They Call Me Rico
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They Call Me Rico

Lyon, France | Established. Jan 01, 2009 | INDIE

Lyon, France | INDIE
Established on Jan, 2009
Solo Americana Blues Rock

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"They Call Me Rico - Review"

They Call Me Rico

Voxtone Records

4/5

THEY CALL ME Rico is the first solo project of former Madcaps front man Frederic Pellerin (a.k.a. Rico) and I certainly hope it won’t be his last. In an almost one-man-band style, many of the tracks feature noth- ing more than Rico: Singing, playing guitar, and working a kick drum and high-hat with his feet.

The stripped-down blues style is reminiscent of the White Stripes with a little blue-grassy Lynyrd Sky- nyrd rock thrown in. The album is almost exclusively cover songs with only three original tracks, but Rico’s original interpretations of songs like Neil Young’s “World On a String”, Paul McCartney’s “Your Way”, and Bob Dylan’s “Buckets of Rain” are fresh and excellent. The album is pleasant the whole way through and definitely worth a listen.

—Brennan Bova - The Fulcrum, Ottawa, Canada


"Retour aux sources pour Frédéric Pellerin"



Publié le 22 octobre 2011 à 07h15 | Mis à jour le 22 octobre 2011 à 07h15

Retour aux sources pour Frédéric Pellerin

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Frédéric Pellerin vient de lancer le disque They... (Photo: François Gervais)

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Frédéric Pellerin vient de lancer le disque They Call Me Rico.

Photo: François Gervais
Marie-Josée Montminy

Marie-Josée Montminy
Le Nouvelliste

(Trois-Rivières) Ce n'est pas que Frédéric Pellerin manque de moyens. Ni d'inspiration. Pour le premier disque de son projet solo They Call Me Rico, le leader des Madcaps a choisi d'enregistrer 14 de ses chansons favorites sur bobine huit pistes. Sans les retoucher. Le tout pour honorer un idéal d'authenticité.

«Habituellement, je suis tellement perfectionniste! Cette fois-ci, ça a été un genre de thérapie», compare Frédéric Pellerin en évoquant cette quête de l'essence, de la pureté qui l'a guidé dans l'enregistrement de ce premier disque sous son alias Rico.

«On a tout enregistré live, cinq, six fois et on a gardé la meilleure version intacte, même s'il se pouvait que je fausse un peu sur une note à un moment donné. Ça évite de tout peaufiner et d'enlever de la vie dans l'enregistrement. Ça donne quelque chose de vivant», considère celui qui gère son propre studio à Montréal, Voxtone, depuis 2003. Le musicien avait déjà enregistré quatre albums avec son groupe Madcaps entre 2003 et 2010. De style plus funk rock, la musique du quatuor avait même emprunté des accents plus solid rock dans Kiss The Lion. Les tournées au Canada anglais et en France se sont multipliées pour le groupe qui n'est pas dissout, ne vous inquiétez pas, fans...

They Call Me Rico représente vraiment un retour aux sources pour Frédéric Pellerin. Ses sources à lui et celles de la musique du XXe siècle.

«Au départ, c'est la musique que j'écoutais quand j'étais jeune: le blues, le folk. J'ai écouté beaucoup de vieux rock, oui, mais j'ai voulu aller aux racines de cette musique-là, et c'est le folk blues», raconte celui qui a entre autres partagé ses découvertes musicales d'adolescence avec son ami le guitariste Steve Hill.

Il y a deux ans, Frédéric Pellerin a senti le besoin de «revenir à quelque chose de plus intimiste par rapport au côté rock des Madcaps». Il a donc réarrangé certaines pièces de son groupe, ainsi que d'autres qu'il aime depuis longtemps, puisées dans les répertoires de légendes telles Robert Johnson, Bill Monroe, Robert Wilkins, Bob Dylan et Tom Waits.

Après quelques spectacles mettant en valeur ces interprétations, Frédéric Pellerin a commencé à enregistrer dans son studio, selon la méthode décrite plus haut. Il a réellement cherché un peu partout pour trouver du ruban magnétique huit pistes, et a fait remettre à neuf un vieil enregistreur analogique.

Sur quatre des 14 pièces de l'album, le multi-instrumentiste est seul, en formule homme-orchestre, si on peut dire. Il se sert du bass drum et du high hat pour rythmer les mélodies et/ou accompagnements de ses guitares acoustique ou resophonic...

Pour les autres pièces de l'album, le chanteur a requis les services de ses amis le bassiste Dominic Laroche, le guitariste Nicolas Grimard, de Caïman Fu (tous deux trifluviens d'origine), et de l'harmoniciste Christian Vézina.

