The Blue Seeds
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Music

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"Critique Album - Nightlife Magazine, 2008"

Pour une raison obscure (coma, drogues dures, oubli?), je suis complètement passé à côté de leur premier EP (2004). Puis, les Blue Seeds sont entrés dans ma vie comme un coup de pelle au visage. Dense, planant, un peu country, le groupe montréalais peut vous faire taper du pied (My Fair Weather Friend) ou vous donner envie de déchirer votre cœur en petits morceaux et de le faire frire à la poêle (Cars Go By). La voix d’Amélie Laflamme, qui rappelle une Beth Gibbons légèrement plus folk (ou une Neko Case légèrement moins), se mélange parfaitement aux arrangements mélancoliques. (FL) 4/5
- Nightlife Magazine


"Article - Journal de Montreal, 2008"

Comment résister au charme des Blue Seeds? Des arrangements aériens, des lignes de guitare tranchantes aux inspirations country de Roger Miron et surtout une voix envoûtante, celle d’Amélie Laflamme, font de leur album éponyme un doux délice pour les oreilles.
En fait, on ressent un sentiment de bien-être à l’écoute des 11 titres de cet album, une sorte de réconfort apporté par les chaleureuses portions vocales et la grande sensibilité qui se dégage de l’interprétation des musiciens François Dufault (guitare, glockenspiel), Amélie Laflamme (voix, melodica, piano), Marc Chartrain (batterie), Patrick Hamilton (basse) et Roger Miron (guitare).
Il y a bien des pointes plus rock (That Night in Amsterdam), mais aussi de grands tourments, comme dans la délicieuse Lost and Delirious, évoqués par une troublante ligne de piano.
PRÉSAGE
Nul doute qu’il s’agit d’une des belles révélations de l’année. N’empêche que le groupe montréalais nous avait cependant bien préparés à cette émergence il y quatre ans. Son mini-album, sorti en 2004, a reçu une nomination au gala Mimi et a reçu les éloges de nombreux critiques, notamment au Journal de Montréal.
Toutefois, ce mini-album est maintenant épuisé. Il était donc temps que le quintette revienne avec un nouveau produit, un disque enregistré à Montréal, mais aussi à Faenza en Italie, avec l’aide de Dustin O’Halloran, du groupe américain The Devics, qui a aussi participé à la trame sonore du long métrage Marie-Antoinette, de Sofia Coppola.
Ceux pour qui un petit passage sur Myspace n’est pas suffisant pour déterminer la valeur d’un groupe, veuillez prendre note que The Blue Seeds donnera un concert de lancement ce mercredi, au Lion d’Or, dans le cadre d’une formule 5 à 7. En plus, l’entrée est gratuite! Des représentations sont également prévues le 28 mars à Saint- Hyacinthe et le 2 avril à Québec.
Philippe Renault
Le Journal de Montréal
01-03-2008 | 04h00
- Journal de Montreal


"Article - Voir, 2008"

The Blue Seeds montent sur scène pour souligner la parution de leur premier disque.

