The D project
Gig Seeker Pro

The D project

| INDIE

| INDIE
Band Rock Singer/Songwriter

Calendar

This band has not uploaded any videos
This band has not uploaded any videos

Music

Press


"The D project Shimmering lights"

" The D Project is the new band of Stéphane Desbiens, who is the guitarist and principal composer of Sense, the primary musician in Mélia,and a member of Qwaarn, Ère G, Red sand, and Jupiter . desbiens sings (in English) and plays acoustic and electric guitars (including a designer guitar) and keyboards.Several other musicians assist, including some familiar international names.Thomas Bodin (The Flower Kings) plays keyboards on two songs, Fred Schendel ( Glass Hammer) plays keys on one song, and Martin Orford (IQ) plays keys on one song.The music is the high grade symphonic progressive we've come to expect from Desbiens, (...) Genesis is the primary influence, one track is pure Pink Floyd, and there's a bit of Yes and King Crimson, but by and large it is original and creative." - Kinesiscd.com (USA)


"The D project- shimmering lights"

"Album réalisé en 2006 par un brillant guitariste canadien, Stéphane Desbiens, qui a déjà une carrière plein remplie derrière lui, et qui a participé à une multitude de projets, d’où une approche plurielle de la musique très bénéfique, ce qui permet à cet album d’atteindre des sommets dans une diversité musicale très productive et très réjouissante.
A noter la participation de Tomas Bodin (Flower Kings), Martin Orford (IQ) et Fred Shendel (GlassHammer) sur 4 des 7 titres de ce disque.
Des références de qualité certaines dans la musique de cet artiste, mais l’approche personnelle de la musique par son auteur lui permet également d’apporter une grande variété dans les compositions et dans la structure de chacun des morceaux.
A noter que si Stéphane Desbiens est un guitariste de très grand classe, son talent multiple lui permet également d’assurer avec un brio indéniable le chant .
Cet album de musique progressive possède à la fois des morceaux très incisifs, rocks et puissants comme « what is done is done », suivi à l’opposé par le très beau et très mélodieux instrumental « end of the recess », où Martin Orford fait parler toute la classe qu’on lui connaît accompagné par la guitare classique de Stéphane Desbiens, et enchaînant sur « september solitudes » au chant mélancolique suivi de guitare distordue agrémentée d’un solo, le tout alternant avec des arpèges de guitare et le clavier d’un Tomas Bodin plus que jamais au sommet de son art.
En conclusion, Shimmering Lights est un album brillant qui dévoile au fil des écoutes toutes ses subtilités, le talent et les influences musicales variées de son auteur et dont il est évident qu’il ne peut qu’être bien reçu par les amateurs de musique progressive."
- Prog-mania (France)


"The "D" project: Le talent au service du rock progressif"

THE « D » PROJECT : le talent au service du Rock Progressif
10 juillet 2006 - L’album « Shimmering Lights » de la nouvelle formation Québécoise « The D project « constitue à mon avis, la surprise du moment en ce qui concerne les nouvelles parutions dans l’univers des musiques progressives. Même si je parle ici de nouvelle formation, j’aimerais quand même préciser que l’homme derrière ce projet, Stéphane Desbiens n’en est pas à ses premières armes en la matière. En effet, les implications de Stéphane D. que ce soit à titre de musicien, de compositeur,d’ingénieur de son, de producteur ou de réalisateur sont multiples. C’est ainsi que l’on a pu voir son nom associé de près ou de loin aux formation suivantes : Sense, Red Sand, Qwaarn, et Mélia.

« Shimmering Lights » est une œuvre magistrale d’environ 50 minutes comprenant 7 pièces en plus d’une piste video en bonus. Stéphane D .se charge des voix, de la guitare électrique et acoustique, des divers claviers, et du mellotron sans oublier bien sûr la composition, les arrangements et l’enregistrement. Alors comme on peut le constater c’est ce que l’on peut qualifier d’une implication à part entière et le résultat en est étonnant. Parmi les artistes invités, à la basse et stick guitar : Mathieu Gosselin (SENSE,RED SAND,JUPITER 9), Danny Robertson au drum,Sandra Poulin au violon, et tenez vous bien, nul autre que Tomas Bodin (Flower Kings) Martin Orford (I.Q., Jadis ) et Fred Schendel (Glass Hammer) aux divers claviers synthés et mellotron. C’est à croire que le talent attire le talent.