«Je voulais faire des chansons de toutes les époques, un peu dans la tradition des chanteurs de blues qui reprennent des chansons d'autres artistes», explique Frédéric Pellerin. Et les époques auxquelles il fait référence peuvent aussi être plus contemporaines que ce à quoi on peut s'attendre, un exemple en étant Am I Wrong, un titre de Keb' Mo' paru en 1994 qu'il a repris sur son album.

«Ce n'est pas par dépit ou parce que je n'avais pas d'inspiration pour faire un disque! Ce sont vraiment des chansons que moi j'aime et que je veux transmettre, sans prétention. Le deuxième album aura peut-être plus de matériel original», indique le chanteur de 39 ans.

Frédéric Pellerin présentera son projet They Call Me Rico sur scène jusqu'en France, où il entretient plusieurs contacts. Il apprécie la possibilité, avec cette formule plus restreinte, plus intimiste, de pouvoir jouer dans des salles où il ne pouvait le faire avec les Madcaps.
- Le Nouvelliste


"Frédéric Pellerin: du blues version brute"



Sophie Grenier-Héroux
Le Soleil

(Québec) Appelez-le Fred, appelez-le Rico, peu lui importe. Mais si vous voulez capter l'attention de Frédéric Pellerin, parlez-lui de blues. Déjà, l'étincelle dans ses yeux vous dira que vous avez touché une corde sensible. Jovial, ce Frédéric, connu comme le leader de la formation Madcaps. Un brin trop calme, mais surtout bien groundé. Et justement, c'est tout un retour aux sources que l'authentique artiste s'est fait vivre et qu'il partage avec le public.

Cheveux en bataille, barbe bien taillée, manteau de cuir, le chanteur que nous rencontrons a l'air d'une rock star. Pourtant, tout dans l'attitude de Frédéric respire son besoin de simplicité et son amour pour la musique et le blues.

«J'avais le goût de faire quelque chose de plus intimiste, de plus personnel. J'avais le goût de retourner à ce que j'écoutais quand j'étais ado et je voulais faire quelque chose de différent, où la voix est plus posée. C'est un album de musique pour la musique. Il n'y a pas de flafla ou de grosse production», explique-t-il, soulignant que ce projet ne signifie pas la fin de Madcaps, bien au contraire, puisque les comparses musiciens accompagnent Frédéric en solo, dit Rico. Ce surnom donné par sa mère à l'âge de quatre ans en l'honneur d'un bel instructeur de plongée le suit depuis toujours. Voilà pour la petite histoire.

Simplicité donc. Un désir qui s'est aussi imposé dans la réalisation de l'album. Amateur du son chaud des vinyles, Frédéric a déniché un enregistreur huit pistes, l'a remis en état et a cogné au studio voisin, Hotel2Tango, pour acheter des bandes magnétiques - une rareté selon le chanteur - afin de faire un album 100 % analogique. «C'est vrai que le son est plus chaleureux [sur les vinyles]. Je voulais aller chercher ces sonorités-là parce que le blues s'y prête bien.»

Un son «plus rural»

Or, qui dit enregistrement sur bandes dit pas droit à l'erreur. Une bête noire pour ce perfectionniste qui a réussi à l'apprivoiser. «Ça a rendu les performances meilleures parce que tu sais que tu ne peux pas te tromper. Aujourd'hui, avec la technologie tu peux recommencer quand tu veux, tandis que là tout était enregistré en même temps.» Le son qui en résulte est, aux oreilles de Frédéric, «plus rural, avec une énergie plus rock et plus déchaînée», mais demeure intemporel. «C'est un album que je vais pouvoir écouter dans 10 ans sans problème... Il n'y aura pas plein de bidouillage électronique qui va me taper sur les nerfs!» Et côté intemporalité, l'artiste s'est fait plaisir en jouant avec les supports audio. Ainsi, l'album se trouve en versions CD, vinyle et cassette. Code de téléchargement compris.

Le chanteur, qui est aussi réalisateur, le répète plusieurs fois : le projet de l'album s'est dessiné tranquillement entre amis. Une latitude qu'il s'est offerte par l'intermédiaire de sa maison de disques, Voxtone. Même le choix des «reprises» a été fait dans une volonté de se faire plaisir. «Je voulais vraiment prendre des chansons que j'aimais et les faire à ma façon», raconte Frédéric Pellerin. L'intérêt de faire connaître des artistes ou des pièces moins connus est venu après.

