré aussi avec Eva Stone, la chanteuse des Many Mental Mistakes, et on avait quand même aimé le résultat. Mais au bout du compte, on trouvait que ce n’était pas assez homogène. Donc, on a préféré attendre un peu pour trouver un fil conducteur plus clair à travers les tracks, ce qu’on a réussi à faire avec ce EP. » Aujourd’hui, le groupe ne s’en mord certainement pas les doigts puisque les prestations et entrevues déboulent l’une après l’autre, et les questions ardues par le fait même.

Anglais versus français

« L’anglais me vient 100 fois plus naturellement que le français. Pas parce que je n’aime pas le français, au contraire. Je trouve que c’est beaucoup plus difficile de bien écrire en français! Pour moi, en tout cas… », explique Nicolas. « Des fois, Caro improvise et ce ne sont que des sonorités sur lesquelles on place des mots. Ce n’était pas vraiment un choix de langage, c’était plutôt les mélodies qui faisaient en sorte que les mots anglais « fittaient » mieux. » Et si l’anglais leur réussit bien, le groupe l’utilise sans tenter d’y faire passer un message politisé malgré le titre accrocheur du EP et le nom du groupe : « En général, nos chansons ce sont des thématiques de films de série B, des bad trips d’acide (rires)… Ce n’est pas dit qu’un jour je n’aimerais pas écrire des chansons un peu plus sérieuses, au sens où le texte prendrait une place plus importante. Le « War » du « Pom Pom War », on s’en sert surtout esthétiquement. On ne veut pas militer contre la guerre, même si je suis loin de minimiser l’idée de la guerre, au contraire. Mais ce n’est vraiment pas quelque chose qu’on essaie de véhiculer particulièrement. », nous confie Nicolas.

Passer à la postérité

Enfin, le chat sort du sac : « Je pensais que tu allais nous poser des questions comme « C’est quoi ta couleur préférée? » ou « Qu’est-ce que t’écoutes dans ton walkman présentement? » Le moment viendra assez vite où ils auront à répondre à ce genre de questionnement existentiel. Pour l’instant, on pourra savourer leur premier opus dès le 13 avril 2010.

Pom Pom War lancera Allez! Prenez leurs armes le 15 avril 2010 au Green Room, à Montréal. Le EP sera disponible dès le 13 avril.

myspace.com/pompomwar

Photo: Felix Bowles - BANG BANG


"POM POM WAR - EP giveaway"

Montreal band Pom Pom War are set to release their first EP. We had a sneak preview listen and were pretty impressed. Expect a good garagey-electro-new wave sound - and apparently they put on an energetic live show!

The launch is free and DJ Speechless will take the night late; spinning alongside 2 of the band members who double as DJs - Shox Militari and Tiger Wolf.

We have 3 EPs to give away so email us at info [at] snapme.ca to get your hands on one. Title the email 'Oh Pom!' See you there! - SNAP! Magazine


"Pom Pom War – Allez! Prenez leurs armes"

Pom Pom War – Allez! Prenez leurs armes
(Mindique Records; 2010)

8/10

In 2007, siblings Nicholas and Caroline Dostie quit their respective bands and join forces to create raw electro-pop. Now, the duo has finally released their debut EP Allez! Prenez leurs armes. Blending ‘80s pop with post-punk riffs, they create danceable tracks that still retain the grittiness of a loft party.
The album explodes with a series of short, high-energy tracks that echo early The Kills material or a lo-fi version of the Klaxons. The two first songs "Cha Cha" and "Sliced Up!" reek of an "I'm too cool" attitude, but are so catchy it's difficult to truly hate them. Though the album suffers a little from lack of diversity, it is clear that Pom Pom War has worked out a musical formula that is not only accessible but edgy.
Pom Pom War brings the listener into the world of underground dance parties, minus the posturing and pharmaceuticals.

Trial Track: "Cha Cha" - The Concordian


"Pom Pom War: rois pompon"

Faire de l'électro-punk à Montréal, c'est se faire comparer inévitablement aux deux références locales du genre: We Are Wolves et Duchess Says. Pom Pom War assume la filiation et s'en dit même flatté mais, comme le souligne le chanteur et "électroniciste" du clan, Nicolas Dostie: "Il ne faudrait pas que les gens pensent qu'on essaie de faire la même chose."