Tout au long de ce voyage musical, diverses couleurs, diverses ambiances se succèdent tour à tour et l’originalité, tout autant que la qualité sont au rendez-vous du début à la fin. Certes, certaines influences (Genesis Pink Floyd) sont perçues ici et là mais il est nullement question de plagiat ici. Dès les premières secondes, sur la pièce « Shimmering lights » on croirait entendre Tony Banks dans une pièce aux multiples rebondissements et ou on peut apprécier la performance vocale de l’artiste qui m’a agréablement surpris. Stéphane Desbiens excelle à la guitare électrique et acoustique tout au long de l’œuvre et les envolées de claviers sous diverse formes y sont généreuses et variées.Il est à noter que notre homme à poussé l’audace jusqu’à se faire confectionner un prototype de guitare fait sur mesure dont le cadre est fait d’une seule et unique pièce tout en stainless steel.

La seconde pièce « They come and grow » pourrait tout aussi bien sortir directement de « The Wall ». Il s’agit de ma pièce préféré sur l’album. « Hide from the sun » constitue un autre des moments forts : il s’agit d’une superbe ballade de près de 8 minutes ou s’illustrent tour à tour violon et guitare en plus de la contribution de Tomas Bodin au claviers. Un vrai régal !

A cela s’enchaîne la courte pièce « What is done is done « avec sa rythmique qui nous reste en tête facilement et son vocal irrésistible. « End of the recess » constitue un court intermède musical dominé par la guitare acoustique de Desbiens et par un inoubliable solo de Moog, gracieuseté de Martin Orford. Par la suite « September Solitude » qui d’une durée de plus de 10 minutes s’avère la plus longue. Une pièce ou la contribution de Tomas Bodin en conclusion s’avère efficace. Pour terminer la dernière et non la moindre « That’s life »qui n’est pas sans me rappeler par moment un certain Porcupine Tree avec une petite incursion dans le monde du jazz et de belles lignes de basse de Mathieu Gosselin.

En résumé : Excellent album comprenant des pièces variées, originales sans aucun temps morts et très inspirées. Très fortement recommandé non seulement parce que c’est un produit québécois mais tout simplement parce que c’est excellent ! Un point c’est tout.

Site internet : www.thedproject.com

Réjean Charbonneau
La Filière Progressive

- La fillière progressive (Canada)


"The D project"

Mein Tipp: Heute schon an Weihnachten denken! Ich denke sogar schon bis Neujahr voraus: einer meiner nächsten guten Vorsätze wird sein, keine Pressemitteilungen zu Promos mehr zu lesen – es ist fast unmöglich, durch deren Lektüre keinen falschen Voraus-Eindruck zu bekommen.

Wie oft habe ich schon gelesen, der Künstler biete ‚ein unglaublich breites Spektrum verschiedenster Stilrichtungen’ und dergleichen – und es stimmt fast nie! Da könnte einer auf dem Kamm blasen und würde wahrscheinlich als neuer Pionier des Free-Jazz mit Mut zum Risiko gefeiert.

Zu dieser CD und ihrem Schöpfer Stephane Desbiens war zu lesen: „Calling on it’s various influences, from blues, hard rock to jazz and classical music, this amazing guitarist makes no excuses as he proposes a very personal and alternative view of progressive rock music.“

Ganz neues Problem diesmal: es stimmt wirklich, was da steht!! Stephane Desbiens macht auf diesem Album wirklich alles, was er kann, und das ist eine ganze Menge: von Floyd-Andeutungen über klassizistische Uralt-Genesisanleihen bis hin zu Metalelementen mit Bouble-Ped-Geprügel und Jazzeinlagen kommt alles Mögliche vor – und alles passt trotzdem zusammen!