C'est en 2004 que le groupe montréalais The Blue Seeds est apparu sur la scène musicale avec un premier EP qui a fait des vagues. Un démo, selon François Dufault, guitariste et auteur au sein du groupe, qui ne devait être à l'époque qu'une simple carte de visite destinée à solliciter des engagements. Après la commercialisation de ce maxi, l'attente s'est fait sentir chez les amateurs de la première heure, et le groupe concrétise aujourd'hui la sortie de son premier effort discographique.
C'est en compagnie de la chanteuse Amélie Laflamme, qu'il décrit comme sa muse et avec qui il a fondé le groupe, que le guitariste a assumé la réalisation de ce premier disque éponyme. Pour cette production qui confirme le ton mélancolique et ambiant déjà créé à ses débuts, le tandem s'est octroyé les services du batteur Marc Chartrain et du guitariste Roger Miron (tous deux membres du groupe Les Chiens), ainsi que de Guillaume Chartrain aux percussions. "Ce ton rejoint des émotions que nous voulons exprimer, indique-t-il. J'ai lu quelque part que notre musique pouvait se décrire comme étant claire et à la fois obscure. J'aime bien cette image. Ça veut dire qu'il y a de l'espoir. C'est mélancolique, mais on y trouve tout de même une joie de vivre."
La voix se retrouve au centre d'une ambiance nostalgique qui se déroule comme une trame sonore, pondérée par moments avec des climax intenses. Un trait caractéristique que nous constatons à l'écoute des pièces Lost and Delirious et Words from a Fairytale, à titre d'exemple. Le duo incarne sans réserve le romantisme contenu dans les textes, une dynamique peaufinée lors de l'enregistrement de l'ensemble des voix à Faenza, en Italie, en compagnie de Dustin O'Halloran (The Devics). "Parfois, je remarque la différence sur le disque, constate-t-il. Dans les enregistrements que nous avons faits à Montréal, il y a une influence urbaine dans l'interprétation et le son. Nous avons des racines folk, mais le décor de la ville plane autour. En Italie, c'était un tout autre univers. Nous y étions pendant l'automne, il y avait un brouillard presque permanent. Un décor très cinématographique. C'est la ville de naissance de Fellini. Nous étions dans un autre état, c'était très paisible."
Cette invitation inespérée s'est révélée bénéfique pour la réalisation, et l'apport du claviériste se fait sentir à l'écoute de l'album. "Dustin est un vrai gentleman et un excellent pianiste, souligne-t-il. Ses compositions sont en droite ligne avec Erik Satie, c'est très impressionniste. Il cultive aussi une conception cinématographique de la musique. C'est l'élément déclencheur de notre association. D'ailleurs, il venait de terminer certaines compositions pour le film Marie-Antoinette de Sofia Coppola."
Avec la chanson A Quick Killing in Art, l'auteur en a profité pour rendre hommage au peintre Jean-Michel Basquiat, faisant du même coup un clin d'oeil à son passé artistique. "Au départ, je suis artiste peintre, dit-il. J'ai toujours été attiré par le néo-expressionnisme des années 70 et 80. L'image du Tompkins Square Park à New York, c'est lié directement à Jean-Michel Basquiat, un peintre que j'aime beaucoup. Il a été itinérant pendant plusieurs années et dormait régulièrement dans ce parc. C'est mon hommage à l'artiste qu'il a été."
- Antoine Léveillée - Voir


"Album Review - McGill Daily, 2008"

McGill Daily
Monday, February 18th, 2008 | Volume 97, Number 37

Country-noir

Montreal band The Blue Seeds describe themselves as country-noir.

Never heard of the genre? Don’t worry, neither had I. The term was coined by fiction writer Andrew Woodrill, in reference to his novel Give Us a Kiss. The book uses all the tropes of traditional hardboiled fiction, but instead of the seedy alleys and mist cloaked shipyards of Los Angeles, Woodrill sets his work in the Missouri Ozzards. Clever, huh?

So what does country-noir music sound like? Well, it’s a slow-paced, brooding variant of the generic country form. It’s the kind of music you’d want to listen to on a rainy evening when you’re curled up in bed with a Cormac McCarthy novel. Or when you’re dozing at your cottage with the lights are out, and all you can hear is the wind howling in the lonely night.

If you still don’t know what I mean, you should listen to The Blue Seeds at myspace.com/theblueseeds. The band’s upcoming self-titled album makes ample use of the minor key. The record is also consistently slow-paced without sounding plodding, and it’s eerie in a strangely comforting way. The songs deal with unrequited love and late-night boozing. Obviously, this is nothing new. But the compositions bring out layers of hidden menace in the otherwise innocuous lyrics.

Next time I go home with a mysterious country gal with a down-home accent and ruby red lipstick, I’ll be sure to dim the lights and put this record on.