«Dans la musique blues, à toutes les époques, ç'a toujours été une tradition de reprendre des chansons. En même temps, je n'ai pas choisi les chansons les plus évidentes. Je ne voulais pas reprendre les succès et bâtir là-dessus.» Pourtant, Frédéric se plaît maintenant à voir la jeune génération prendre goût au blues des années passées avec les pièces de Bill Monroe, de Bob Dylan, de Tom Waits, de Robert Johnson ou de Neil Young, tandis que ses créations originales ou la pièce Am I Wrong de Keb'Mo' prouvent que le blues est toujours actuel.

L'homme-orchestre

«Les Black Keys, qui ont eu beaucoup de succès ces dernières années, ont l'aspect blues très prononcé. Je pense qu'il y a un regain d'intérêt pour la musique qui est plus "racine" je le vois chez les jeunes musiciens. Les gens me disaient que [mon album] allait plaire à un public plus âgé, mais c'est plutôt le contraire», indique celui dont le talent d'homme-orchestre pousse plus loin le concept de l'album brut et dépouillé d'artifices. L'artiste trifluvien joue la carte du «solo» à fond, armé de sa guitare et de sa batterie, à l'image de They Call Me Rico.

Puis, le fait de voyager léger permet à Rico de se prévoir des spectacles dans les mêmes villes que Frédéric de Madcaps. Et comme le groupe parcourt le Canada et la France depuis belle lurette, gageons qu'il seront nombreux à l'appeler Rico. - Le Soleil


"100% Analogique"



Le chanteur des Madcaps, Frédéric Pellerin, vient de lancer son premier album en solo. Entrevue avec celui qui se fait appeler Rico.

Ça fait déjà deux ans que Frédéric Pellerin planche plus sérieusement sur They Call Me Rico, son projet solo. Vraiment solo, puisqu’il y joue le rôle d’homme-orchestre.

"Être seul permet de contrôler les dynamiques. De faire les choses que tu veux, quand tu veux. Et le contact avec le public est plus facile. Par contre, si tu te plantes, t’es tout seul, laissé à toi-même, soulève-t-il. C’est beaucoup de travail, mais c’est un beau défi."

They Call Me Rico oscille entre le folk et le blues. "C’est posé, plus acoustique. La voix devient l’élément principal."

Les influences du blues des années 30 à 50 sont palpables. "Je retourne aux sources. Quand j’étais jeune, j’écoutais de vieux vinyles de mes parents qui traînaient chez nous, dont les interprètes reprenaient de vieux bluesmen." L’album homonyme de They Call Me Rico comporte 14 titres à la fois bruts et éclatés, alternant entre pièces originales et réinterprétations. "Je veux transmettre la musique des années passées. Je n’ai pas choisi de chansons connues, car je ne veux pas tirer profit du succès des autres. C’est un peu ça la démarche blues et country traditionnelle", explique Frédéric Pellerin.

CHANGEMENT DE CASSETTE

En réaction à la musique formatée et à la recherche d’un son plus authentique, le musicien a enregistré son matériel sur des bobines magnétiques à huit pistes. "C’est enregistré live, en temps réel. C’est mixé, mais sans retouches. Ça n’a pas été trafiqué."

Selon lui, le ruban magnétique offre une pureté, une chaleur dans le son qu’on ne retrouve pas sur les supports numériques. Numérisé à la dernière minute, son album est offert en formats CD, vinyle, et… cassette!

Selon Frédéric Pellerin, on assiste présentement à un renouveau de la cassette, en particulier dans le milieu de la musique noise, underground et industrielle. "Une cassette est un objet moins cher qu’un CD, et un peu plus culte. Puis, c’est drôle, la cassette offre un côté musique de route, un peu trucker, que je trouvais sympathique." Un code de téléchargement de l’album est offert à l’achat des formats vinyle et cassette.

Le Trifluvien d’origine a lancé son album le 18 octobre dernier au Gambrinus. "C’est une façon de saluer le fait que je viens de là. Et puis ça démarre toujours bien de faire ça devant la famille et les amis", explique celui pour qui c’est devenu une tradition de débuter par la cité de Laviolette. "On l’a fait quelques fois avec Madcaps." Pour l’occasion, il était accompagné sur scène du guitariste Nicolas Grimard (Caïman Fu), du bassiste Dominic Laroche (Steve Hill & The Majestiks), de l’harmoniciste Christian Vézina et du trio vocal Triaz.

À l’aube du 15e anniversaire d’existence du groupe Madcaps, le chanteur assure qu’il ne délaissera pas son groupe montréalais, loin de là. "Madcaps, c’est la base. J’y reviens toujours! En fait, les deux projets se complètent plutôt bien."