Ich wiederhole mich, wenn ich wieder (wie schon mehrfach in letzter Zeit) darauf hinweise, dass 2006 ein gutes Prog-Jahr ist: viele Bands zeigen neuerdings, dass sie den Prog nicht komplett neu erfinden müssen, um trotzdem Neues möglich zu machen. Es kommt – wie so oft – drauf an, was man draus macht: diese Versiertheit ist machbar, die z.B. einen Song wie „They come and grow“ realisiert – da kommt ein basslastig-riffiges Intro, das genau zwischen Pink Floyds „In the flesh“ und Yes’ „Machine Messiah“ liegt, und schon schließt sich der Genesis-artige Mittelteil mit Harfen-Gitarre an, zum Schluss wird’s Streicher-klassisch, fast deutet sich New Artrock an, dann mündet alles wieder in das Geriffe vom Anfang. Und das wird so genial an den Vorbildern vorbei arrangiert, dass ich hier unmöglich von Klonprog sprechen kann: Klonprogger pflegen in ausgetretenen Bahnen zu verweilen, aber Desbiens verbindet mühelos Schienen unterschiedlicher Spurbreite miteinander, als wär’s nie anders gewesen.

Da kann es kaum noch verwundern, dass der Opener „Shimmering lights“ klingt, als hätten die Beatles einen Hardrocksong im Arrangement des Neoprog geschrieben, eingeleitet von einer dieser sich um sich selbst drehenden Prog-Schleifen, auf die man immer noch eins draufsetzen kann. „Hide from the sun“ mit seinem nahtlosen Übergang zu „What’s done is done“ ist im Kontrastreichtum noch drastischer: zunächst kommt es rüber wie ein Song von Roger Waters mit Orientierung in den Klassischen Prog hinein, außerdem erweitert mit Violine, dann wird mithilfe von Gilmour-Gitarren und Neoprog-Keyboards die Brücke zum Progmetal geschlagen – und alles wie aus einem Guss. „End of the recess“ bringt dann eine Pause mit akustischer Konzertgitarre und lyrischer Sanftheit in den Keys, bevor „September solitude“ einen Blues-Einstieg wie selbstverständlich zu einem Hardrock-Gewitter ausbaut, das jedoch äußerlich als Neoprog arrangiert ist. Und zum Schluss heißt es „That’s life“ – Power-Metal mit Gefrickel zwischendurch, als hätte diese Band nicht die geringste Nähe zum Neoprog. Das alles zusammen kann ich nur als „Musical Adventure“ der besonders spannenden Art bezeichnen.

Tja, da haben wir nichts Geringeres vor uns als wieder mal einen Baustein des zukünftigen Sampler-Kästchens mit der mutmaßlichen Aufschrift ‚Die großen Prog-Meisterwerke des Ausnahmejahres 2006’. Übrigens: Heute schon an Weihnachten denken! – Wer ein passendes Geschenk für einen Prog-Interessierten sucht, der sich stilistisch nicht festlegen will: dieses Album ist das Richtige (das legt den Hörer im Handumdrehen nämlich auf alle Prog-Stile gleichzeitig fest)…;-)

Letzte Worte an diesem Orte: Die CD ist noch mit einem Enhanced-Video ausgestattet. Und es kann nicht schaden, mal einen Blick auf die Liste der Gastmusiker zu werfen… 12/15

- Babyblaue (Germany)


"The D project Shimmering lights"