– Simon Lewsen
- McGill Daily


"Article - La Presse, 2008"

Blue seeds se traduit par graines de pavot, qui fournissent à la fois une épice et une drogue. Justement, délicatement relevé et planant, le premier album éponyme du groupe québécois The Blue Seeds est lancé jeudi.
Sur la pochette du disque de ce groupe fondé par le guitariste-auteur-compositeur François Dufault et la chanteuse-pianiste Amélie Laflamme, se trouve une fort jolie illustration représentant un couple, la silhouette d'une ville, quelques gouttes de pluie et, partout, du bleu. Non, le couple, ce n'est pas François et Amélie, qui sont des amis. Mais le bleu, la mélancolie de la pluie et l'urbain en arrière-plan, ça, c'est très The Blue Seeds, souvent comparé à Portishead, Cowboy Junkies et autres groupes atmosphériques articulés autour d'une voix féminine aérienne.

«C'est drôle, parce que ce sont des chanteuses que je ne connaissais pratiquement pas avant qu'on m'y compare, explique Amélie Laflamme, mais comme ce sont toutes de bonnes chanteuses, je trouve que c'est plutôt flatteur!»

Car le parcours d'Amélie, comme celui de son ami François, est assez atypique. Née à Québec, élevée à Rimouski, Amélie étudie en piano classique, en chant jazz et suit une formation intensive d'auteur-compositeur à l'École nationale du festival de Granby... pour se rendre compte qu'elle aime être chanteuse et instrumentiste, mais pas nécessairement parolière ou mélodiste.

«Né à l'hôpital Notre-Dame à Montréal», François, lui, a vécu cinq ans aux États-Unis et un an à Toronto; revenu à Montréal, le guitariste autodidacte fait publier en 2004 une petite annonce du genre «groupe rock planant cherche chanteuse».

Amélie y répond et, quelques semaines plus tard, elle, lui et d'autres musiciens mettent au monde The Blue Seeds: «Il fallait qu'on trouve un nom, on avait un show qui s'en venait, explique François, et je trouvais que l'idée des graines de pavot nous allait bien: c'est un truc planant, envoûtant, de couleur bleue, et puis ça évoquait le fait de semer de la mélancolie...»

C'est François qui compose et écrit, en anglais: «Disons que, pendant 10 ans, mes relations amoureuses ont plutôt été avec des Américaines», explique-t-il en riant. La formation sort, en 2004, un minialbum très, très bien reçu par la critique et le public amateur d'ambiance country-rock aérien... Et puis, pouf, plus de Blue Seeds sur le radar. Les divergences d'opinions au sein du groupe ont eu raison de la jeune pousse bleue.

Amélie retourne à Rimouski étudier en... psychosociologie, et François continue à jouer, avec de nouveaux musiciens, notamment le bassiste Patrick Hamilton (du défunt groupe The Snitches), qui travaille dans un bar où François va régulièrement prendre une bière.

De fil en aiguille, Patrick met François en contact avec le batteur Marc Chartrain et le guitariste Roger Miron, tous deux du groupe Les Chiens. Et puis Jean-Robert Bisaillon, ex-French B. et grand défenseur de la musique émergente, s'intéresse à eux et décide d'en assumer la gérance. Bref, à un moment donné, François rappelle Amélie qui vient de terminer ses études, et The Blue Seeds, après une longue période de germination, éclot et s'épanouit finalement, comme en témoigne éloquemment ce premier album.

On y trouve trois morceaux du minialbum, réarrangés et toujours aussi joliment mélancolico-country, mais on s'attardera aux nouveaux morceaux, dont la facture plus rock-indie, moins Paris Texas, a beaucoup de charme. Par exemple, l'étonnante chanson Lost and Delirious, où Amélie joue d'un piano délicieusement inquiétant, ou Cars Go By, fragile et poignante: «C'est une chanson écrite à peine deux semaines avant d'entrer en studio, explique Amélie. Mais j'étais à la fin d'une relation qui avait duré sept ans, et en la chantant, c'est comme si elle devenait un point d'ancrage, qui me permettait de faire enfin le deuil... Bref, on l'a faite trois fois et ça y était.»