De ce côté, pas trop de risques, puisque comme quiconque ayant déjà vu le quatuor en concert a pu le constater, Pom Pom War ajoute au trip une dimension sensuelle et sexy qui rompt avec la démence des deux autres. Dostie dit ignorer l'origine de cette facette, mais comme lui et sa sœur, la chanteuse Caroline Dostie, ont chacun mené des projets à configuration restreinte auparavant (Nicolas, le one-man band Dusti, et Caroline, le duo Hightops), l'un comme l'autre ont dû apprendre à habiter une scène avec peu. Le reste est le produit d'un mélange spontané, selon Nicolas. "Ma sœur a longtemps trippé pas mal plus rock que moi. Moi, je viens d'un background peut-être plus électronique. J'ai eu ma passe raver", raconte-t-il, énumérant au passage des points de rencontre comme Joy Division Bauhaus et Gossip. "Roberto (Parade, batterie) est assez jeune, donc il a des influences un peu plus actuelles. Jo (Jonathan Bouchard, guitare) vient plus du grunge, Jesus and Mary Chain et tout ça..."

Connu pour agrémenter ses concerts de costumes et de maquillages ("C'est assez aléatoire, honnêtement. On décide ça à la dernière minute."), le groupe fait enfin son arrivée sur disque avec le EP Allez! Prenez leurs armes, qui paraît cette semaine après un délai de plusieurs mois, causé par des pépins techniques. On y trouve neuf morceaux (dont la fameuse Automatic Bomb Woman, clou des concerts), donc plus que sur un EP moyen. "On ne voulait pas se mettre la pression d'appeler ça un premier album. Ça se veut un peu sans prétention. Pour moi, un premier album, c'est quelque chose d'encore plus attendu, de plus peaufiné." Lancement gratuit le 15 avril au Green Room à 21 h. - Voir


"Pom Pom War: Post-Punk Pep Rally"

Many musicians cringe upon reading their band/collective/menagerie compared to other existing formations in an attempt to peg their singular brew of sonorities. They’ll argue it amounts to journalistic laziness, and they’re usually right.

So when the band in question – in this instance, local syncopated synth rock creatures Pom Pom War – supplies said comparisons voluntarily, it can only mean one thing: they hold the acknowledged parties in high regard. ‘‘We all come from the same circle, so it’s inevitable that people will compare us to Duchess Says,’’ confesses Pom Pom’s untamed beast at the mic Caroline Dostie, whom we met at a Plateau café with bandmate Jonathan Bouchard. ‘‘We’re both hysterical girls singing; we make electro rock and we’ve opened for them before. We totally dig them, We Are Wolves and the entire electro rock scene. We’ve all been influenced by those same bands.’’

The similarities don’t end there. Duchess Says used to perform with a beat box machine until they met their drummer at a gig. Pom Pom’s Dostie, along with her frontman sibling Nicolas (of former one-man electro act Dusti) and guitarist Bouchard were likewise drum-deprived until they struck gold with Roberto Parada last fall. ‘‘It’s so much more collaborative and rock-driven now,’’ gushes Dostie. ‘‘Before it almost felt like a karaoke band, a pseudo band. Nicolas would come to the table with preprogrammed beats and even lyrics, whereas now we do it all together. And our sound is so amped up!’’

The allure of unruly gigs and Dada porn
The band – which recently signed with indie label MInDIque and will release their long-awaited EP Allez! Prenez leurs armes this month – has been assaulting Montrealers with their rabid post-punk antics since 2007. Known for their mesmerizing, uninhibited live sets, they also boast a uniquely cheeky aesthetic courtesy of Bouchard’s signature Dada-like collages, found on album covers, flyers and all promo material.

‘‘I have a bank of magazines that I cut out of, especially children’s books, really dirty vintage porn rags and old medical magazines,’’ says Bouchard, as he doodles on the latest Star Système Britney Spears cover. ‘‘I never start with an idea in mind, it’s all stuff that’s in my subconscious. Of course, alcohol helps a little.’’

For their upcoming shows, Pom Pom has supplemented their EP and its B-movie-inspired tracks (song titles include ‘Eat you alive’’ and ‘‘Sliced Up!’’) with fresh new material conceived with drum patterns at the outset, promising to deliver even more commanding performances.