Napisa³: Artur Chachlowski
05 07 2006
Pomys³odawc¹ tego tak lapidarnie nazwanego zespo³u jest Stephane Desbiens. To kanadyjski muzyk, który uwa¿nym fanom progresywnego rocka mo¿e byæ znany z wczeœniejszej pracy w kilku rockowych formacjach. Najd³u¿ej zwi¹zany by³ z zespo³em Sense, z którym wyda³ trzy p³yty d³ugograj¹ce, ale jak mi siê wydaje s³awa tej formacji raczej nie przekroczy³a granic ojczystej Kanady. Inaczej by³o z grup¹ Red Sand, w której to Stephane Desbiens zagra³ na instrumentach klawiszowych na pierwszym albumie „Mirrors Of Insanity” (2004). Po opuszczeniu Red Sand wyst¹pi³ (ale graj¹c na gitarze basowej!) na p³ycie „The Word Of Qwaarn” innej, doskonale znanej sympatykom art rocka, formacji Qwaarn. Wiem, ze sama obecnoœæ w obu tych zespo³ach jest dla wielu fanów znad Wis³y wystarczaj¹c¹ rekomendacj¹, gdy¿ – nie ma co ukrywaæ – zarówno Red Sand, jak i Qwaarn do dzisiaj ciesz¹ siê spor¹ estym¹ u progresywnej publicznoœci.
Niedawno Stephane powo³a³ do ¿ycia swój w³asny projekt, do którego zaprosi³ swoich przyjació³, wœród których znaleŸli siê wielce renomowani instrumentaliœci. Nazwiska trzech najwa¿niejszych goœci powiedz¹ sympatykom art rocka wszystko: Tomas Bodin (The Flower Kings), Martin Orford (IQ) oraz Fred Schendel (Glass Hammer). I choæ sam Desbiens na swojej p³ycie obs³uguje melotrony i niesamowicie rozbudowan¹ bateriê instrumentów klawiszowych, to wykonywane przez wymienionych muzyków partie s¹ prawdziw¹ ozdob¹ albumu „Shimmering Lights”. Inna rzecz, ¿e stanowi¹ one g³ównie swego rodzaju nobilitacjê dla projektu Desbiensa, bo trzeba jednak przyznaæ, i¿ obecnoœæ trzech gwiazd prog rocka zaznacza siê w sumie doœæ epizodycznie, bo zaledwie w 4 spoœród 7 utworów wype³niaj¹cych tê p³ytê. Wiêkszoœæ partii instrumentalnych wykonywanych jest przez innych, mniej znanych muzyków (no, mo¿e poza Matthieu Gosselinem z aktualnego sk³adu Red Sand), zaœ sam autor i pomys³odawca ca³oœci podj¹³ siê roli wokalisty, gitarzysty i keyboardzisty. Skomponowa³ te¿ muzykê, a uczyni³ to do spó³ki ze swoim przyjacielem Francisem Foyem.

Z jakiego rodzaju stylistyk¹ mamy do czynienia na p³ycie „Shimmering Lights”? Myœlê ¿e mi³oœnicy dobrego, pe³nego rozmachu symfonicznego rocka nie bêd¹ zawiedzeni. Propozycje The D Project to bardzo dojrza³e kompozycje z pewnymi nalecia³oœciami jazz rocka, dodaj¹cymi ca³ej p³ycie nobliwoœci i wyj¹tkowoœci. Dziêki czêstym partiom instrumentów analogowych (melotrony, Taurus pedals, moogi), czy wrêcz akustycznych (wiolonczele), muzyka The D Project nabiera szlachetnego brzmienia retro. Trudno porównywaæ projekt Desbiensa do jakiegoœ konkretnego wykonawcy sprzed lat, ale trzeba przyznaæ, ze nastrój epoki lat 70-tych zosta³ oddany na „Shimmering Lights” wrêcz znakomicie. Siedem œredniej d³ugoœci kompozycji stanowi¹cych program tego albumu przedstawia siedem zamkniêtych opowieœci, w których stylistyce us³yszeæ mo¿na echa dokonañ Genesis, Yes, Anthony Phillipsa, Barclay James Harvest, a nawet tria Emerson Lake And Palmer. Wszystkie one s¹ naprawdê znakomite i nie ma wœród nich s³abego, czy mniej udanego utworu. Wszystkie œmia³o obdarzyæ mo¿na znakiem art rockowej jakoœci, a klimat ca³ej p³yty mo¿na m³odym progresywnym twórcom stawiaæ za wzór dobrego muzycznego smaku.