Autre joli hasard: un de leurs admirateurs leur écrit que la musique de The Blue Seeds lui fait penser au groupe californien The Dévics: «On ne les connaissait pas, dit François, on est allé écouter leur musique et c'est vrai qu'il y avait des points communs. Alors, j'envoie un message à Dustin (O'Halloran) des Dévics, qui écoute ce qu'on fait...» Bref, de fil en aiguille, Dustin et sa femme Francesca Montanari invitent François et Amélie à venir enregistrer quelques chansons dans leur studio en Italie!

C'est même Francesca, illustratrice douée et réputée, qui dessine la très jolie illustration de la pochette. Qui représente peut-être deux amis qu'un peu de pluie n'empêche pas d'apprécier le bleu du ciel...
- La Presse


"Critique Album - Le Devoir, 2008"

Cette roue-là n'est pas neuve, même qu'on a rechapé le pneu... vingt fois? Trente fois? Pas grave. L'essentiel est qu'elle tourne lentement, cette roue. Len-te-ment. Tranquillement pas vite. On a le temps de voir le décor. Oui, l'habituel décor panoramique de guitares spaghetti-western, où résonne une voix forcément languissante. Oui, c'est un peu beaucoup les Cowboys Junkies et les murmures chauds de Margo Timmins, encore plus Mazzy Star au temps où l'indiciblement belle Hope Sandoval nous méprisait voluptueusement, et puis après? Le groupe montréalais The Blue Seeds a germé dans le bon jardin, voilà tout: Amélie Laflamme a le timbre liquéfiant de rigueur, son compagnon François Dufault lui sert les mélodies et les arrangements qui élargissent dûment l'horizon (guitares, guitares et guitares, mais aussi du mellotron, du vibraphone). Idéal quand on suit une souffleuse à 2 km/h. Cars Go By, Barcelona, A Quick Killing In Art (joli titre!) me liquéfient la congère, pour tout dire. Me déglacent le balcon. Me dégoulinent le long de la gouttière. Adieu l'hiver, bonjour les Seeds. Enfin l'éclosion. - Sylvain Cormier
- Le Devoir


"Article - Chart Attack, 2008"

The Blue Seeds Make Theatrical Debut

Music writers often describe a new group by comparing them to an established outfit. That's a trickier proposition when classifying Montreal indie-folk quintet The Blue Seeds and their eponymous debut record, considering the group's primary influences are based more in movies than music.
"The record has a bit of a road movie theme," says guitarist and main songwriter Francois Dufault. "The way we developed the lyrics and the arrangements, we started with a character and then we created an ambience around it."
Dufault produced the record and says it was important for it to have a unifying theme centred around thoughts of escape.
The group formed in 2004 after singer Amelie Laflamme responded to an ad placed by Dufault. The band — who also include drummer Marc Chartrain, bassist Patrick Hamilton and guitarist Roger Miron — released an EP six months later.
"The EP was meant to be a demo," says Dufault. "We needed the time to develop a little bit more and to keep writing songs so we could make the record we wanted to make."
Three of the EP's songs appear on the new album, though they were re-recorded to reflect the band's steady maturation process.
"We were very, I think, Americana on the EP," says Dufalut. "We've brought a bit of an indie pop sensibility to go along with our folk influences."
The Blue Seeds began recording the full-length in late 2006. Keeping with Dufault's vision of capturing the travelling experience, they spent 10 days laying down vocals in Italy with pianist Dustin O'Halloran, who's known mostly for his work in films such as Marie Antoinette. The rest of the album — including the lush arrangements and Laflamme's deep, seductive vocals — were recorded in four days at Montreal's Masterkut studio. Mixing was completed last summer.
The Blue Seeds were recent recipients of a boost from iTunes Canada after "My Fair Weather Friend" was chosen as the online store's single of the week and was downloaded 22,000 times.
"I'm not sure how they choose it," says Dufault of the process. "I think they listen to all the new records and pick the one they like best. It's a nice bonus, because it means 22,000 people in Canada who didn't know the band now do."
—Erik Leijon - Chart Attack - Article