They Call Me Rico
They Call Me Rico
(Voxtone Records)
- Voir


"THEY CALL ME RICO -They Call Me Rico"

They Call Me Rico is a brand new solo spin from Madcaps lead vocalist, Frédéric Pellerin, aka: Rico. Armed only with a guitar, amp, drums and the occasional accompaniment of a cameo-making musician, They Call Me Rico is a stripped down, soul exposure of a show that serves up an all-natural, preservative free, music. Period.
The self-titled debut features original material and covers from the likes of Tom Waits, Bob Dylan, Elvis Presley, and Robert Johnson. To capture the energy of Rico’s performance and preserve its authenticity, the album was recorded live in studio with no overdubs, on analog magnetic tape. The results, as you will hear, are most convincing. - Tuesday Guide


"They Call Me Rico - Review"

"This album was recorded live in the studio, with no overdubs, on an analog 8-track 1/2" tape recorder. No pitch correction was used, no editing was done and no computers were used until the final digital conversion," proudly states the copy on the back of this first LP by They Call Me Rico, the solo project of Frédéric Pellerin. With much grit and gusto, the Madcaps frontman roars his way through blues, folk and rock numbers on this enjoyably old-school record. - Hour Community - Montreal


"ZICAZINE"

19 heures tapantes de nouveau, car l'exactitude est de mise sur le festival, Laurent Bourdier monte sur scène pour présenter la soirée et le premier artiste, They Call Me Rico. Frédéric Pellerin de son vrai nom, le Québécois devenu Lyonnais depuis plusieurs années qui avait représenté la France à l'International Blues Challenge de Memphis cette année, autant dire que ce musicien a de sacrées belles références. De plus c'est un homme absolument charmant et d'une très grande disponibilité pour son public. Comme quoi talent, humilité et gentillesse ne sont absolument pas incompatibles et peuvent même grandement aider à être programmé sur un festival lorsqu'en plus d'être excellent musicien l'on est sympathique et que l'on sait rester simple.

Sa voix puissante, indéniablement forgée pour le Blues, va embarquer rapidement le public qui va très vite se rassembler devant la scène. Abandonnant par moments son siège derrière son Drum-Kit pour des parties plus instrumentales, Frédéric va ainsi nous laisser découvrir de plus près la signature qui orne sa guitare : Johnny Winter ! N'ouvrait pas pour le regretté Johnny qui voulait, et si quelqu'un en doutait encore, They Call Me Rico c'est bien du très haut de gamme ! On a retrouvé Fred ensuite du côté de la Grange et en interview lui aussi sur France 3, une sacrée belle entrée en matière pour cette ultime soirée. - Alain HIOT


"SLR - "This Time" album review"

Les jours raccourcissent, l'hiver arrive (dixit Jean Neige), alors pour nous donner un brin de baume au coeur, façon Xmas avant l'heure, voilà le quatrième album (dont un live à Vienne) au format one-man band "made in Québec" du migrant Frédéric Pellerin, frontman des excellents Madcaps. Cet homme-orchestre (guitare, voix, harmonica et batterie "réduite"), seul ou avec quelques jolis invités d'ici ou de là-bas, nous invite à un voyage initiatique. Descendre le Mississippi pour retrouver l'âme et le grain du blues originel ("Down Down Down"), puis remonter le temps vers une note bleue doucement saturée ("The First"), parfois même pop avec le sublime "We'll Meet Again" en deux versions. Un régal à classer entre Tom Waits et Son of Dave. - Stef VANSTAEN


"ROCKAWA"

C'est déjà le 3ème album qui s'annonce pour Frédéric Pellerin, chanteur des Madcaps, qui s'est échappé de manière inspirée sous l’alias THEY CALL ME RICO. Celui-ci le ramène à ses premières amours : le folk et le blues. Rafraîchissant !

En 2009, le chanteur des Madcaps Frédéric Pellerin quitte momentanément la formation pour une échappée inspirée sous l’alias THEY CALL ME RICO. Ce projet solo le ramène à ses premières amours : le folk et le blues.
Après deux albums studios ("They Call Me Rico", "This Kind of Life") et un album live enregistré au Théâtre Antique de Vienne : "Raw & Sweaty - Live in France", plus de 350 concerts au Canada et en Europe tenant l’affiche lors de nombreux événements majeurs tels que le Festival International de Jazz de Montréal, Cognac Blues Passion, Jazz à Vienne ou le Festival Blues sur Seine, They Call Me Rico revient avec un 3ème album "This Time" à paraitre le 1er avril 2016, dont il vient de livrer le premier extrait du même nom.