Gdybym mia³ wskazaæ swój ulubiony fragment p³yty „Shimmering Lights”, to wybra³bym dwa utwory: instrumentalny „End Of Recess” z przewspania³ymi partiami akustycznej, szeleszcz¹cej szumem nylonowych strun gitary oraz monumentaln¹ 10-minutow¹ kompozycjê „September Solitudes”. Zreszt¹ wszystkie pozosta³e utwory posiadaj¹ w sobie przeogromn¹ dawkê pozytywnej energii, potê¿nego symfonicznego brzmienia oraz na d³ugo zapadaj¹cej w pamiêæ niepowtarzalnej atmosfery prawdziwego muzycznego misterium. I chocia¿ poszczególne utwory doœæ mocno ró¿ni¹ siê od siebie i czêsto wpisane s¹ w odmienny, nierzadko zaskakuj¹cy muzyczny format (na przyk³ad „What Is Done Is Done” to wrêcz czysty heavy metal, a „That’s Life” to rozkrzyczany jazz rock fusion), to najlepiej smakuj¹, gdy próbuje siê je w komplecie. Tak te¿ proponujê uczyniæ i na 50 minut oddaæ siê we w³adanie tych wspania³ych dŸwiêków. Ciekawe czy i Wy, po wys³uchaniu tej p³yty bêdziecie ³apaæ siê na tym, ¿e rêka zawsze bezwiednie wêdruje do klawisza z napisem PLAY? Nie b¹dŸcie zdziwieni. Na p³ycie „Shimmering Lights” naprawdê mo¿na us³yszeæ du¿o dobrego grania i dziêki tej muzyce doœwiadczyæ mo¿na wielu niezapomnianych artystycznych prze¿yæ.

- Maly Leksykon-Wielkich Zespolow (MLWZ Poland)


"The D project Shimmering lights"

There are not many Neo-Progbands coming out of Canada, but the D PROJECT is a big exception, as this band has released a huge sounding high quality Progressive Rockalbum which will please all FLOWER KINGS/TRANSATLANTIC/IQ fans for sure. Multi-instrumentalist Stephane Desbiens is the leader of this project, on which we can also hear guest musicians such as MARTIN ORFORD (IQ), TOMAS BODIN (FLOWER KINGS) and Fred Scheindel of GLASS HAMMER, so if you’re a fan of any of these bands this is a must-have CD. Maybe nothing new is brought in, but it is without a doubt a fantastic piece of typical Progressive Rock, combining long instrumental passages with strong vocalwork of Stephane. 7 long songs are included, clocking in at 50 minutes. Better check it out asap if you call yourself a progfan! More info at: http://www.thedproject.com or http://www.ozetaproductions.com

(Points: 8.3 out of 10)

- Angel Fire (Holland)


"The D project Shimmerign lights"

L'album Shimmering Lights de D Project est le permier album solo de Stéphane Desbiens, guitariste du groupe Sense de Québec. Son nouveau projet solo est inspiré par la création de son nouveau studio d'enregistrement ainsi que de sa nouvelle guitare custom, la ASL 304, faite à la main avec l'aide du designer Jérôme Foy. La musique sur cet album est un amalgame de progressif symphonique sophistiqué et de hard rock, axé sur la guitare. Stéphane est accompagné de ses vieux compères et amis, ainsi que de plusieurs grand noms du progressif à titre de musiciens invités.

L'album est composé de sept pièces et d'une piste vidéo. La première pièce, Shimmering Light commence avec une intro atmosphérique et étherée, qui monte le ton avec une interlude rythmique qui fait place au thème principal de l'album, une belle composition avec un rythme dynamique. They Come And Grow est une pièce captivante, avec un thème floydien grandiose et de délicieux mellotrons en arrière plan, avec un passage plus tranquille qui met en vedette un violon dramatique et comme conclusion, un solo de guitare fracassant de Stéphane. Hide From The Sun est une ballade mélancolique, avec comme artiste invité Tomas Bodin, claviériste des Flower Kings, une belle pièce émouvante avec une finale poignante, qui introduit What Is Done Is Done, une pièce intense et agressive avec un rythme incessant, des textes captivants et un jeu de guitare simplement sublime. End Of The Recess est une belle composition paisible et mélodieuse, avec un thème légèrement médiéval/celtique, avec de merveilleux passages au moog de la part de Martin Orford, claviériste de IQ. September Solitudes, la pièce épique de l'album, commence avec un thème blues un peu mélancolique et met en vedette le jeu de clavier hypnotisant de Tomas Bodin, on trouve sur cette composition de brillantes performances vocales, et le jeu raffiné de tous les musiciens est bien mis en évidence. That's Life commence avec une courte intro métal, une pièce très dynamique et accrochante sur laquelle Stéphane nous offre un jeu de guitare époustouflant, quel incroyable virtuose! Fred Schendel de Glass Hammer contribue de délicieux passages au Hammond B3 et au moog sur ce morceau.