"Album Review - Chart Attack, 2008"

The self-titled release from these Montreal folk rockers is an eerie, inspired surprise listen. The Blue Seeds are the product of co-founders Amelie Laflamme and François Dufault. Laflamme's sultry vocals blend with the band's rich arrangements to create a heartbreaking vibe on this 11-track album. The album's variety of electric guitars, analog keyboards and vibraphone create a uniquely sorrowful sound that engulfs the listener. "Lost And Delirious" is a piano-driven track that feels like a lost soul running through a maze looking for away out. Listening to this can put you to sleep, but that's a good thing. Dark fairytale "I Dream A Little Dream" isn't suitable for children. It's the shortest track on the album, but delivers in its brief timeframe. The Blue Seeds are a worthy discovery. Deidra Lunardon - Chart Attack


Discography

The Blue Seeds - Debut demo-EP (2004)
The Blue Seeds - The Blue Seeds (4th March 2008)
Where Did You Go (single) - 10" limited edition vinyl (June 2009)

Photos

Bio

Led by the evocative voice of Amélie Laflamme, the music of Montreal-based The Blue Seeds resides somewhere between atmospheric-rock and alternative-folk.

The band’s main focus is on writing and arranging songs in a way that time wouldn’t know how to make obsolete. In doing so, with its debut album, The Blue Seeds has also succeeded in creating its own unique soundscape that is as mysterious as a David Lynch movie and as refined as Wim Wenders’ pictures. A must listen album for all Neko Case and Portishead’s aficionados.

A promising vision at work…
- Bernard Perusse, The Gazette

I like the sultry vocals slightly tainted with sadness. And I like even more the post-modern western panoramic soundscape.
- Sylvain Cormier, Fréquence libre (Radio-Canada)

Formed in 2004, by songwriter and guitarist François Dufault, The Blue Seeds is now comprised of a mix of 6 up-and-coming and well established musicians: Amélie Laflamme (vocals, piano, melodica),Jean-Sébastien Brault-Labbé (drums), Martin Farmer (bass), Roger Miron (guitar) and Eric Rathé (keys).

Released on March 4th, 2008, The Blue Seeds’ debut album was recorded in Montreal at Masterkut Studio (Patrick Watson, Lhasa De Sela, Arthur H.) and in Faenza (Italy) with the collaboration of Dustin O’Halloran (Marie-Antoinette’s soundtrack, Sofia Coppola) from Los Angeles’ The Devics. Recorded with an “indie” sensibility, the 11 songs on the record reveal rich arrangements that include a wide variety of instruments ranging from electric guitars to analog keyboards, mellotron and vibraphone. The result is an album that is unique and original. Cinematic and very evocative, each song leads the listeners into a reverie as if they were part of a fictional road movie.

In 2008, the band performed at the Festival International de Jazz de Montréal, Festival de Musique Émergente en Abitibi-Témiscamingue, Popkomm, ROSEQ, and also offered a private performance for M for Montreal’s international delegates. The Blue Seeds has also offered a showcase at the 2009 Bourse RIDEAU and has set foot for the first time in France in the spring of 2009 for a few concerts : Printemps de Bourges and L’international (Paris) where its debut album has been released on April 27th.

A previously unreleased track, « Where Did You Go », recorded in Berlin at Andere Baustelle Studio, and a remix for « Lost and Delirious » done by Kid Loco, has also been released in the spring of 2009 on vinyl and mp3.

On stage, the band delivers an outstanding performance, pushing the songs to their fullest while leading the audience into a daydream and sometimes stunning people by the energy and dynamic displayed by the musicians.

www.theblueseeds.com