‘‘When all four of us connect on stage, there’s this crazy chemistry that just takes over,’’ says Dostie. ‘‘The crowd goes wild, everyone starts thrashing, rushing the stage and grabbing us all over. It’s a madhouse.’’

Pom Pom War
April 15th
Green Room | 5386, St. Laurent
www.myspace.com/pompomwar - Nightlife Magazine (ENGLISH)


"Pom Pom War prêt à aller au front"

Après avoir mis le feu aux poudres dans de nombreuses salles montréalaises, Pom Pom War passe véritablement en mode attaque, avec le lancement du EP Allez ! Prenez leurs armes.

Comme son nom l’indique, Pom Pom War, c’est brutal et férocement mélodique. Le groupe est né en 2007 et comprend d’anciens membres de Hightops et Dusti, notamment le tandem frère-sœur Caroline et Nicolas Dosti.

« Il y a eu un bon laps de temps entre nos anciens bands et celui-là, raconte Caroline au bout du fil.

« Mon frère et moi, on a toujours voulu faire de la musique ensemble. Puis il est arrivé avec des beats, on a fait des maquettes et c’est devenu plus sérieux. Nous avons par la suite rencontré Jonathan (Bouchard), le guitariste. Ça nous a pris un an pour faire le plein de tounes. »


Pom Pom War propose un électro-punk férocement mélodique Photo courtoisie



Faire ses dents

À ce moment, la formation montréalaise (quatuor depuis peu avec l’ajout du batteur Roberto Parade) s’est mise dans la tête de gagner son public à coups de spectacles dans les petites salles de la métropole.

« On a eu une année et demie intense de shows. On en a donné une cinquantaine dans pas mal toutes les places à Montréal. On s’est quand même bâti un public. Il a toutefois fallu prendre une pause pour enregistrer, parce qu’on n’avait pas le choix de sortir quelque chose », poursuit la jeune femme.

C’est ainsi qu’est né Allez! Prenez leurs armes, un mini-album prometteur d’une vingtaine de minutes. Le défi principal consistait à recréer l’énergie virulente des spectacles, tout en parvenant à mettre à l’avant-plan les lignes mélodiques des compositions.

« Il fallait bien mixer notre truc. On avait peur que ça sorte flat. Finalement, nous avons réussi à obtenir un son assez riche », estime la chanteuse.

De retour dans le ring

Le quatuor électro-punk est maintenant prêt à fouler de nouveau les scènes. Ça débutera ce jeudi soir au Green Room, à l’occasion d’un concert de lancement.

« On va voir aussi ce qu’on nous offre pour l’été. On devrait participer à quelques festivals et peut-être partir en tournée ; tout dépendra de l’accueil réservé au EP. On aimerait aussi sortir un peu de Montréal, jouer aux États-Unis et ailleurs au Canada. Mais il n’y a rien de décidé de ce côté », indique-t-elle.

Et à quand un premier album complet ?

« On a déjà commencé à composer. Si ça va bien, je dirais que dans huit mois on devrait pouvoir le sortir. Nous avons envie d’offrir quelque chose plus axé sur la composition, avec moins de backtracks. On peut se permettre de toucher à la pop... tant que ça reste rock ! » conclut Caroline Dostie.

BV: Pom Pom War propose un électro-punk férocement mélodique
Photo courtoisie - Rue Frontenac


"Lancement du EP de POM POM WAR"

**video review** - Musique Plus


"POM POM WAR lance deux vidéoclips"

**Video review** - Musique Plus


Discography

- "Allez! Prenez leurs armes EP" 2010

Photos

Bio

POM POM WAR - BIO

The collage of synth-garage melodies and trashy post-punk guitars of POM POM WAR hits savagely the Montreal local scene since it's creation in 2007. With infectious beats, a nasty energy and an act to remind you of your alien abduction or the sacrifice of a dirty disco-amazon, they created a considerable hype playing many shows in the city for the queer and indie crowds. Formed by guitar player Jonathan B. and 2 singers, Caro D. (before from Hightops) and her brother Nico D., local electro showboy also known as Dusti. The formation as been joined by Roberto Parada, drummer. The trio declares war this spring with their first Ep simply called Allez! Prenez leurs armes!. If like them you encourage strikes with the use of an automatic bomb woman or a killing bunny join the PPW forces at:

Songs, photos, live dates :

www.mindique.net
www.myspace.com/pompomwar
http://pompomwar.bandcamp.com/