Shimmering Lights est un album incroyablement dynamique, fasçonné avec passion par ce compositeur des plus créatifs, guitariste par excellence. Vous y trouverez une grande variété de thèmes musicaux, de belle mélodies et harmonies, le tout combiné à la virtuosité des joueurs et une qualité de production impeccable. Je recommande sérieusement cet album à tout amateur de Sense, et si vous n'êtes pas familier avec le travail de Stéphane, The D Project est une introduction parfaite à son oeuvre, une belle découverte musicale pour tout fan du progressif classique.

Mon évaluation de Shimmering Lights : 8.6/10(album écouté et évalué par Robert Dansereau - 03/08/2006)


- Prog MOntréal (Canada)


"Shimmering lights D project"

Shimmering Lights
D PROJECT
CD
New 07/2 Top50

Solo album from Sense bandleader Stephen Desbiens featuring prominent gusts Martin Orford (IQ), Fred Schendel (Glass Hammer) and Tomas Bodin (Flower Kings) A fresh keyboard based progressive album that mixes many styles. It starts of sounding like King Crimson, and through the album you will hear influences from Flower Kings, IQ and Glass Hammer, but also parts of quite heavy progressive rock, and snippets of pure jazz. All in all a great album, and definitely one of the best releases in the prog field this year. HIGHLY RECOMMENDED
Rating: 9

- Missing piece (Sweeden)


"The D project"

The D Project - Shimmering Lights
I must confess I'd been looking forward to this album despite the lack of imagination in naming the project. You may or may not know Stephen Desbiens from Canadian progsters Sense, but you'll certainly know album contributors Tomas Bodin from Flower Kings and Martin Orford from IQ. Hence the anticipation. These boys don't do rubbish.

And it was worth the wait, for this is a remarkably good album which covers the gamut of the progressive range but centres in the world of symphonic prog. You'll be hard pushed to find a better prog track this year than "Hide from The Sun", and the whole album makes for essential listening, reeking of class.
- Space rock (United Kingdom)


Discography

2006 Shimmering lights (The D project)
Many tracks already playing on specialyse internet radio, Radio shows in Canada, Polland, USA, France, Germany
OZÉTA Productions/Ipso Facto

2005 Certitudes (Mélia)
2 Tracks on radio and one on the BDS chart top 80 including many radio charts
OZÉTA Productions/Ipso Facto

2005 Stone in the sky (Sense)
Entire album on specialyse radio show in many countries and internet radio.
OZÉTA Productions/Ipso Facto

2004 Out of range (Sense)
Entire album on specialyse radio show in many countries and internet radio.
OZÉTA Productions/Ipso Facto

2003 Les champs brûlés (Mélia)
"Personne ne saura" top 40 on BDS Chart
OZÉTA Productions

2002 Madness (Sense)
Entire album on specialyse radio show in many countries and internet radio.
Ipso Facto

1996 Desbiens Accoustic
First solo album entirely accoustic.
With this album, he will be invited to the prestigious International Jazz festival of Rimouski
Mezzo Records

1997 Bête de cirque (Rose Nocturne)
"Pardonnes-moi" top 25
NRJ/Sélect

1994 Éclosion (Rose Nocturne)
"Fou du roi "no. 1 in many stations
AW Wolfe / Sony BMG

Photos

Bio

After having spent most of his time supporting and producing the work of others, Stéphane Desbiens has finally decided to put his own voice and music forward. Among other things, for the D Project, a new studio was built and a unique instrument was developped for the artist. Produced by author and long time friend Francis Foy, "Shimmering Lights" is decidedly progressive and the guitar, as expected, is at the heart of the project. Featuring special guest Tomas Bodin from Flower Kings and Fred Schendel from Glass Hammer, this album should establish Desbiens as a serious player in the field of progressive music in North America.

The music is the high grade symphonic progressive we’ve come to expect from Desbiens. Kinesiscd (USA)
Shimmering Lights est un album brillant qui dévoile au fil des écoutes toutes ses subtilités, le talent et les influences musicales variées de son auteur. Prog-mania.tk ( France )
A fantastic piece of typical Progressive Rock, combining long instrumental passages with strong vocal work of Stephane. Strutter mag ( Hollande )
Pour conclure, vous trouverez ici une musique d’une grande beauté. Antithetik ( France )