Récemment couronné gagnant dans la catégorie solo/duo lors du Challenge Blues Français lors de son récent passage au Cahors Blues Festival 2015, il a représenté son pays d’adoption, la France, au International Blues Challenge qui a eu lieu à Memphis en janvier 2016. - Rockawa


Discography

They Call Me Rico - They Call Me Rico - released Oct. 18th 2011 (Voxtone Records/Universal)

This Kind Of Life - They Call Me Rico - released Nov. 5th 2013 (Voxtone Records)

This Life - They Call Me Rico - released Apr. 1st 2016 (Voxtone Records)


Photos

Bio

They Call Me Rico is the new solo project by Madcaps singer Frederic Pellerin, aka Rico. With a decade of shows across Canada and Europe under his belt, this side project brings him back to his first musical attraction: folk and blues. Whether it is as a one-man orchestra or with guest musicians, They Call Me Rico takes us into a world where all the space is reserved for the songs, without fireworks or sweeteners.

Formerly of the popular Quebecois band Madcaps, They Call Me Rico is the manifestation of Pellerins desire to challenge himself not only as a songwriter, but as a performer. Going solo in recent years was a natural transition for the native of Trois-Rivires, one that he found both liberating but also nerve-wracking.

There is a lot of freedom when you are on your own, but at the same time it can be more difficult. When you play in front of a large crowd and youre alone it can be pretty intimidating. You are basically exposed out there. You cant cover up any mistakes. But after a while I began to enjoy that. It made me a better musician and a better performer, he said.

Musically, the paradigm shift from a band format to that of a completely solitary artist has allowed Rico, as he calls himself, to delve even deeper into the music that has had such a powerful resonance in his life. His debut album featured primarily covers of some of Ricos favourite roots and blues based songs, but also featured three original songs, as he dipped his toes into the waters of solo composition.

It was a critically-acclaimed release, and one that brought him legions of fans throughout Canada and Europe, spawning a serious of highly successful tours, and such popularity in France that Rico uprooted his family from Montreal to move to the picturesque and culturally-rich city of Lyon.

For his second album, This Kind of Life, They Call Me Rico jumped into deep end of the songwriting pool, filling the album with the results of his ongoing creative exploration.

This Kind of Life is an dynamic exploration of roots/Americana music, heavily drenched in classic acoustic blues and tinged with folk and pure, straight-ahead rock and roll. The title track is a classic, unabashed and infectious road song, inspired by Pellerin's life as a working musician.

I May Be Right was one of those songs that come together quickly, and end up being incredibly impactful. Pellerin said the simplicity of the melodies and the catchiness of the riff are balanced by lyrics that are deeply-felt but subject to the interpretation of the listener.

Tried to Love Her is a classic hurting song with a twist. Its the story of a man coming to the realization that what he sees as love is actually something darker.

Growing up in Quebec, Pellerin discovered classic rock at an early age. While listening to the likes of the Red Hot Chili Peppers and Nirvana, he also discovered The Rolling Stones and Jimi Hendrix. Wanting to know what inspired these legendary artists, he looked into the roots of their sound, and discovered Blues.

Originally a drummer, seeing old Hendrix videos on television inspired a teenaged Pellerin to learn guitar and become a performer and songwriter.

As a solo artist, his alter ego, They Call Me Rico, needed to stand apart from the plethora of solo artists those who stood at a microphone, guitar slung around their necks. So Rico decided to use his early background as a drummer by including a bass drum and kick pedal into his performance repertoire.

This Kind Of Life also features a cover of Bruce Springsteen's classic balled, Im On Fire, with Parisian piano master Charlie Glad adding his unique slant to the recording. Other guest artists to appear on the album include Nicolas Grimard on lap steel and electric guitar, Dominic Laroche on bass and harmonica player Christian Vezina.

The album was recorded, mixed and co-produced by Vincent Blain and mastered at Air Studios in London by legendary mastering engineer Ray Staff (Led Zeppelin, David Bowie, The Clash).

Already an in-demand live act throughout Europe and Canada, They Call Me Rico will be touring on both sides of the Atlantic to promote the album. The debut single and video is To Call My Own.

2016 has been a successfull year for They Call Me Rico. He arrived in semi-finale of the International Blues Challenge in Memphis. His new album "This Time", in collaboration with Brian Lucey (The Black Keys), was released in April and he toured in the UK, in Germany and in Canada during the summer.

Band Members